Revue de Presse

Didon -Les TROYENS- Festival Berlioz 2022
Yvan Beuvard - Forum Opéra

« Les qualités expressives, la diction s’ajoutent à celle de la voix, souple, longue, ample et chaude, propre à porter l’émotion, de la séduction à l’ivresse et à la mort. Toujours noble, incertaine, aimante, passionnée, furieuse, résignée puis transfigurée et imprécatrice, toutes les étapes de la progression sont illustrées avec maestria. Aucune défaillance, et des sommets (son duo progressivement fusionnel avec Enée « Nuit d’ivresse et d’extase infinie», puis « Errante sur tes pas », avant la fin, déchirante), nous avons affaire à une Didon d’exception. « 

 

Carmen, Opéra de Nancy
Nicolas Grienenberger - Classiquenews 21/02/2011

« Cette vision du mythe de la Carmencita a visiblement trouvé en Isabelle Druet une interprète idéale. Saluons d’emblée une prise de rôle mémorable et la révélation d’une très grande Carmen. Car l’incarnation de la jeune mezzo française impressionne par son aboutissement, tant musical que dramatique. Cette Carmen-là apparaît féline et redoutable, indépendante et farouche, fière et déterminée, et toujours d’une grande élégance, jouant pleinement de son charisme et de sa présence scénique magnétique. Le timbre est superbe, le médium corsé, l’aigu franc et brillant, le grave sonne profond et ample. Et tout cela avec un sens du texte prodigieux, donnant à chaque mot son poids juste. Ce qui nous vaut un air des Cartes saisissant de force et d’impact, hypnotique dans sa lente déclamation, véritable imprécation, dont on se souviendra longtemps. »

Conception - L'Heure Espagnole
Jean-Charles Hoffelé - Artalinna

« Lorsque Ravel vint surveiller le premier enregistrement de son Heure espagnole, confié en 1929 à la baguette experte de Georges Truc, il fut un rien marri de trouver Jeanne Krieger s’essayant à Concepcion, alors qu’il rêvait de Fanny Heldy qui à l’Opéra Comique avait mené son monde à la cravache et l’œuvre au succès.

Je suis certain qu’il aurait adoré Isabelle Druet : le charme de Denise Duval, le caractère de Jane Berbié, et dans la voix l’énergie dominatrice de Fanny Heldy. Comparer leur « Ah ! la pitoyable aventure » s’avère riche d’enseignements. »

Triton dans Coronis, de Sebastian Durón
Opéra Comique, Paris, 11/2019
Jean-Marcel Humbert - Forum opéra

«  La grande triomphatrice de la soirée est Isabelle Druet, Triton de haut vol, caractérisé tant par le jeu scénique et la voix chaude et expressive de son interprète, que par ses intonations allant du charme aux éclats les plus inquiétants. Tout cela se résume dans l’air plein d’émotion « Dites-moi plantes, fleurs, sources…, où est ma bienaimée ? », qu’enrhumé, le monstre maléfique chante ses pieds difformes plongés dans une bassine d’eau chaude. »

Shéhérazade de Ravel - Philharmonie de Paris
Emmanuelle Pesqué - ODB-Opéra 26/11/2019

« Quant à Isabelle Druet, elle incarne littéralement les trois poèmes de Shéhérazade en conteuse enchanteresse, guidant l’auditeur dans les atmosphères de ces miniatures sophistiquées : mystère, sensualité et finesse sont les guides de ces récits. Diction superbe, jeu avec les couleurs de l’orchestre et théâtralité emportent l’adhésion et font voyager avec elle.»

CALYPSO – Télémaque et Calypso – Destouches

 

Festival de musique baroque d’Ambronay – Septembre 23

avec Les Ombres, dir. Sylvain Sartre et Margaux Blanchard

 

 

Opéra Magazine – Vincent Borel

« Mais, surtout, Isabelle Druet, ici couronnée en sublime tragédienne. Le phrasé, la ductilité du timbre, une formidable palette expressive, offrent une Calypso de haute intensité.  »

 

 

 

Opéra Online – Élodie Martinez

« Avouons tout de suite que la Calypso d’Isabelle Druet se détache et brille particulièrement. Dès sa première intervention, la voix porte toute la noblesse du personnage, et se teintera du pouvoir de la reine au moment opportun dans la soirée. La mezzo-soprano nuance sa partition de mille couleurs satinées, à la fois puissante et fragile, divinement humaine, elle dresse un portrait fidèle et travaillé jusque dans le moindre détail. Son interprétation ne souffre aucun reproche, tant dans l’incarnation, que la prononciation ou la projection. »

 

 

Forum opéra – Yvan Beuvard

« Isabelle Druet nous vaut une admirable Calypso. La voix, les moyens dramatiques, l’engagement sont au rendez-vous et chacune de ses apparitions est un moment fort. Dès son entrée (« Dieu des mers, terrible Neptune ») elle impose cette figure forte, passionnée, reine humaine qui tutoie les dieux.  « Le dépit, la haine et la rage » (III) l’autorité de « Tout l’enfer m’obéit », tout est là, auquel nul ne peut rester insensible. C’est évidemment au dernier acte qu’elle déploie tous ses moyens, servie par une écriture musicale et dramatique exceptionnelle de force et de justesse (« Tout fuit, injustes dieux…Quels sifflements affreux… »).  Le souci d’une expression intelligible, les couleurs, les inflexions dramatiques, la projection d’une grande tragédienne emportent l’adhésion. « 

 

 

Concertclassic.com – Laurent Bury

« L’impitoyable Calypso trouve en Isabelle Druet une interprète de choc, survoltée, incarnant son personnage avec une ardeur égale dans le chant et dans le jeu : la reine d’Ogygie fascine par l’expressivité de ses gestes et de ses expressions autant que par le caractère impérieux de son chant. »

 

Diapason – Jean-Philippe Grosperrin

 » Isabelle Druet, à qui revient Calypso, (..) est de fait le rôle principal. On se demande à l’issue du concert par quel mystère on entend si rarement cette artiste dans les premiers rôles de tragédie en musique. Qu’admirer le plus ? L’éloquence trouve constamment appui dans le geste théâtral, dans un masque tragique incroyablement ajusté. Son jeu, soucieux d’interaction avec les partenaires, éclipse simplement le cadre du concert. Mais c’est d’abord, dans le chant même, l’incorporation de ces passions mobiles qui captive, d’un bout à l’autre. Songe inquiet, évocation infernale (avec le grave nécessaire), duo violent avec Adraste, échanges retors avec Télémaque comme avec Eucharis, domination de la tessiture dans les emportements, sens du risque aussi, tout est là. « 

 

 

Muses Baroques – Pierre-Damien Houville

 » De cette galerie ressort en majesté Calypso, campée avec une assurance et une détermination sans failles apparentes par Isabelle Druet, véritable nœud gordien des sentiments des personnages. Reine aux sentiments humains, elle converse en égale avec les Dieux, régnant sur une île ravagée par la tempête et dans le souvenir prégnant de l’amour d’Ulysse (Je crains toujours Ulysse et toujours son image vient se présenter à mes yeux. Un songe…ah ! je frémis quand je me le rappelle, Acte I, scène III). Déterminée dans ses postures vocales, juste dans ses intonations, pétrifiant l’auditoire de sa présence scénique, ne sacrifiant rien à la qualité de la diction, Isabelle Druet s’approprie son rôle au point que l’œuvre gagnerait à être renommée Calypso & Télémaque. « 

 

 

NERONE- L’Incoronazione di Poppea- Monteverdi

Festival international de musique de Beaune – Juillet 23

avec Les Épopées, dir. Stéphane Fuget

 

Resmusica – Jean-Luc Clairet

« Beaune : Le Couronnement des Epopées et le sacre d’Isabelle Druet « 

Stéphane Fuget clôt sa Trilogie Monteverdi avec Le Couronnement de Poppée. Une lecture très originale, qui doit aussi beaucoup à sa distribution, particulièrement investie autour de la toute-puissance du Néron d’Isabelle Druet. (…)

Le monstre c’est Isabelle Druet, qui en Néron, n’apparaît nullement intimidée par une prise de rôle dont le festival aura fait mystère quasiment jusqu’au bout. La Cassandre et la Didon berliozienne du moment ne flotte à aucun moment dans les manches du tyran dont elle brosse à traits très calculés l’évolution psychologique. La chanteuse respire la musique, même celle de ses collègues. Avec quelques invités de luxe : Christina Deutekom sur les vocalises du premier duo ; Franco Fagioli au terme de l’affrontement avec Sénèque. Le duo Néron/Lucano est vraiment enivrant, les Ahi de Druet sur les Bocca de Sancho n’étant qu’un exemple de la force de persuasion du pari fou de Fuget. La comédienne est telle, qu’après avoir fait défiler la petite frappe ivre de sexe des premières scènes (cheveux plaqués à la garçonne sur costume noir, mains en révolver au bord des poches, bref Al Capone), puis le décideur de vie et de mort, elle parvient à nous faire oublier cette lie de l’humanité, en procédant au grand chavirement de l’apesanteur sublimée du Pur ti miro pour lequel Isabelle Druet rappelle (ah, les consonnes de pur ti stringo !) qu’au bout du compte : Io la Musica son… Ce duo final restera comme un des plus beaux jamais entendus, qui aura même poussé Fuget à se déplacer entre Poppée et Néron, comme pour en retarder la conclusion, à moins que ce ne soit pour donner le dernier mot au mot, ou pour faire en sorte que le Temps vienne lui aussi se suspendre aux lèvres des deux cantatrices. Après que Poppée eut été enfin couronnée. A plus d’1H30 du matin ! »

 

 

Opéra magazine – Thierry Guyenne

« Idéaux enfin, les amants criminels, dont chaque rencontre fait des étincelles. (…) Francesca Aspromonte trouve, en Isabelle Druet, un Nerone aussi fou de désir comme amoureux que capricieux et colérique comme souverain, dont le mezzo corsé, capable de divins allégements et de vocalises perlées, semble n’avoir aucune limite expressive, ni technique.

A l’issue de ces quatre heures et demi de concert, à presque une heure vingt du matin, à peine évanouies les dernières résonnances du sublime Pur ti miro, Stephane Fuget salue en tenant, de part et d’autre, Poppea et Nerone par la main, conscient que ce marathon musical et théâtral n’aurait pas été possible sans l’exellence de ces deux chanteuses. »

 

 

Classiquenews – Jean-François Lattarico

« Le choix d’une mezzo pour incarner Néron peut surprendre, mais Isabelle Druet est impeccable de justesse et de crédibilité, une voix superbement projetée, alliée à des graves androgynes, juste reflet de l’androgynie du personnage. Les duos avec Poppée résonnent comme une évidence, tant l’osmose se révèle parfaite. Jamais un tel duo n’a paru aussi sensuel (la langueur infinie et bouleversante sur le « Addio » du premier duo !) »

 

 

 

Motets romantiques français- Chorus Line #8

Festival Palazzetto Bru Zane/Radio France – Juin 2023

 Olyrix – Emmanuel Deroeux

« Enfin, la mezzo-soprano Isabelle Druet séduit par sa grande sensibilité d’interprétation, néanmoins d’apparence naturelle, comme dans sa supplique du Kyrie de Clémence de Grandval ou son touchant Ave verum de Théodore Dubois. »

 

 

 

NUITS D’ETE de Berlioz

le TAP de Poitiers, La Coursive de La Rochelle et La Salicorne de Saujon – Mai 2023

avec l’Orchestre de Chambre Nouvelle-Aquitaine, dir. Kanako Abe

Lyriqueinfo – Hélène Biard

« Isabelle Druet interprète avec talent ce cycle de 6 mélodies sous la direction avisée de Kanabo Abé. Les nuances et les tempos sont parfaits, notamment dans l’interprétation du Spectre de la rose, la seconde mélodie, qui se termine sur un pianissimo morendo sublime. (…)

L’Orchestre de Chambre Nouvelle Aquitaine a clôt la saison en cours avec panache. La cheffe d’orchestre Kanako Abé a dirigé la phalange avec talent ; quant à Isabelle Druet, elle a fait forte impression en interprétant Les nuits d’été de Berlioz avec brio. Et le public ne s’y est pas trompé en réservant un accueil chaleureux à l’ensemble des artistes présents sur le plateau de l’auditorium.

Adèle H et Hector B

Théâtre Ledoux – Besançon – 4 Avril 2023

avec l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, dir. JF Verdier

Forum Opera – Yvan Beuvard

« Le programme, particulièrement à propos, unit Adèle Hugo à Hector Berlioz. (…) La fluidité de L’oiseau passe, sur un poème écrit par le père pour être mis en musique par Adèle, introduit La captive, confiée maintenant à Isabelle Druet. Pleinement investie, la soliste sert son texte et sa mélodie avec un art consommé, d’une voix de grande tragédienne née. Il en ira de même dans les extraits de la Damnation de Faust. Le merveilleux solo de cor anglais qui introduit « D’amour, l’ardente flamme » prélude à une des plus émouvantes pages de tout le théâtre lyrique. Et sa traduction par l’orchestre Victor Hugo – Franche-Comté et notre admirable mezzo se situe au plus haut sommet. »

RÉCITAL SCHUMANN avec Joël Soichez

Festival les Volques – Décembre 2022

 Concertclassic.com par Alain Cochard

« Et le lied de trouver on ne peut plus naturellement sa place lors du concert inaugural du 3e festival (…) avec tout d’abord les cinq Poèmes de la reine Marie Stuart. Un opus dont Isabelle Druet, timbre riche et expression intense, portée par le piano très complice de Joël Soichez, restitue la prégnante unité, entre nostalgie et supplique déchirante. (…) Retour à Schumann et au lied avec cinq extraits du Liederkreis op. 39, dans lesquels le sens des caractères et le naturel d’Isabelle Druet et de son partenaire font mouche à nouveau. Fluidité d’In der Fremde, respiration panthéiste de Mondnacht, simplicité frémissante du second In der Fremde, prégnance du sombre Zwielicht, vibrant élan de Frühlingsnacht : on aurait volontiers goûté à la totalité du cycle ! »

ANAMORFOSI – Le Poème Harmonique

Eglise de la Gloriette, Caen – 17 Novembre 2022

Concert classic.com – Thierry Geoffrotin

« Impressionnante Isabelle Druet qui a rejoint le groupe in extremis, en l’absence d’Anaïs Bertrand. Dans « Un Allato Messagier », à l’origine un lamento profane de Luigi Rossi devenu une déploration sur la mort du Christ, la mezzo a trouvé des accents d’une extrême sincérité, propre à tirer des larmes. »

 

 

MON AMANT DE SAINT-JEAN  avec Le Poème Harmonique

Palais Neptune de Toulon – 14 Novembre 2022

« Isabelle Druet émerge d’un nid de costumes dont elle s’est parée et défaite, de mue en mue, pendant le déroulement du programme : robe noire à la Juliette Gréco, lamé précieux d’héroïne mythologique, fourreau de velours cramoisi d’idole des Années Folles. (…)

Le format est celui du récital, voire du « tour de chant », comme le précise la note de programme. La voix n’est pas plus en reste que les gestes d’actrices de la soliste qui mobilise ses bras en tragédienne ou en saltimbanque, aussi noble dans la lamentation que gouailleuse dans la pantomime. Les deux moments-clé en sont le Lamento d’Arianna de Monteverdi, aux longueurs savantes de madrigal monodique, et à l’autre extrême, la célèbre chanson polissonne de Colette Renard Les nuits d’une demoiselle, alors que, lascive à souhait, elle parcourt le plateau. Sa voix est longue, étirée de manière élastique, dans le répertoire du premier baroque, faisant moirer les couleurs de métal fauve d’une épée taillée en biseau, soutenue par une émission puissante et résistante (d’autant plus que la voix alterne souvent avec la partie instrumentale, sans bénéficier de son soutien). Isabelle Druet, qui n’en est pas à son premier rôle parodique (entre autres Baba la Turque dans The Rake’s progress de Stravinsky, entendu à Nice) sait produire un théâtre de tréteaux vocal, faire rouler ses « r » et distiller un peu de vibrato. Elle produit de véhémentes déclamations entrant finalement dans le parlé, sachant changer de mode de chant avec ductilité, descendre dans les graves, insuffler encore de l’énergie au phrasé.

La pénétration réciproque des répertoires, inattendue, improbable mais crédible, voit le public acclamer le spectacle où les goûts et les temps réunis ont produit autant de plaisir d’un côté comme de l’autre de la salle. »

 

 

CASSANDRE – LES TROYENS – Berlioz

Oper Köln (Opera de Cologne) direction musicale FX Roth, mise en scène Johannes Erath, Gürzenich Orchester

Septembre/Octobre 2022

Opera online par Achim Dombrowski, 24.09.2022

« Particulièrement impressionnant : la chute de Cassandre symbolisée par sa danse macabre avec un danseur stylisé en cheval (de Troie). Si un tel numéro d’équilibriste stylistique peut réussir, c’est aussi grâce à la personnalité des chanteurs-acteurs. (…)

La Cassandre d’Isabelle Druet agit dans un désespoir dévorant avec une puissance vocale et d’actrice inépuisable. »

« Besonders eindrücklich: Cassandres Untergang symbolisiert in ihrem Todestanz mit einem als (trojanisches) Pferd stilisiertenTänzer. Dass allerdings eine solche stilistische GratwDass allerdings eine solche stilistische Gratwanderung überhaupt gelingen kann, liegt auch den Persönlichkeiten der Sängerdarsteller. (…) Die Cassandre von Isabelle Druet agiert in aufzehrender Verzweiflung mit stimmlich und darstellerisch unerschöpflicher Kraft. »

 

 Trouw , Peter Van der Lint, 28.09.2022

« En première partie, jouant dans Troie, Isabelle Druet était une incroyable Cassandre. La voyante, que personne ne croit, était toujours présente de manière hallucinante dans son interprétation. La rencontre avec le cheval de Troie (ici un danseur terrifiant) produisit un effet de choc. Et Druet a superbement fustigé les femmes troyennes, les incitant à choisir leur mort. « 

« In het eerste deel, spelend in Troje, was Isabelle Druet een geweldige Cassandre. De zieneres die door niemand geloofd wordt, was in haar interpretatie steeds hallucinerend aanwezig. De ontmoeting met het paard van Troje (hier een angstaanjagende danser) bracht een schokeffect teweeg. En Druet zweepte de Trojaanse vrouwen schitterend opnaar hun zelfgekozen dood. »

 

 Das Opernmagazin

« La mezzo-soprano française Isabelle Druet est l’héroïne charismatique des deux premiers actes « 

« Die französische Mezzosopranistin Isabelle Druet ist die charismatische Heldin der ersten beiden Akte »

 

Literaturundfeuilleton von Helge Kreisköther 27/09/22

« La Cassandre d‘Isabelle Druet, aussi intense et que stylistiquement assurée – cet opéra est un régal pour les rôles de mezzo impressionnants – brille dans la première partie. Elle ne se présente en aucun cas comme une diva, mais s’investit de manière si crédible dans l’histoire et dans son personnage que cela vous donne des frissons dans le dos lorsqu’à la fin du deuxième acte, elle se suicide avec ses femmes pour ne pas devenir la proie des Grecs. »

« Die gleichermaßen intensive wie stilistisch sichere Cassandre von Isabelle Druet – diese Oper ist ja ein Fest für beeindruckende Mezzo-Partien – brilliert im ersten Teil (von den zwei Teilen der Oper bzw. den drei Teilen des Kölner Abends). Sie stellt sich keineswegs divenhaft in den Vordergrund, sondern verschmilzt so glaubwürdig mit der Szene, dass es einem Schauer über den Rücken jagt, wenn Cassandre am Ende des zweiten Akts mit ihren Frauen in den Freitod geht, um nicht zur Beute der Griechen zu werden. »

 

 Kölner Stadt-Anzeiger Köln, par Markus Schwering, 25.09.2022

« Isabelle Druet dans le rôle de Cassandre percute immédiatement.

Elle amène le désespoir de son personnage face à l’inefficacité de ses avertissements avec une explosivité flamboyante, d’une voix souple et dramatique, pleine et portant jusque dans un profond registre alto. Elle partage les lauriers de la meilleure performance avec Veronica Simeoni en Didon. « 

« Isabelle Druet als Kassandra, sofort auffällt. Die bringt die Verzweiflung der Figur über die Erfolglosigkeit ihrer Warnungen mit lodernder Explosivität herüber, beweglich und dramatisch, satt und tragend bis in die tiefe Altlage. Den Lorbeer der Bestleistung muss sie sich mit Veronica Simeoni als Dido teilen. »

 

Opera Actual by Xavier Cester – 28/09/2022 –

« Une distribution équilibrée, qui a trouvé son meilleur atout dans la Cassandre d’Isabelle Druet. Avec une voix assez légère pour le rôle, la mezzo-soprano française éblouit par la variété de couleurs et d’accents avec lesquels elle construit une incarnation du souffle tragique irrésistible. « 

« Un reparto equilibrado, en buena parte con miembros de la compañía de la Ópera de Colonia, tuvo en la Cassandre de Isabelle Druet su mejor baza; con una voz algo ligera para el papel, la mezzosoprano francesa deslumbró por la variedad de colores y acentos con los que construyó una encarnación de un irresistible aliento trágico. « 

 

Online Musik Magasin, von Stefan Schmöe

« De nombreuses figures apparaissent stylisées ; la principale exception est Cassandre, la voyante maudite, dont personne ne croit les prophéties.Isabelle Druet lui offre une voix à la fois jeune, dramatique et flamboyante, et bien sûr elle est celle à laquelle on s’attache. »

« Viele Figuren erscheinen stilisiert; die wichtigste Ausnahme bildet Kassandra, die fluchbeladene Seherin, deren Prophezeiungen niemand glaubt. Isabelle Druet gibt ihr eine jugendlich-dramatische, flammende Stimme, und natürlich ist sie die Sympathieträgerin. »

 

General-Anzeiger Bonn, Bernhard Hartmann, 27.09.2022

« Isabelle Druet ravit avec un portrait captivant de Cassandre »

« Isabelle Druet begeistert mit einem packenden Porträt der Kassandra »

 

Der Opernfreund von Sebastian Jacobs, 26.9.22

« Le fait qu’ils aient un talent pour distribuer les bons chanteurs à Cologne est prouvé une fois de plus par le casting des premiers rôles. En première partie, Isabelle Druet, dont on s’était déjà enthousiasmé dans « Béatrice et Bénédict », montre à présent une intensité dramatique après avoir chanté un rôle tout en légèreté. Elle joue la voyante que personne ne croit avec une grande emphase et sait parfaitement incarner les tourments de son personnage tant sur le plan scénique que musical. »

« Dass man in Köln ein Händchen für gute Sänger hat, beweist ein Mal mehr die Besetzung der großen Partien. Im ersten Teil zeigt Isabelle Druet, die schon in „Beatrice et Benedict“ begeisterte, nach leichtem Stoff nun Dramatisches. Sie spielt die Seherin, der keiner glaubt mit großer Emphase und weiß die Qual ihrer Figur szenisch, wie musikalisch adäquat zu verkörpern. »

 

Klassikfavori von Sabine Weber, 26 September 2022

« Le drame captive du premier au dernier moment. Cassandre est une voyante troyenne indisciplinée toujours marginalisée dont les avertissements sont ignorés, même par son amant toujours apaisant. Isabelle Druet l’incarne avec jusqu’au bout des ongles, c’est brillamment chanté, avec beaucoup de verve dans les aigus, un volume imposant mais aussi des couleurs sensibles dans les différents registres ainsi qu’une présence scénique incroyable, toujours impressionnante même lorsqu’elle chante au sol, dans la rampe. »

« Drama vom ersten bis zum letzten Moment in den Bann schlägt. Kassandra ist eine immer randständige widerborstige Trojanerin und Seherin, deren Warnungen selbst von ihrem stets alles besänftigenden Geliebten in den Wind geschlagen werden. Isabelle Druet verkörpert sie mit Haut und Haar, intoniert glänzend, mit großer Verve in der Höhe, vollem Volumen aber auch feinfühligen Farben in verschiedenen Registern und mit einer unglaublichen Bühnenpräsenz, die selbst beim Rampensingen noch einnimmt. »

 

Orpheus Magasin von Iris Steiner

« Les deux dames exceptionnelles, Isabelle Druet (Cassandre) et Véronique Simeoni (Didon) méritent une mention spéciale. »

« Auch hier überzeugt die Kölner Produktion mit homogener Ensemble-Leistung ohne Ausfallerscheinungen. Stellvertretend hervorgehoben seien die beiden herausragenden Damen Isabelle Druet (Cassandre) und Veronica Simeoni (Didon). »

 

 

Frankfurter Allgemeine Zeitung, Klaus Heinrich Kohrs, vom 27.09.2022

« Du reste, elles sont magnifiques : Druet dans le long souffle et l’endurance du duo avec son noble fiancé désespéré Chorèbe (Insik Choi), enfin et surtout dans sa prophétie finale de la mort. »

« Im Übrigen sind sie großartig: Druet im langen Atem des Duetts mit dem nobel sich haltenden verzweifelnden Verlobten Chorèbe (Insik Choi), und hier vor allem in der interpolierten hysterischen Untergangsprophetie . »

 

Die Deutsche Buhne von Andreas Falentin 25/09/22

« Le chant est à un niveau rarement vu dans cette maison ces dernières années. Isabelle Druet en Cassandre et Veronica Simeoni apportent de précieuses voix de mezzo-soprano et sont à la fois des interprètes remarquables et très compréhensibles. Druet surtout brille dans l’interprétation du texte et montre d’infinies nuances entre chant parlé et chant legato. »

« Dazu wird in dieser ersten Premiere unter dem neuen Intendanten Hein Mulders auf einem Niveau gesungen wie selten in diesem Haus in den letzten Jahren. Isabelle Druet als Kassandra und Veronica Simeoni bringen kostbare Mezzosopran-Stimmen ein und sind dazu beide herausragende und sehr textverständliche Interpretinnen. Druet vor allem in der Textausdeutung brilliert und dabei unendlich viele Nuancen zwischen Sprech- und Legatogesang zeigt (…). »

 

Kölnische Rundschau Köln , Olaf Weiden
 vom 26.09.2022

« Isabelle Druet, qui avait fait ses débuts à domicile avec le rôle-titre dans « Béatrice et Bénédict », nous a convaincu dans le rôle de Cassandre. »

« Als Kassandra überzeugte Isabelle Druet, die mit der Titelrolle in « Béatrice und Bénédict » ihr Hausdebüt ablegte. »

 

Concertclassic.com par Pierre-René Serna

« Isabelle Druet reste la Cassandre assurée qu’elle avait déjà offerte *(au Festival
Berlioz, sous la direction de Roth) »

* Parmi ces solistes, Isabelle Druet offre une Cassandre d’envergure, dans une ligne de chant jamais prise en défaut (malgré un orchestre placé acoustiquement sur le même plan, comme nous disions) et une incarnation éminemment dramatique.

 

BÉATRICE – BÉATRICE ET BÉNÉDICT – Berlioz

Oper Köln/ Opéra de Cologne – Avril/Mai 2022

Mise en scène Jean Renshaw, direction FX Roth

Live in der Oper 30/04/22

« Sa cousine Béatrice, fabuleusement chantée et jouée par Isabelle Druet, oppose à ce chant étincelant et paré des parties de mezzo boyish mais finement nuancées, notamment en voix de poitrine. Elle a offert un premier rôle très applaudi.

Béatrice et Bénédict à l’Opéra de Cologne est une pièce merveilleusement gaie, belle, superbement chantée, jouée et présentée, tout simplement juste ! »

 

« Die Frauen haben das Sagen! (…) Ihre Cousine Béatrice, fabelhaft gesungen und gespielt von Isabelle Druet, setzt diesem glitzernd geschmückten Gesang burschikose, aber gerade in der Bruststimme fein nuancierte Mezzo-Parts entgegen. Auch sie bot ein mit viel Applaus bedachtes Rollendebüt dar. Das Terzett der Frauenstimmen im zweiten Akt auf eine wundervolle Weise so brillant gestaltet, dass man unweigerlich an den Rosenkavalier dachte. Alors – Béatrice et Bénédict an der Oper Köln ein wunderbar heiteres, schönes, großartig gesungenes, gespieltes und präsentiertes Stück, einfach stimmig! »

CHANTS DU SUD – Canteloube, Ferez

Théâtre Ledoux, Besançon – 5 Mars 2022

avec l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, direction Arnaud Pairier

Resmusica – Jean-Luc Clairet , 9 Mars 2022

« La Orilla del mar a été composé pour Isabelle Druet, autre citoyenne de la vieille ville espagnole, et chanteuse dont l’on ne cesse de louer l’ensorcelante vocalité. Isabelle Druet fait des neuf minutes de La Orilla del mar un puissant moment de théâtre. L’on n’oubliera pas de sitôt le regard atone et vide qui éteint longuement son visage sur la très belle déploration venue sceller l’humanisme hugolien.

En préambule de ce coup de massue, celle qui est à l’heure actuelle la plus grande interprète des Troyens (Cassandre et Didon), aura fait des deux mélodies inédites de Jean Gabriel-Marie (incrustées au cœur des cinq numéros de Miréio), puis de quatre des vingt-six Chants d’Auvergne de Joseph Canteloube (assez voisins stylistiquement) un mini-festival condensant, entre sensualité étouffante (somptueux Baïlero, gourmand Lo Fiolairé) et rouerie consommée (Lou Boussu), l’art autant scénique que vocal de la cantatrice. »

TRITON dans CORONIS – Sebastian Durón

 Opéra Comique Février 2022

 

Forum Opera – 17/02/2022 – Guillaume Saintagne

 « Il n’y a finalement qu’Isabelle Druet pour changer le plomb en or. Alliant avec excellence bel canto et expressivité, sans tomber dans l’outrance que la mise en scène lui autoriserait pourtant, elle brille même dans les passages qui n’auraient été que de longs tunnels pour d’autres. »

 

Olyrix – 15/02/2022 –  Claire Massy-Paoli

« Isabelle Druet déploie une constante aisance en Triton, devenant la créature marine dans sa démarche même, avec une autodérision bienvenue tout en étant capable de travailler le pathos de son interprétation, jusqu’à presque tirer des larmes au public, ému par ses amours malheureuses. Le timbre de la chanteuse, entre résonances nasalisées, voix de tête et moments parlés-chantés, joue (avec constante justesse) de ces notions d’hybridité qui sont au cœur de la problématique du monstre, mi-humain mi-poisson. L’amplitude vocale d’Isabelle Druet est aussi remarquée avec des graves ronds et des aigus assurés, permettant même certains effets de « croassement » propres au monstre, tout en maintenant l’intensité de chacune de ses interventions. »

 

Muse Baroque – 15/02/2022 – Pierre-Damien HOUVILLE

« Une stature, un équilibre tout en mesure face au trublion Triton, incarné par Isabelle Druet qui trouve l’occasion de déployer tout son talent dans le long et sublime lamento du début de la seconde journée (scène 4), déplorant sa disgrâce amoureuse. »

LE DÉLUGE – Saint-Saëns, Les Nuits d’été – Berlioz

Ostrava, République Tchèque – 28 Septembre 2021

Ostravan.cz, par  Milan Bátor, le 29.09.2021.

Recenze převzata z Internetového deníku pro umění a kulturu Ostravan.cz, 29.9.2021, autor Milan Bátor.

 « Les solistes français ont interprété des mélodies à tour de rôle, dont la mezzo-soprano Isabelle Druet, qui m’a le plus séduit. Son interprétation était aussi proche que possible d’un rendu idéal – elle s’accompagnait d’une excellente diction, d’une expression juste et d’une belle énergie personnelle. La mezzo-soprano ne laissait aucun doute et a montré qu’elle savait exactement ce qu’elle faisait. Chaque mot qu’elle prononçait portait le cachet d’une confession authentique et personnelle. »

V jednotlivých písních se představili francouzští sólisté, z kterých mě nejvíc oslovil mezzosoprán Isabelle Druet. Její projev se maximálně blížil ideálnímu ztvárnění – interpretaci Druet provázela vynikající dikce, přiléhavý výraz a krásná osobní energie. Mezzosopranistka nedala důvod k jakýmkoli pochybám a ukázala, že ví přesně, co dělá. Každé slovo v jejím podání mělo punc autentické a osobní zpovědi.

 

DIDON dans LES TROYENS – Berlioz

Festival Berlioz, La Côte St André – Août 2021

Forum Opéra – Yvan Beuvard

« Après sa Cassandre en 2019, Isabelle Druet nous offre une Didon volontaire, tendre et douloureuse. Les qualités expressives, la diction s’ajoutent à celle de la voix, souple, longue, ample et chaude, propre à porter l’émotion, de la séduction à l’ivresse et à la mort. Toujours noble, incertaine, aimante, passionnée, furieuse, résignée puis transfigurée et imprécatrice, toutes les étapes de la progression sont illustrées avec maestria. Aucune défaillance, et des sommets (son duo progressivement fusionnel avec Enée « Nuit d’ivresse et d’extase infinie», puis « Errante sur tes pas », avant la fin, déchirante), nous avons affaire à une Didon d’exception. »

 

Concert Classic – Laurent Bury

« Après avoir réussi Cassandre en 2019, Isabelle Druet revient en Didon : vêtue d’une somptueuse robe verte, elle est la reine de Carthage (c’est à peine si elle jette un œil de temps à autre à sa partition), mais une Didon qui n’a rien de marmoréen. Loin de la noblesse imposante au drapé figé, cette reine-ci a d’abord la majesté souriante, voire coquette ensuite, avant d’afficher le masque tragique qui s’impose. Si la mezzo n’a pas toujours l’ampleur qu’offrirait un grand soprano dramatique, elle offre en revanche ce que pratiquement aucune titulaire actuelle n’avait pu proposer : une diction superlative, une déclamation constamment investie qui donne un sens à chaque mot et qui montre ce que « chanter français » veut dire. »

Diapason – Gérard Condé

« En 2019, La Prise de Troie (actes 1 et 2 des Troyens) avait consacré les ressources vocales, timbre et puissance d’Isabelle Druet, tragédienne accomplie dans le rôle omniprésent de Cassandre. Dans Les Troyens à Carthage (actes 3, 4 et 5 des Troyens) elle a reparu en Didon souveraine, amoureuse, inquiète, ardente de fureur, désespérément résignée enfin. »

 

Resmusica – Michèle Tosi

« Elle était la Cassandre de la Prise de Troie, premier volet (Actes I et II) des Troyens d’Hector Berlioz donnés en 2019. Isabelle Druet revient sur le devant de la scène en Didon, une prise de rôle pour la mezzo-soprano (…) qui endosse son rôle avec la noblesse et l’élégance qui incombent à une reine : clarté de l’élocution, tonicité de la voix et puissance expressive du verbe. « Nuit d’ivresse et d’extase infinie », le duo des deux amants à la fin du IV est d’une beauté hypnotique, conduit avec beaucoup de grâce et de finesse par les deux voix en parfaite osmose : sommet d’une soirée qui marquera sans nulle doute d’une pierre blanche cette édition 2021. »

 

Concerto Net – Philippe Manoli

« La mezzo niortaise fait preuve tout au long de l’œuvre d’un grand impact théâtral, investissant le rôle par des expressions faciales mesurées et aptes à capter l’attention tout au long des passages orchestraux fort nombreux dans cette version concertante. Dès le duo avec Anna, elle use d’une émission haute qui lui permet d’obtenir une aisance de projection susceptible de résister aux assauts de la masse orchestrale, tout en lui donnant une grande marge de manœuvre sur le plan du lyrisme, porté par les mots, par une diction impeccable et un véritable art de la déclamation lyrique. Elle peut ainsi, en évitant de poitriner à l’excès, incarner une reine d’abord émue, saisie par la passion amoureuse puis dévastée par l’abandon et se raidissant d’orgueil dans la prophétie finale. La douleur intériorisée d’«Adieu, fière cité» approche alors l’émotion distillée par les plus grandes, et le sommet de sa prestation comme de la soirée est le duo d’amour «Nuit d’ivresse» où, rejointe par Mirko Roschkowski, elle peut offrir un legato émerveillé et filer des volutes d’extase enivrées. »

 

 

La Nostalgie d’Arabella  – Jean Barraqué

Festival Présences – Radio France – 3 février 2021

Forumopera.com –   09/02/21 –   Alexandre Jamar

« Dans ce monologue d’une énergie délirante, qui n’est pas sans rappeler la « pitoyable aventure » chez Ravel,  Isabelle Druet  jongle avec les humeurs les plus variées. Tantôt désespérée, amusée, en colère ou vulgaire, elle profite de chaque rupture dans le discours pour mieux nous faire aimer la pièce. Son mezzo brillant et fruité sied admirablement à la partition. »

Anaclase.com – 03/02/21 – Laurent Bergnach

« Le 8 mars 1949, à 3h25, Jean Barraqué achève (…) La nostalgie d’Arabella, sorte d’oratorio pour voix, trompette, piano et trois percussions, aux accents de Stravinsky et Bartók. Habituée à servir les mots en petite formation, Isabelle Druet se révèle particulièrement en forme dans cette œuvre loufoque qui depuis soixante-dix ans attendait d’emplir l’espace. »

 

Il fait novembre en mon âme – El Khoury

Philharmonie de Paris – 10 novembre 2020

Lorientlejour.com –   14/11/20 –  Zeina Saleh Kayali

« Vers la fin de la pièce, la voix de la mezzo-soprano, lancinante, émerge de l’orchestre comme une prière sans paroles, supplique d’une grande douceur superbement restituée par le timbre chaud et sombre d’Isabelle Druet« 

 

SHÉHÉRAZADE de Ravel avec Les Siècles

Philharmonie de Paris – Novembre 2019

Classique c’est cool – 29/11/2019 – Hugues Rameau Crays

« L’orchestre sait néanmoins se faire charmeur surtout dans Shéhérazade que l’on a rarement entendu interpréter de la sorte. Complice, la mezzo Isabelle Druet partage à l’évidence la vision inédite du chef. Dans Asie, le poème de Tristan Klingsor est raconté de l’extérieur contrairement à l’usage qui veut que les chanteuses au regard évaporé ânonnent leur texte comme une réminiscence.   La belle Isabelle (admirablement vêtue d’une robe bleue nuit) à la diction exemplaire raconte une histoire qu’elle construit sous nos yeux comme Shéhérazade. Et surprise, après le fameux aigu (impeccable) sur le « haine » un basculement s’opère dans le regard devenu vague où l’on comprend alors qu’elle a vécu toutes ces choses. Du très grand art ! L’actrice fait corps avec la musique de La Flûte enchantée et de L’indifférent incarnés avec une rare intelligence. Le chef sait comme personne faire dialoguer l’orchestre avec son artiste (comme dans les quatre derniers Lieder en octobre dernier) et livre avec Isabelle Druet une interprétation accomplie de Shéhérazade qui fera date.

ODB-Opéra –  26/11/2019 – Emmanuelle Pesqué
« Quant à Isabelle Druet, elle incarne littéralement les trois poèmes de Shéhérazade en conteuse enchanteresse, guidant l’auditeur dans les atmosphères de ces miniatures sophistiquées : mystère, sensualité et finesse sont les guides de ces récits. Diction superbe, jeu avec les couleurs de l’orchestre et théâtralité emportent l’adhésion et font voyager avec elle.»

Crescendo magasine – 09/12/2019- Pierre Carrive

« Pour le merveilleux triptyque Schéhérazade, Isabelle Druet entre sur la scène de la Philharmonie blanche et dorée avec une superbe robe bleue, qui est comme un costume de l’« immense oiseau de nuit dans le ciel d’or » d’ »Asie ». (…) Elle s’y montre une formidable conteuse, sachant passer, non sans ambiguïté, du mystère à l’humour, de la terreur à la nostalgie. Dans La Flûte enchantée, elle est toute en souplesse et en grâce, et la voix se fait plus claire. L’Indifférent est délicieusement troublant… Quelle diction, et surtout, quelle présence ! »

Toute la Culture.com –  04/12/2019 – Lise Lefebvre
«Shéhérazade a conclu la première partie, avec la voix d’Isabelle Druet. Sur des poèmes de Tristan Klingsor, où des échos de Baudelaire se font entendre, Ravel a tissé des mélodies qui dessinent un Orient fictif et fabuleux. Très expressive, la cantatrice a su entraîner la salle dans ce rêve esthétique, tout en maîtrisant les intervalles redoutables de la partition.»

Olyrix – 29/11/2019 –  Nicolas Mathieu

«  Vêtue d’une ample robe, la chanteuse s’avance sur scène et embrasse d’emblée la salle avec des « Asie » pleins d’un charme mystérieux sur des cordes caressées du bout de l’archet. La partition disposée sur le côté tient le rôle de mémo, laissant à la chanteuse l’espace pour un engagement théâtral apprécié et une verve narrative indéniable. (…) Les aigus resplendissent légers et sonores, en particulier dans la deuxième partie où ils se font ductiles et flottants en dialogue avec les mélopées de la flûte traversière (« L’ombre est douce et mon maître dort »). Les ornements qui ponctuent le discours, à l’instar des glissandi et de légers mouvements chantés avec du rubato (tel un bref épanchement) sont du plus bel effet et s’accordent à la grande sensualité de l’œuvre.»

TRITON dans CORONIS – Sebastian Durón

Théâtre de Caen – Novembre 2019

Forum opéra – 06/11/2019 – Jean-Marcel Humbert

«  La grande triomphatrice de la soirée est Isabelle Druet, Triton de haut vol, caractérisé tant par le jeu scénique et la voix chaude et expressive de son interprète, que par ses intonations allant du charme aux éclats les plus inquiétants. Tout cela se résume dans l’air plein d’émotion « Dites-moi plantes, fleurs, sources…, où est ma bienaimée ? », qu’enrhumé, le monstre maléfique chante ses pieds difformes plongés dans une bassine d’eau chaude. »

Opéra magazine – 12/2019 -François Lehel

« On est plus séduit encore par le Triton d’un extrême raffinement vocal d’Isabelle Druet, qui correspond à la touchante dimension d’humanité du personnage et atteint à la plus grande émotion dans sa défaite et sa mort, au II. »

WebThéâtre – 07/11/2019 – Christian Wasselin

« Sur scène, la distribution est faite essentiellement de voix féminines, parmi lesquelles on citera Isabelle Druet, irrésistible en Triton (elle qui fut la Cassandre de Berlioz en août dernier à La Côte-Saint-André !) »

Bachtrack – 12/11/2019 – Philippe Ramin

« [Coronis]répond aux moires sombres d’une Isabelle Druet tour à tour émouvante dans ses sublimes lamenti, inquiétante ou désespérée dans des récits superbement détaillés.»

Diapason –  14/11/2019 –  Loïc Chahine

« le velours d’Isabelle Druet, touchant Triton, sublime lors de sa (double) mort »

Der Neue Merker – Waldemar KAMER

«  Isabelle Druet, beaucoup plus expérimentée, interprète le rôle de Triton, jouant sans effort avec tous les registres de sa superbe voix. »

Le monde – 08/11/2019 – Marie-Aude Roux

« On comprend que pour elle, le Triton d’Isabelle Druet verse de bien belles larmes d’amour.»

La Croix – 08/11/2019 – Emmanuelle Giuliani

« Y brille Isabelle Druet, Triton ridicule mais si émouvant »

Toute la Culture  –  07/11/2019 – Yaël Hirsch

«  Coronis présente un duel de dieux amoureux avec une jolie économie de voix, presque toutes féminines et toutes très convaincantes (notamment Isabelle Druet en Triton).»

Classiquenews – 07/11/2019 –   Pedro octavio diaz

«  Isabelle Druet est un Triton émouvant et nous transporte avec ses médiums riches. C’est une soliste dont la voix est tout un théâtre, une de ces artistes qui peut offrir à tous ses rôles, le sens dramatiques le plus fort, l’émotion la plus précise. »

Concertclassic – 10/11/2019 – Pierre-René Serna

« Cette vie, cette expression transcendante parcourent tout autant le plateau vocal. […] et Isabelle Druet (Triton) expriment leur art d’une technique fermement projetée et de nuances finement distillées.»

Musicologie –  13/11/2019 – Alain Lambert

« Isabelle Druet un Triton tragique dans son amour impossible »

Ôlyrix – 07/11/2019 – Damien Dutilleul

« Isabelle Druet (Triton) couvre fortement sa voix de mezzo, lui conférant parfois les sonorités râpeuses d’un contre-ténor. Le vibrato est vigoureux, la voix ferme, la prononciation soignée. » 

REQUIEM – Duruflé

Maison de la Radio – Octobre 2019

Ôlyrix – 23/10/2019 –  Vojin Jaglicic

«Pie Jesu du Requiem (Duruflé) fait paraître la mezzo-soprano , Isabelle Druet, qui se présente par un timbre foncé mais tendre, tissant les fi nes et douces lignes mélodiques du chant grégorien. L’articulation du latin est respectable, l’élégance de son piano s’aligne avec le jeu intime de l’orgue.»

Bachtrack – 21/10/2019 – Apolline Gouzi

«Le solo du « Pie Jesus Domine », assuré par la mezzo-soprano Isabelle Druet, met en valeur toute la richesse du timbre de la chanteuse, qui se déploie d’un registre grave profond et chatoyant à des aigus cristallins. Le vibrato et les phrasés, parfaitement maîtrisés, s’accompagnent d’une élocution parfaite. »

 

CASSANDRE – LES TROYENS – Berlioz 

Festival Berlioz – Août 2019

Télérama –  29/08/19 –  Sophie Bourdais

«Cassandre phénoménale et bouleversante de la mezzo-soprano Isabelle Druet (ce rôle écrasant lui va comme un gant)  [ …]»

Classicagenda –  09/09/19 – Marc Portehaut 

«La Prise de Troie, [ …] toute en énergie et en sensibilité, a enthousiasmé le festival.  Isabelle Druet  a merveilleusement réussi sa prise de rôle d’une Cassandre en émotion et en finesse : elle a réellement incarné ce personnage, témoin halluciné de l’aveuglement des siens et annonciatrice des désastres à venir.»

ResMusica –  29/08/19 –  Michèle  Tosi

«Le premier acte est dominé par la personnalité de Cassandre, essayant en vain de prévenir les Troyens d’un drame imminent.. Sur la scène du Château Louis XI, la mezzo-soprano Isabelle Druet trouve la couleur,  les accents expressifs et l’envergure tragique d’un personnage qu’elle habite pleinement.»

Le Figaro –  Thierry Hillériteau

«Côté vocal, c’est surtout à la Cassandre d’Isabelle Druet que reviennent tous les honneurs. Totalement habitée, tragédienne absolue, se jouant de l’ambitus et de la puissance du rôle, elle porte l’épopée dramatique[ …] Une exécution accueillie par une standing ovation. »

ConcertClassic.com –  Pierre-René Serna
«Parmi ces solistes, Isabelle Druet offre une Cassandre d’envergure, dans une ligne de chant jamais prise en défaut (malgré un orchestre placé acoustiquement sur le même plan, comme nous disions) et une incarnation éminemment dramatique.[ …] Grand moment assurément de cette édition du Festival Berlioz que le public, lourd d’un silence attentif, reçoit au final d’une ovation triomphale debout. »

Diapason Magasine –  Gérard Pons

«Les premiers actes, qui forment un tout sous le titre de La Prise de Troie, auront été l’un des temps forts du Festival 2019, consacrant les ressources vocales (timbre et puissance) d’Isabelle Druet, tragédienne accomplie dans le rôle omniprésent de Cassandre.»

Ôlyrix –  28/08/19 –  José Pons

«Isabelle Druet prête ses authentiques moyens de mezzo-soprano au rôle crucial de Cassandre, lui conférant une grande dignité et une présence indéniable..»

CARMEN – rôle titre – Bizet

Opéra de Saint-Etienne – Juin 2019

Opéra Magazine – septembre 2019 – Patrice Henriot

«De bout en bout, la présence vocale et drammatique d‘Isabelle Druet s’impose dans le rôle-titre. Sa technique de la coloration, du parlando jamais exagéré au grand legato, signe une totale adéquation au personnage provocant, enjôleur toujours épris de dignité. La « Habanera », la « Séguedille », l’air « des cartes », l’affrontement final offrent des moments d’anthologie.»

Forum Opera – 17/06/2019 – Yvan Beuvard

«La distribution vocale, proche de l’idéal, nous vaut une Carmen subtile, puissante, dont l’évolution est parfaitement maîtrisée. La voix d’Isabelle Druet est somptueuse, le chant ample, timbre sombre aux graves capiteux, avec un soutien et des phrasés admirables.»

ResMusica –   Jean-Luc Clairet 

«Saint-Étienne invite Isabelle Druet à montrer de quel bois se chauffe sa Carmen déjà révélée à Metz en 2011, une Carmen qui prouve aujourd’hui qu’Isabelle Druet forme avec celles de Gaëlle Arquez et Stéphanie d’Oustrac un trio de Bohémiennes des plus excitants. On est saisi dès la carte de visite de « Quand je vous aimerai » : beauté gourmande de la ligne, galbe cuivré du grave de la dernière syllabe. Tout y est dit de la séduction stylistique de cette Carmen jamais vulgaire ni histrionique, qui jamais ne poitrinera, qu’on n’aura jamais envie de faire taire : d’une Habanera drôlissime à un Air des cartes hanté, quelle palette de jeu, quelle leçon de chant ! » (…) Florian Laconi a déjà occis plus d’une Carmen mais le chanteur, perceptiblement impressionné par sa partenaire, entame cette fois avec elle un dialogue qui les conduit l’un comme l’autre très loin dans leur art respectif. L’on n’est pas prêt d’oublier le stupéfiant finale du III, avec une Carmen au bord de la crise cardiaque.»

Ôlyrix – Pierre Géraudie

«La vedette du spectacle est la Carmen électrique et envoûtante d’Isabelle Druet. Si jamais l’attention ne diminue, c’est aussi très largement grâce au plateau vocal, entièrement francophone, et porté par la Carmen d’Isabelle Druet. La mezzo-soprano française apparaît totalement convaincante et investie dans ce rôle, se livrant sans aucune économie dans un jeu de scène servi par une énergie de tous les instants. Ensorcelante et manipulatrice à souhait, incandescente dans sa gestuelle comme dans ses regards (d’abord en chignon, les cheveux sont vite relâchés) cette Carmen fait voler la vaisselle dans la taverne de Lillas Pastia, et balance des seaux d’eau à la figure des soldats pour mieux les provoquer. Vocalement, Isabelle Druet use d’un timbre plein et vigoureux, aussi subtil et charmeur dans les aigus qu’autoritaire et volcanique dans les graves. Carmen sait se faire détester autant qu’aimer, et sa complicité avec les autres personnages fonctionne à plein, que ce soit avec ses deux amants, ou encore avec ses comparses Frasquita et Mercedes.»

Opéra Online  –  Emmanuel Andrieu

«Isabelle Druet et Florian Laconi, duo de choc dans Carmen à Saint-Etienne. […]Dans le rôle de la sulfureuse cigarière, Isabelle Druet s’avère d’une beauté vocale surprenante, et d’une personnalité attirante, comme on avait déjà pu s’en féliciter à l’écoute de sa Junon rhénane (dans Platée) ou plus dernièrement de sa Baba niçoise (The Rake’s progress). La mezzo française offre également une voix sonore, à la superbe projection, aux graves soutenus, au médium charnu et au phrasé remarquable. Par ailleurs formidable comédienne, la chanteuse capte également l’attention par son assurance et son aplomb scéniques : une Carmen sur laquelle il faut désormais compter !»

Baba the Turk dans THE RAKE’S PROGRESS – Stravinsky

Opéra de Nice – Février 2019

Ôlyrix.com – 02/03/2019 – Florence Lethurgez

«Baba la turque est une Barbe-Rousse chantée par la mezzo-soprano Isabelle Druet, qui arbore un long masque pileux. Elle a les dimensions vocales du rôle également, soumettant son organe charnu et ductile aux minauderies du caprice comme aux mures décisions d’actrice.»

Anaclase.com – 01/03/2019 – Irma Foletti

«…Isabelle Druet impose sa présence vocale en Baba The Turk….»

Opéra Online – 06/03/2019 – Emmanuel Andrieu

«On est heureux de retrouver Isabelle Druet dans la partie de Baba (rôle qu’elle avait déjà interprété à Limoges il y a deux ans), qui –  outre la beauté du chant -, s’avère être une comédienne de premier plan, dont réconfortent l’autorité et la justesse du jeu.»

Opéra Magazine – 01/03/2019 – François Lehel

«Isabelle Druet (déjà dans la production de Caen, en 2016) s’impose décidément comme une Baba magistrale, souveraine d’autorité, drôle mais jamais caricaturale, et qui sait sans hiatus déployer un coeur généreux.»

TISBÉ dans CENERENTOLA – Rossini

Palais Garnier, Paris – Novembre/Décembre 2018

Artistikrezo.com  –  26/11/2018  –  Hélène Kuttner

«Chiara Skerath et Isabelle Druet, en robe blanche de gamines gâtées, sont impayables de perversité et de méchanceté.»

Forumopéra.com  –  23/11/2018  –  Christian Peter

«Rescapées de la distribution d’origine, Chiara Skerath et Isabelle Druet sont épatantes en sœurs méchantes qu’elles incarnent avec des voix solides»

CD – L’EUROPE GALANTE

Château de Versailles spectacles 

Septembre 2018

Forumopera.com –  19/10/2018 –  Clément Demeure

«Isabelle Druet a déjà laissé au disque une bien belle Clorinde dans le Tancrède du même Campra. Elle place ici la barre très haut : riche d’un bas-dessus homogène, elle offre à la Discorde l’entrée pompeuse que lui refuse l’orchestre et marque l’acte turc de sa remarquable éloquence.»

ResMusica.com – 10/12/2018 –  Jean-Luc Clairet

«Isabelle Druet s’empare magistralement de toutes ses interventions avec la science que l’on avait louée dans sa magnifique Clorinde d’un récent Tancrède

ClassiqueNews.com – 16/12/2018 –  Ernst Van Bek

«La Turquie, s’ouvre en chaconne sombre et presque mélancolique sur le lamento qui montre l’impuissance de Zaide (somptueux mezzo intelligible d’Isabelle Druet). C’est l’un des épisodes les mieux incarnés : verbe clair et naturel, orchestre souple et onctueux même. Du grand art.»

Avant-scène opéra – 29/11/2018 –  Olivier Rouvière 

«Bravo à Isabelle Druet, Discorde idéalement tranchante et Doris bouleversante.»

Ôlyrix.com – 17/11/2018 –  Charles Arden

«Complétant à merveille le trio féminin dans un registre tout autre et non moins puissant, le personnage de la Discorde se lit sur le faciès de la mezzo-soprano Isabelle Druet. Son visage est un opéra, se tordant de menace, de douleur, comme d’un rire sardonique. Avec le visage, s’harmonise un corps serpentin, ployant pour bondir en diablotin, se cachant derrière un pilier pour courir à l’avant-scène (tout en maîtrisant ses accents lyriques). Discorde finira en séductrice mutine, emportant avec elle la pointe acide de son premier personnage.»

RECITAL « Au Pays où se fait la guerre »

Festival Palazzetto Bru Zane / Bouffes-du-Nord Paris – Juin 2018

Olyrix – Juin 2018  –  Charles Arden

«L’héroïne de la soirée, la mezzo-soprano Isabelle Druet, entre alors dans une belle robe automne avec un képi kaki sur la tête  et elle offre un air de circonstance (tout le programme de la soirée est « de circonstance ») : La  Grande-duchesse de Gérolstein (1867) d’Offenbach qui chante « Vous aimez le danger, Le péril  vous attire, Et vous ferez votre devoir; Vous partirez demain, Et moi, je viens vous dire, Non  pas adieu, mais au revoir ! » L’interprétation est également parfaitement de circonstance : la chanteuse s’appesantit sur les consonnes, enchaîne les accents martiaux, les langoureux  mezza voce (accompagnés d’un ballet de sourcils frondeurs ou mutins). Une interprétation  renforcée par les qualités d’actrice d’Isabelle Druet, qui s’est d’abord formée au théâtre, cela se voit, cela se déguste ! Cela donne très envie de la voir dans ses prochains rôles.»

L’Heure espagnole / Gianni Schicchi

Opéra Bastille – Mai 2018

ForumOpéra – Mai 2018 –  Christian Peter

«Les autres rôles secondaires  n’appellent que des éloges, citons l’excellent Simone de Maurizio Muraro, Emmanuelle  de  Negri et Isabelle Druet, respectivement Nella et la Ciesca, tour à tour hargneuses envieuses.»

RECITAL Ives/Berberian

Printemps des arts de Monte Carlo – Mars 2018

Nice Matin – Mars 2018 –  André Peyregne 

«Et l’on  put entendre une guirlande de mélodies subtiles de ce  compositeur interprétées avec une précision parfaite par la  chanteuse Isabelle Druet

Annina dans LA TRAVIATA – Verdi

Opéra Bastille – Février 2018

Olyrix –  Février 2018 –  José Pons

«Belle satisfaction par contre pour les seconds rôles que ce soit l’Anina à la voix assurée et  chatoyante d’Isabelle Druet»

Resmusica – Février 2018 –  Steeve Boscardin

«[…] il semble juste de souligner la qualité des comprimari de très grand luxe proposés par l’Opéra de Paris : l’Annina d’Isabelle Druet et le  Grenvil de Tomislav Lavoie sont tous deux très émouvants et sortent leurs rôles du simple faire-valoir, avec des interventions  toujours très incarnées  et bien chantantes.»

CONCERT avec l’Orchestre de la Garde Republicaine

Eglise Saint-Louis des Invalides – Décembre 2017

Le Monde – 13/12/17 – Pierre Gervasoni

«La voix féminine arrive enfin avec Isabelle Druet. Celle-ci met le feu aux poudres avec une interprétation irrésistible de la Habanera de Carmen. Lorsque, roulant les « r » autant que les yeux, elle chante « Si tu ne m’aimes pas, je t’aime », chaque homme, militaire ou non, désire en prendre pour son grade !

Offenbach, le vrai, celui de l’opéra-bouffe, revient à la charge avec une sélection de ses plus réjouissants solos. Isabelle Druet enfile une veste de circonstance, étoffe noire et boutons argentés, pour interpréter l’air « Je suis veuve d’un colonel », extrait de La Vie parisienne. Actrice hors pair, entre théâtre de boulevard et attraction de cabaret, elle multiplie les mimiques qui font mouche sans jamais se départir d’une expression vocale tutoyant des sommets d’art lyrique. Bien que réduite à un mètre carré, l’estrade sur laquelle elle chante semble aussi étendue que le plateau d’un grand opéra.

Après une incursion dans le répertoire de Gaetano Donizetti (La  Fille du régiment), elle revient à deux Offenbach des plus appropriés, tirés l’un et l’autre de La Grande-Duchesse de Gérolstein. Avec des « s » d’une sensualité équivoque et des aigus lancés comme des boulets de canon, le fameux   Air du sabre  est de nature à damner plus d’un soldat dans l’église qui leur tint lieu de chapelle… Quant au numéro suivant, entonné en pointant du doigt quelques heureux élus, il parle de lui-même. « Ah que j’aime les militaires ! », s’exclame la mezzo au timbre cuivré, et ceux-ci le lui rendent bien. Deux généraux en uniforme, dont celui qui dirige les Invalides, se précipitent sur elle et lui font fête. Sans se soucier du protocole.»

Classique-c-cool – 19/12/17 – Hugues Ramea-Rays

«La suite de ce concert a été largement dominée par la performance de la mezzo Isabelle Druet qui a effectué un véritable hold-up . Dans les extraits d’Offenbach ou de la Carmen de Bizet, elle s’ est montrée canaille tout en affichant une très grande classe. En interprétant « Je suis veuve d’ un colonel» ou « Ah ! que j’aime les militaires » devant un parterre concerné (avec la présence dans le public de quelques gradés de l’Armée) , elle a emporté une adhésion immédiate . Il faut dire que son jeu d’ actrice très naturel est un vrai régaL
Plus remarquable encore, la diction de cette jeune artiste est en tout point exemplaire. L’on ne perd pas un mot dans les tirades en mitraillette d’ Offenbach . Le seul regret serait la brièveté de ce concert  d’après-midi où le temps est passé beaucoup trop vite …
Espérons que ces extraits bien choisis soient comme un prélude à ce que l’on pourrait retrouver sur scène, la relève de Felicity Lott dans ce répertoire étant assurée.»

Culture Box – 18/12/17-  Bertrand Renard

«Isabelle Druet, parfaite Carmen…»
«Isabelle Druet, dans une jolie robe gitane aux tons tabac (référence à Carmen) chante de sa belle voix de mezzo, parfaitement égale sur toute la tessiture, aigus éclatants compris, « L’amour est enfant de Bohème »: chic, diction parfaite, ligne de chant, art du mot. Il y aura aussi (..) trois Offenbach, dont « Je suis veuve d’un colonel » de « La vie parisienne » où les ruptures de tons font leur effet comique car Druet est aussi une comédienne éprouvée.
(…) Quand elle chante (parfaitement) « Ah! que j’aime les militaires! », Druet, très intelligemment, nous montre d’abord une femme qui ne voit que le prestige de l’uniforme (dont les hommes, moustache avantageuse et taille bien prise, savaient jouer également) se rêver, comme une midinette, en cantinière, pour se demander enfin, lucide pendant quelques secondes, « cela me plairait-il, la guerre? »: et là, la cantatrice fait magnifiquement sonner la phrase pour nous rendre cette inconscience encore plus sensible.»

Zaïde, Doris et la Discorde dans L’EUROPE GALANTE – Campra

Opéra royal de Versailles – Les Nouveaux Caractères, direction Sébastien d’Hérin – Novembre 2017

Forum Opera  – 16/11/17 – Guillaume Saintagne

«L’étoile de la soirée, c’est comme souvent   Isabelle Druet : même lorsqu’elle ne chante pas, elle capte l’attention (les grimaces de la Discorde, l’embuscade de Doris), et dès qu’elle ouvre la bouche, c’est l’évidence même de tout ce répertoire. Diseuse impayable, évoluant avec virtuosité sur la frontière entre le parlé et le chanté, sachant aussi bien donner dans le grotesque qu’émouvoir par la sincérité de sa tristesse amoureuse. Celle qui n’était que Zaïde sur cette même scène en 2005 devient ce soir la reine des métamorphoses.»

DANZA!   Récital espagnol avec le Poème Harmonique

Tournée aux USA et Québec – Novembre 2017

Le Devoir – 08/11/17 – Christophe Huss

«Le spectacle, que les mélomanes de Québec ne doivent pas manquer ce soir, tient véritablement sur les épaules de la chanteuse Isabelle Druet, parfaite, tant en expression qu’en volume et en inflexions. Elle vit avec intensité les mélodies reconstituées de ces chansons populaires de jadis.»

Le Devoir – 09/11/17 – Odile Tremblay

«Ai-je dit que la qualité de leur prestation, avec spécialité de chant baroque, était acclamée dans toute l’Europe ? Quant à leur mezzo-soprano, elle possède une voix si belle, si riche et si unique que, dès les deux premières notes sorties de sa bouche, on se dit : « C’est elle ! » : Isabelle Druet

CD – LA SADMP – Louis Beyds

Label Klarthe – Orchestre d’Avignon, direction Samuel Jean – 2017

Le Babillard –   07/10/2017 –   Loïc Chahine

«de personnalité, Isabelle Druet n’en manque pas, et voici qu’après une vive Concepcion de L’Heure espagnole elle prête sa voix à un autre personnage de femme aussi envoûtante que volage. Isabelle Druet articule à merveille et excelle à ce style de chant qui oscille entre le parlé et le chanté — et emploie les nuances qui font un continuum de l’un à l’autre. Elle sait également tantôt se parer de couleurs diaphanes, un rien sucrées (par exemple au tout début de l’air « Les cartes à jouer »), tantôt épicer la voix qui a gardé cette légère pointe d’acidité citronnée qui fait partie de la personnalité vocale de la chanteuse — et qu’on aime bien, car elle n’a rien d’agressif»

Classica – Septembre 2017 –  Cristiana Prerio  (récompense – 3 étoiles)

«Musicalement, l’essentiel de la partition et l’impact comique de la pièce reposent sur le personnage féminin. Isabelle Druet est d’ailleurs excellente à tous points de vue, en belle forme vocale et scénique et ses moyens musicaux sont incontestablement plus solides que ceux de la créatrice.»
Diapason – Septembre 2017 – François Laurent (récompense – 5 diapasons)

«Plutôt que de se battre, les quatre soupirants d’une demi-mondaine (…) s’associent pour subvenir à ses besoins, « au prorata » des jours de la semaine que leur assignera la belle. Cette dernière est, au fond, une cousine parisienne et pragmatique de Concepcion, la piaffante horlogère de l‘Heure espagnole qu’Isabelle Druet incarnait déjà avec bonheur (Naxos, cf. N°645). Car la Mezzo ne manque ni de piquant ni de séductions pour mettre ses pas dans ceux d’Yvonne Printemps, pour qui le rôle fut taillé. Il n’y a qu’à l’entendre lancer « ça va manquer de cocus », en détachant chaque syllabe avec le sourire. Son air des cartes de visite, où le petite orchestre gouailleur croque ces messieurs tandis qu’elle lit les bristols, la scène des enchères, qu’elle fait monter en ponctuant les échanges de ses « la vie est chère ! », sont réglés en orfèvres par la baguette de Samuel Jean.»

Vaucluse hebdo  – Août 2017

«Opéra-bouffe interprété avec fougue par Isabelle Druet qui chante « Elle », entourée par Jérôme Billy,  Mathias Vidal, Dominique Côté et Thomas Dolié, tous parfaits»

ForumOpéra.com – 20/07/17 – Laurent Bury (récompense – 3 coeurs)

«Plus canaille que coquette, Isabelle Druet est « Elle », alias Germaine, sans chercher le moins du monde à être Yvonne Printemps. Son excellente diction et les couleurs sensuelles de son timbre de mezzo contribuent grandement à cette incarnation. Et pour ce rôle-là, contrairement à celui de l’héroïne de L’Amour masqué, le chant compte au moins autant que le théâtre.»

Classiquenews.com – 10/06/17 – Hugo Papbst

«La présente production sélectionne le meilleur, plutôt très bien chantant, comptant sur une distribution idéale, regroupant les meilleurs talents lyriques de la jeune génération : Isabelle Druet (Elle), Mathias Vidal (Le Gros Commerçant), Jérome Billy (Henri), Thomas Dolié (Le Conte Agénor de Machinski) et Dominique Côté (Le Grand Industriel). Chacun cisèle son caractère tout en se jouant du verbe poétique dramatique allusif. Y éblouit l’esprit à la fois cynique et tendre d’un Guitry, grand connaisseur et analyste de l’âme humaine.»

Le Monde  –   06/06/17 –   Pierre Gervasoni

«Nul besoin de support visuel, la distribution (…) brûle les planches… du studio»

TISBE dans CENERENTOLA – Rossini

Opéra de Paris – mise en scène Laurent Pelly, direction Maxime Pascal – Juin 2017

Télérama – 20/06/17 – Sophie Bourdais

«Et l’on se régale de la façon dont  Isabelle Druet   (Tisbé), au mezzo corsé, et Chiara Skerath (Clorinda), à l’élégant soprano, s’amusent à caractériser et différencier les deux pestes»

Opéra Online – 25/06/17 – Alain Duault

«Isabelle Druet, beau timbre profond qui trouve en Tisbé de quoi marquer son passage.»

Anaclase –  10/06/17 –  Michel Slama

«Les excellentes Chiara Skerath en Clorinda et Isabelle Druet en Tisbe lui volent la vedette par leur abattage et leur jeu aiguisé.»

Le Figaro – 16/06/17 – Christian Merlin

«Deux contributions savoureuses: les sœurs très caractérisées de Chiara Skerath et Isabelle Druet

Artstikrezo – 18/06/17 – Hélène Kuttner

«Les deux soeurs, Clorinda (Chiara Skerath) et Tisbe (Isabelle Druet) rivalisent de perfidie et de piquant dans des robes blanches style poupée Barbie, voix et projection parfaites avec carabine à l’épaule pour chasser leur rivales.»

CD – Waiting for Clara

Label NoMadMusic

2017

Forumopera.com – 17/05/2017 – Isabelle Druet, muse brahmsienne – Laurent    Bury

«Et, pour trois plages brahmsiennes, dont le célébrissime Wiegenlied, par Isabelle Druet, qui chante avec beaucoup d’élégance et de sensibilité les deux Lieder op. 91, comme pour donner une voix à celle qui fut l’inspiratrice des deux autres compositeurs tout en étant elle-même une compositrice à part entière, comme le prouvent ses Trois romances op. 22 où le violon et le piano sont ici remplacés par la clarinette. Après la brillante réussite de son disque Shakespeare, la mezzo continue son sans faute chez NoMadMusic, et l’on guette avec impatience un prochain récital où elle sera davantage qu’une guest-star.»

Musikzen – 11/05/17 –  François Lafon

«Julien Hervé s’est entouré de trois fleurons – comme lui – de l’actuelle école française pour composer ce programme chambriste. (…) Comme Julien Hervé dispose d’une large palette expressive, que la mezzo Isabelle Druet confirme ses affinités avec ce répertoire et que leurs camarades sont des partenaires de luxe, tout cela s’écoute avec plaisir, même la délectation suprême est réservée à ceux qui connaissent les versions originales de ces chefs-d’œuvre.»

Le Babillard – 05/05/17 – Loïc Chahine

«En guise de guest star, Isabelle Druet s’invite pour les deux Gesänge de Brahms, (…) le langage semble s’allonger dans un apaisement auquel la chanteuse offre un timbre riche, très nettement caractérisé, et des accents subtils.»

Louis le Classique/ Paperblog -24/04/17 –  Nicolas Bourry-Jarsky

«Enfin bien sûr, c’est la grande qualité de jeu qui nous interpelle. Élégant, sobre, rafraîchissant, on prend un grand plaisir à écouter cet enregistrement que ce soit pour les œuvres des Schumann ou de Brahms. Une grande mention spéciale pour les interprétations d’Isabelle Druet dont la clareté de timbre et la finesse d’interprétation nous ravissent.»

Melanto et Fortuna dans IL RITORNO D’ULISSE – Monteverdi

Théâtre des Champs Elysées – mise en scène Mariame Clément, direction Emmanuelle Haïm – Février 2017

Libération – Guillaume Tion

«Le reste de la distribution, emballé par la mezzo tchèque Magdalena Kozenâ, est impec, avec une prime volage au duo Isabelle Druet– Emiliano Gonzalez Toro.»

Dipason – 07/03/17  – Luca Dupont Spirio

«Plateau luxueux, on l’aura compris, jusqu’au couple ancillaire formé par Isabelle Druet et Emiliano Gonzalez Toro»

Opéra point – 02/03/17 – Alexander Jordis-Lohausen

«Das Paar Isabelle Druet (Melanto) und Emiliano Gonzalez Toro (Eurimaco), lüstern-verspielt und stimmlich erfreulich in Duri e penosi son gli amorosi (1. Akt, 2. Szene) – harte Drangsal sind der Liebe wilde Triebe.»

ForumOpera – 28/02/17 – Laurent Bury

«Isabelle Druet   n’est que splendeur et sensualité en Mélantho»

Ôlyrix – Damien Dutilleul

«Isabelle Druet chante la servante Mélantho (ainsi que la Fortune) : sa voix ronde émise depuis la poitrine reste droite lorsqu’elle tient ses notes, avant une résolution intensifiée par un vibrato mutin. Très à l’aise dans le jeu, elle offre à son personnage un éclat qui lui vaut des applaudissements nourris au moment des saluts.(…) Le duo des deux amants reste l’un des beaux moments de la soirée, leurs voix se mariant en timbre et en nuance, exprimant un amour mutuel et ardent.»

Ma Culture – Yannick Bezin

«Coté humain, la performance du duo Mélantho et Eurymaque, incarnés par Isabelle Druet et Emiliano Gonzalez Toro, est à relever par sa justesse et l’harmonie parfaite des voix. (…) La fraîcheur, la maîtrise et la beauté de ces voix conduit à imaginer une redistribution des rôles, car ce sont elles qui parviennent à rendre cette production agréable malgré les surprises qui ne cessent de surgir sur le plateau.»

Resmusica – Charlotte Saulneron-Saadou

«Mais pour les seconds rôles, le reste de la distribution vocale est presque indécente. La talentueuse Isabelle Druet dans le rôle de La Fortune et Mélantho : sérieusement ? Son timbre joliment cuivré et son jeu plein d’élégance n’ont pas été éprouvés un seul instant, accompagnés d’une main de maître par un partenaire tout aussi exaltant en la personne d’Emiliano Gonzalez Toro.»

Wanderer – Michel Parouty

«Le couple Melanto / Eurimaco ne pouvait espérer meilleurs interprètes qu’Isabelle Druet et Emiliano Gonzalez Toro, musicalement impeccables et très drôles…»

Classicagenda – Cinzia Rota

«Emiliano Gonzalez Toro (Eurymaque) nous offre des duos comiques convaincants avec Isabelle Druet (Mélantho), chanteuse-comédienne hors-pair, dont la présence assurée remplit l’espace. Le timbre limpide de cette dernière se marie parfaitement avec celui, sombre et velouté de Magdalena Kožená.»

’Avant-scène  –  Chantal Cazaux

«Isabelle Druet explose en Mélantho gourmande de sexe et généreuse de voix.»

CD – SHÉHÉRAZADE – RAVEL

Naxos – Orchestre  national de Lyon, direction Leonard Slatkin – Janvier 2017

Resmusica – 20/09/2017 – Jean-Luc Caron

«La présente exécution rassemble des intervenants de haute qualité.(…) L’excellence des pupitres de l’Orchestre national de Lyon se confirme une fois encore et la direction experte de Leonard Slatkin exacerbe les forces en présence, l’orchestre bien sûr, mais aussi la diction parfaite d’André Dussollier et dans Shéhérazade, la voix chatoyante  de la mezzo-soprano française Isabelle Druet

Crescendo magasine – 08/05/2017 – Jean-Pierre Tribot

«En complément, l’Orchestre National de Lyon accompagne la jeune mezzo-soprano Isabelle Druet dans Shéhérazade de Ravel. La chanteuse est, comme toujours exemplaire, de justesse stylistique et de musicalité. L’Orchestre se montre un accompagnateur à la subtilité de la touche impressionniste.»

« En Piste! » – France Musique –   02/05/17 –   Elodie Murera

«Shéhérazade interprétée par Isabelle Druet, la mezzo du moment.
Pour ma part, elle me convainc à chaque fois, j’aime son timbre rond et chaud sa diction impeccable et je comprends, qu’elle soit de toutes les productions!»

Baba the Turk dans THE RAKE’S PROGRESS – Stravinsky

Théâtre de Caen – Mise en scène David Bobée, direction Jean Deroyer – Novembre 2016

La lettre du Musicien – 14/12/16 – Jacques Bonnaure

«Isabelle Druet, la seule francophone du plateau a campé une Baba hors du commun, virtuose vocalement, brillante scéniquement et sans aucune vulgarité.»

Scèneweb.fr – 18/11/2016 – Christophe Candoni

«En starlette à paparazzi, la Baba d’Isabelle Druet éblouit.»

Théatre en Normandie – François Vicaire

«Dans la distribution, Isabelle Druet campe avec intelligence une Baba la turque au timbre très séduisant.»

Olyrix – 07/11/2016 – Damien Dutilleul

«Isabelle Druet interprète Baba la Turque avec une prosodie soigneusement travaillée ainsi que les graves enjôleurs et les aigus charnus.»

ForumOpera.com – 04/11/16 – The Rake’s Progress – Laurent Bury 

«Pour cette prise de rôle qu’elle nous avait annoncée en interview il y a deux ans, et même privée de barbe, Isabelle Druet fait valoir les graves somptueux d’une voix en parfaite adéquation avec les exigences de la partition. Quant à l’actrice, elle met à merveille en évidence le côté humain de celle qui n’est d’abord qu’une caricature : se dépouillant de son manteau bigarré, de son chasse-mouche, de ses bijoux et enfin de sa perruque, la mezzo donne vie à son personnage et rend crédible sa conversion en adjuvante qui incite Anne Trulove à rejoindre son bien-aimé.»

CD – SHAKESPEARE SONGS

Label NoMad Music – avec Anne Le Bozec au piano – 2016

Le Babillard – 11/02/17 –  Loïc Chahine

«Le timbre, riche, généreux, chatoyant, est exempt de toute dureté, et se colore : Dès « Seals of Love » de Castelnuovo-Tedesco, la mezzo- soprano démontre qu’elle sait apporter mille inflexions à son chant pour le mettre au service de la musique et du texte. On appréciera encore le goût évident du théâtre qui ne vire jamais à l’histrionisme, comme le prouve un « When Birds Do Sing » de Korngold très classe. La mélancolie n’est pas absente non plus, souvent servie par un allègement de la voix, sans jamais détimbrer pour autant. Bref, Isabelle Druet sait ce qu’elle fait, elle le fait bien, jamais trop ni trop peu : l’on découvre ici, après la tragédienne entendue chez Lully, la comédienne que dévoilait, par exemple, L’Heure espagnole, une grande mélodiste.»

Utmisol – Christophe Bernard

«Isabelle DRUET est tout simplement remarquable dans ce répertoire varié et exigeant, passant avec aisance de l’anglais au français, de l’allemand au finnois. Sa superbe voix de mezzo-soprano au timbre chaud et généreux vous séduit dès les premières notes.
Invitation à la découverte de tous ces personnages, tristes ou drôles, amoureux ou haineux, désespérés et parfois fous, elle sait vous raconter, avec intelligence et conviction, les histoires bien souvent tragiques de ces héroïnes shakespeariennes, de la folie d’Ophélie au désespoir de Desdemone. Jouant de tous les registres de sa voix aux couleurs multiples, elle vous fait passer ainsi d’une atmosphère à une autre, et ne vous lâche plus. Quel talent!
L’accompagnement d’Anne Le Bozec est du même tonneau, déroulant au piano dans un jeu limpide de bien belles partitions, en complicité parfaite avec notre mezzo-soprano. L’équilibre entre piano et voix est plus que parfait, il est magique.
Vous l’aurez compris, rien n’est ici laissé au hasard et le résultat est un pur bonheur!»

FranceMusique.fr – 16/12/16 – Coup de coeur pour le « Shakespeare Songs » d’Isabelle Druet – Emilie Munera 

«Isabelle Druet passe de l’allemand au français, de l’anglais au finnois avec une aisance qui force l’admiration. Des mélodies les plus exaltées aux lieder les plus murmurés, elle nous raconte avec passion et engagement l’histoire de ces héroïnes tragiques.»

ForumOpera.com – 06/12/16 – Well done Will  ! – Laurent Bury 

«A séduire, Isabelle Druet y parvient aussi grâce à la beauté d’un timbre chaud et plein, dont elle semble pouvoir à volonté modifier les couleurs : écoutez le premier des deux Sibelius, on croit tout à coup entendre une autre voix. Outre le français, la chanteuse s’exprime ici en anglais, bien sûr, mais aussi en allemand et, on l’a dit, en suédois. L’intelligence de l’interprète lui permet de s’investir avec une aisance égale dans ces différentes langues et de varier les climats autant que le texte et la partition l’exigent.»

CD – MUSES

Label Klarthe, Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, direction JF Verdier

2016

Diapason –  Septembre  2017 – Hélène Cao

«On ne peut qu’admirer la voix ample et homogène, aux superbes reflets ambrés. C’est un plaisir d’entendre une Française interpréter du Lied avec autant de sensibilité, phraser avec cette ductilité qui lui permet de laisser mourir à fleur de lèvres « lächelte mein Mund » à la fin du cinquième Lied de Zemlinsky.»

Classicnews –   Septembre  2017 – Hugo Papbst

«La voix d’Isabelle Druet habitée, subtile ambassadrice des tensions implicites instille dans cette tétralogie poétique, couleurs et éclats qui valent pépites au sein d’une série de tableaux émotionnels, à la fois tragiques, enchantés, où le mystère pèse aussi à chaque vers.(…)
Le velours de la mezzo éclaire chaque épisode d’une couleur humaine que les textes d’inspiration médiévale et symboliste tendent à diluer.
(…) La brillance et la sensibilité de la diseuse Druet se manifestent clairement et dans la finesse des couleurs, comme dans la maîtrise de l’allemand. Suavité mystérieuse, langueur extatique, nostalgie empoisonnée… toutes les nuances de la passion et du désir féminin sont incarnées par une cantatrice maîtresse de ses moyens, douée d’une irrésistible plasticité vocale.»

Forum Opéra – 18/10/2016 – Laurent Bury

«Isabelle Druet chante fort bien les mélodies réunies sur ce disque, son timbre correspond parfaitement à ce qu’exigent les différentes partitions, et c’est une excellente chose que notre compatriote puisse sortir du strict cadre du récital voix et piano pour aborder un exercice d’une autre dimension.»

Resmusica –  17/09/2016 – Jean-Luc Clairet

«Le somptueux mezzo déjà mahlérien d’Isabelle Druet. (…)»
«Sublime Morgen où cantatrice magnétique et orchestre en état de grâce atteignent l’apesanteur face à un public qui retient son souffle. Un Voi che sapete des plus mutins permet à Isabelle Druet de rappeler la facétie millimétrée de sa nature mais aussi de constater que sa voix, au-delà de cet impeccable Chérubin, appelle déjà Brangäne.  Un triomphe des plus mérités est fait à la jeune chanteuse qui, bien que résidant à Besançon, fait enfin ce jour ses débuts au festival.»

5 croches de  Pizzicato –  Remy Franck – (traduit de l’allemand)

«Un CD extraordinaire! Dans les lieder d’Alma Mahler, non seulement la mezzo-soprano Isabelle Druet prouve son talent, avec une voix expressive, mais également l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté. (…) Isabelle Druet se révèle à nouveau une magnifique interprète avec de superbes couleurs vocales et une parfaite articulation du texte, qui fait entendre avec beaucoup de naturel l’émotion contenue dans la musique.»

Récital SHAKESPEARE SONGS 

Théâtre Ledoux  – Besançon – 19 Mai 2016

« […]  Isabelle Druet (on sait de quelles Nuits d’été elle est capable !) : prononciation à damner une Régine Crespin, haute maîtrise de l’ambitus (chuchotement compris), d’un timbre naturel et sans affectation, aucun son auquel ne soit donné un sens, bref l’art d’une diva discrète mais déjà sûre de ses effets, surfant sur tous les affects, de la déréliction au clin d’œil leste. Anne le Bozec est sur les mêmes sommets interprétatifs. Son piano produit un son clair et parfaitement délié, déroule un sous-texte faisant jeu égal avec la ligne vocale. Si la chanteuse fait manifestement ce qu’elle veut de sa voix, la pianiste fait ce qu’elle veut de ses doigts. L’évidence de leur complicité saute aux yeux comme aux oreilles.»

Clorinde dans TANCREDE- Campra

Opéra royal de Versailles – Avril 2016

La lettre du musicien –   Avril 2016 –   Clément Rochefort

«On saluera une distribution plutôt bonne et très équilibrée, dont on distinguera la superbe Clorinde d’Isabelle Druet : intense, émouvante, ne craignant pas de frôler furtivement le parlando quand l’excès dramatique le réclame.»

CD – L’HEURE ESPAGNOLE – RAVEL

Label Naxos – Avril 2016

Diapason  –   Avril 2016 –   François Laurent

«La Conception très incarnée d’Isabelle Druet, applaudie hier en Carmen ou chez Lully (Cadmus et Hermione), nous y épate d’un bout à l’autre. La mezzo se double d’une vraie comédienne, tantôt ardente et sensuelle, sournoise ou paniquée, et son verbe effilé fait merveille dans les apartés. […] Isabelle Druet, qui à elle seule vaut le détour.»

Res Musica –   23/03/2016 –   Joseph Thirouin

Druet et Barrard au sommet : « Isabelle Druet, qui campe une Concepción envoûtante. Servie par sa diction d’une précision sans égale, elle décline les émotions avec brio; les inflexions de sa voix toujours très pure sont assez outrées pour être drôles, et assez élégantes pour être pénétrantes.»

Artalinna – 18/03/16 – Jean-Charles Hoffelé

«Lorsque Ravel vint surveiller le premier enregistrement de son Heure espagnole, confié en 1929 à la baguette experte de Georges Truc, il fut un rien marri de trouver Jeanne Krieger s’essayant à Concepcion, alors qu’il rêvait de Fanny Heldy qui à l’Opéra Comique avait mené son monde à la cravache et l’œuvre au succès. Je suis certain qu’il aurait adoré Isabelle Druet : le charme de Denise Duval, le caractère de Jane Berbié, et dans la voix l’énergie dominatrice de Fanny Heldy. Comparer leur « Ah ! la pitoyable aventure » s’avère riche d’enseignements.»

Voix des Arts – 23/02/16 –  Joseph Newsome

«Assigned by Ravel to a soprano, Concepción is sung in this performance by mezzo-soprano Isabelle Druet with the velvet-throated sass of the young Giulietta Simionato. [Did someone mention Falcons?] She toys with Ramiro with her Carmen-esque ‘Il reste, voilà bien ma chance!’ in Scene Three, but her seductive greeting to the poetry-spouting student Gonzalve in Scene Four, ‘Il était temps, voici Gonzalve,’ falls on deaf-by-distraction ears:  (…) Indeed, Druet has at her disposal complete security throughout the full compass of the voice of which many spintos and dramatic sopranos should rightly be envious. Druet confirms with her incandescent top B that, in the wake of so much mayhem, Concepción retains the upper hand over her band of hombres.»

LE MIROIR DE JESUS – Caplet

Metz – Novembre 2015

01/12/15 – Jean-Pierre Pister

«Chaque poème est chanté en soliste par la mezzo-soprano qui, à la fin, déclame un court passage parlé.
Tout était parfait, ce mardi soir, dans la présentation et l’interprétation de ce chef d’œuvre si rarement donné et dont l’écriture rappelle, plus d’une fois, Pelléas et Mélisande.  […]  Applaudissons Isabelle Druet pour la chaleur de son timbre et la totale clarté de sa diction. Elle n’est pas une inconnue à Metz, nous n’avons pas oublié sa Carmen en 2011 et son Isabella dans L’Italienne à Alger en 2012. Au total, un très grand concert, un véritable moment de grâce qui aurait mérité les honneurs du micro. En effet, les quelques versions du Miroir de Jésus disponibles en CD sont loin de se situer au même niveau.»

Nérissa dans LE MARCHAND DE VENISE – Hahn

Opéra de Saint-Etienne – Mai 2015

Forum Opéra – 29/05/2015 – Laurent Bury

«La Nérissa fruitée de grand luxe d’Isabelle Druet

Opéra Magazine – Juillet-août 2015 – Michel Parousy

«Le trio féminin est charmant.  […] Isabelle Druet  surpasse en diction et en plénitude vocale.»

ConcertClassic.com – 30/06/2015 – Alain Cochard

«La non moins irrésistible Nérissa d’Isabelle Druet complète un trio féminin de rêve.»

Opera-online.com – 05/06/2015 – Emmanuel Andrieu

«La talentueuse mezzo française Isabelle Druet chante avec beaucoup d’élégance et de goût le rôle de Nérissa, et fait montre d’une solide présence scénique.»

Concertonet.com – 19/06/2015 – Gilles Charlassier

«En Nérissa, Isabelle Druet convainc tout autant dans un rôle qui semble lui seoir sans réserve.»

Crescendo-magazine.be – 02/06/2015 – Paul-André Demierre

«Le couple constitué par Isabelle Druet (Nérissa) – François Rougier (Gratiano) complète admirablement cette distribution d’un opéra dont on souhaite régulièrement le retour à l’affiche.»

Toutelaculture.com – 09/06/2015 – Elodie Martinez

«Isabelle Druet se démarque nettement grâce à une voix profonde et claire ainsi qu’à une prononciation absolument superbe.»

Anaclase.com – 02/06/2015 – François Cavailes

« Enfin, déjà époustouflante dans La Grande Duchesse de Gerolstein d’Offenbach cet hiver, à l’Athénée, la mezzo-soprano Isabelle Druet (Nérissa) fait montre d’un grand talent d’actrice et d’un timbre saisissant.»

La Tribune – Le Progrès – 28/05/2015 – Martine Goubatian

«Isabelle Druet est très juste dans le rôle de Nérissa.»

Concert RAVEL avec le Detroit Symphony Orchestra

Orchestra Hall Detroit (États-Unis) – Avril 2015

Detroit free press.com –  16/04/15 – Not a music buff? It’s OK, you’ll love this DSO progam –   Mark Stryker

« The rhapsodic contours of Ravel’s Two Hebraic Melodies, which were sung with passion by French mezzo-soprano Isabelle Druet, found a natural cousin in the improvisatory-like violin lines of Ginastera’s « Pampeana No. 1, » […]. In her American debut, she sang Ravel’s song cycle with a dark, richly hued voice, remarkably clear diction and intelligent phrasing that was seemingly attuned to every nuance embedded in the text.»

France 24/International News – 17/04/15 – In US debut, singer Druet seeks to transcend language –  Shaun Tandon

«Leonard Slatkin cité par Shaun Tandon: « She has the ability to transcend language. Even though you don’t understand the words, she conjures up all the colors and so many different fragrances, » Slatkin told AFP. […] « From the first time I worked with Isabelle, I thought this was an extraordinary person, an extraordinary singer and an extraordinary musician, » he said. »

«Leonard Slatkin cité par Shaun Tandon: «  Elle a cette capacité à transcender les langues, explique-t-il. Même si vous ne comprenez pas les mots, elle fait apparaître tellement de couleurs et de parfums […] Dès la première fois que j’ai travaillé avec Isabelle, j’ai trouvé que c’était une personne extraordinaire, une chanteuse extraordinaire, et une musicienne extraordinaire », dit-il à l’AFP.» 

Opera Online – 01/06/2015 – Extrait de l’entretien avec  Emmanuel Andrieu

«Ces concerts à Detroit restent parmi mes plus beaux souvenirs de musique et de partage. Les musiciens de l’orchestre ont su s’approprier la musique de Ravel, la rendre scintillante et d’une grande richesse. Leonard Slatkin est un grand connaisseur de l’univers ravélien et sait à merveille impulser l’énergie juste à son orchestre.

J’ai rencontré Leonard Slatkin en 2013 avec l’Orchestre national de Lyon dont il est également le chef permanent. Le courant est tout de suite passé et je crois qu’il a énormément apprécié ma voix et mon énergie sur scène. Dans la foulée, il m’a réinvité pour enregistrer des mélodies de Ravel, puis l’année suivante pour des concerts Mozart et Mahler : un vrai bonheur.»

La Grande Duchesse de Gerolstein – Offenbach

Théâtre Athénée – Décembre 2014

Classica –   Février 2014 –   Franck Mallet

«Une Duchesse bidonnante […] cette “Grande Duduche”a l’humour inoxydable. Il faut dire que la mezzo Isabelle Druet dans le rôle-titre, du côté du chant comme de la comédie, sait jongler avec les mots et enchaîner les pirouettes sur une scène si réduite.»

ForumOpéra.com – Décembre 2014 – Christophe Rizoud

«La réponse tient en un nom : Isabelle Druet. Dans le rôle-titre, la mezzo-soprano réunit toutes les conditions requises, qu’il s’agisse de longueur, de couleur de voix ou de cet art de dire qui est une des clés de l’interprétation d’Offenbach. La fantaisie n’a rien de forcé et, la mélancolie, inhérente autant que le rire à la musique du compositeur des Contes d’Hoffmann, coule elle aussi de source. A la crise de nerfs, inénarrable parodie de Meyerbeer, succède un air du sabre ciselé comme une mélodie de Fauré. « Dites-lui » baigne dans la même eau limpide sans que l’écriture, inconfortable pour beaucoup, ne semble jamais la mettre en difficulté. L’aisance scénique, enfin, la candeur de cette Grande-duchesse, ses élans, ses enthousiasmes achèvent de la rendre bougrement attachante.»

Libération –   Décembre  2014 –   Eric Loret

«Isabelle Druet en nymphomane soldatesque ne faillit pas durant près de deux heures.»

Décembre 2014 – MM

«Dans le rôle-titre, Isabelle Druet mezzo-soprano colorature consacrée Révélation lyrique des Victoires de la Musique 2010, est magistrale tant elle maîtrise les offenbachiennes pirouettes vocales.»

 

 

 

RECITAL Au pays où se fait la guerre

Festival de Saintes – avec le Quatuor Giardini – Juillet 2014

TLC – 18/07/2014 – Matthieu Orsi

« La voix d’Isabelle Druet est d’une grande beauté : profonde, précise, gouailleuse quand il le faut dans Offenbach… Et sa diction est parfaite !»

Venise – Septembre 2014

Forum Opéra –   28/09/2014 –   Laurent Bury  

«Et avec une artiste comme Isabelle Druet, le théâtre était forcément au rendez-vous, d’autant que le programme s’ouvrait, on l’a dit, à un répertoire plus large que celui de la seule mélodie. De l’offenbachienne Grande-Duchesse, la mezzo reprendra les habits dès le mois de décembre prochain, et l’on sent dans son interprétation une réelle familiarité avec le rôle. Isabelle Druet est tout aussi savoureuse en Berkenfield ou en pseudo-veuve du colonel, et il lui suffit d’un accessoire ou d’un chapeau pour se mettre dans la peau du personnage. »

LES NUITS D’ÉTÉ – Berlioz

Festival des Musicaves, Givry – Juin 2014

Info-Châlon.com –   28/06/2014 –   Michel Poiriault

«Ils n’ont cependant pas été les seuls à partager les coups d’éclat avec le public, renforcés par la mezzo-soprano Isabelle Druet, laquelle aura su faire preuve d’une ardeur de chaque instant pour embarquer tout le monde dans l’exaltante aventure.»

CD – Tancrede – Campra

Avec Les Temps Présents, dir. Olivier Schneebeli – 2014

Le Babillard – 21/12/16 –   Loïc Chahine

«Face à lui, Isabelle Druet, dont le rôle n’est pas si long, impressionne par la variété des couleurs, la qualité du style (elle fait, par exemple, dans son premier air, au début de l’acte II, un port-de-voix étourdissant de beauté) et la finesse de son interprétation du personnage de la guerrière qui découvre l’amour.»

Opéra Magazine – Juillet-août  2015 – Jean-Luc Macia

«Des deux sopranos, Isabelle Druet   s’avère la plus convaincante par son implication intense et ses accents bouleversants.»

Resmusica – 31/07/15 – Jean-Luc Clairet

«Pour croiser le fer vocal, Isabelle Druet   en Clorinde ! Le rôle n’est pas le plus développé mais chacune des interventions de la mezzo (dont on sait quelle Didon fracassée ou quelle Carmen de feu elle peut être) affiche, égalité de tous les registres et prononciation exemplaire à l’appui, une autorité virile très en situation.»

Classiquenews.com – 24/05/2015   –  Tristan et Isolde baroque  – Camille De Joyeuse

«Pour les rôles de Clorinde et de Tancrède, les deux protagonistes Isabelle Druet et Benoît Arnould ont la jeunesse, la justesse et la sincérité de deux timbres admirablement engagés. On se délecte dans leurs oppositions, confrontations successives, le point d’orgue de leur union pudique admirablement exprimée sur la scène demeurant le duo d’une économie souveraine et d’une grande poésie du IV. […] La noblesse, le raffinement, la suavité mesurée et allusive des divertissements, le chant perpétuellement soucieux de son intelligibilité font toute la qualité de cet enregistrement pris sur le vif à l’Opéra royal de Versailles.»

Forum Opéra  – 01/06/2015 – Isabelle Druet, alias Mademoiselle de Maupin –  Laurent Bury

«La musique baroque offre à Isabelle Druet les grands rôles auxquels elle peut légitimement aspirer :  […] elle est le plus brillant élément de ce Tancrède, recréant les fastes de la créatrice du rôle, l’illustre Maupin, immortalisée par un roman de Théophile Gautier et première voix féminine aussi grave à se produire sur une scène myrique. Même si son temps de « parole » est somme toute limitée, sa présence est suffisamment forte pour s’imposer.»

Clorinde dans TANCRÈDE – Campra

Opéra Grand Avignon

Avril 2014

Opera Online –   20/04/2014 –   Emmanuel Andrieu

«Mais comme à la création, c’est le personnage de la guerrière farouche et amoureuse, Clorinde, qui attire le plus l’attention. La magnifique chanteuse française Isabelle Druet – qui nous avait déjà subjugué dans L’Egisto de Cavalli à Luxembourg en décembre dernier – lui prête son beau mezzo riche et modulé, son allure décidée et sa puissance dramatique.»

LA GRANDE DUCHESSE de Gerolstein – Offenbach

Tournée Novembre-décembre 2013

Diapason –   Décembre 2013 – Michel Parouty

«Isabelle Druet est formidable, Grande Duchesse à la voix de bronze et de velours et au tempérament de feu.»

Classique d’aujourd’hui – Bruno Serrou

«Autour d’Isabelle Druet, Duchesse radieuse, amoureuse enflammée qui mène sa troupe avec panache et un bagou étincelants, l’on retrouve la fine équipe des Brigands.»

La lettre du musicien – Décembre 2013 – Clément Rochefort

«Isabelle Druet incarne une Grande-Duchesse parfaite dans son rôle d’omnipotente capricieuse aux allures de cantinière, aux côtés du Fritz délicieusement bébête de François Rougier.»

Res Musica – 11/11/2013 – Nicolas Mesnier-Nature

«Côté vocal, le rôle-titre fut servi avec panache par Isabelle Druet, elle aussi en terrain connu à Besançon. La mezzo-soprano profitait de son étonnante capacité à occuper la scène comme actrice de théâtre à part entière, mais également comme chanteuse. Les habitués du « grand opéra » savent que la représentation de pièces du répertoire dit léger imposent des capacités vocales tout aussi importantes en ce qui concerne l’exigence musicale et qu’en plus les artistes doivent savoir parler leur rôle comme au théâtre, ce qui n’est pas donné à tout le monde. (…) Heureusement, le seul grand rôle féminin se jouait ici parfaitement de ces difficultés, tant Isabelle Druet parvenait à maîtriser la chose assez intelligemment pour éviter de tomber dans une caricature efficace mais trop facile. Avec elle, le grand répertoire est au service d’une autre forme de répertoire, et a tout à y gagner.»

Altamusica – Nicole Duault

«La Grande Duchesse est la pétulante Isabelle Druet. Révélation lyrique des Victoires de la musique 2010, on l’a entendue sur maintes scènes dans des répertoires divers : Cadmus et Hermione à l’Opéra Comique, Carmen  à l’Opéra de Nancy. Elle a l’aisance, l’abattage, l’humour et la virtuosité vocale.»

Classiquemaispashasbeen

«Isabelle Druet semble à l’aise dans cette non-parité avec un bagou et un chic théâtral admirables. Ce rôle lui va comme un gant de Duchesse. La sienne est tendre et on la croit vraiment amoureuse, à mille lieux d’une croqueuse d’hommes à la voix guindée.»

Le Figaro  – Thierry Hillériteau

«En tête de distribution, Isabelle Druet campe une grande-duchesse conforme à l’ambivalence du parti d’ensemble. Elle chante comme une diva d’antan et bouge comme une jeune femme d’aujourd’hui.»

Marcel & Simone

«Dans le rôle titre, Isabelle Druet impose un charisme et une folie, tant dans le chant que dans la comédie, qui donnent toute son ampleur au personnage créé par Offenbach. »

CD – Phaéton avec Les Talens lyriques

Label Aparté – Novembre 2013

Télérama – 13/11/2013 – Gilles Macassar

«En amantes de Phaéton, également malheureuses, Isabelle Druet  […] rivalise de langueur élégiaque.»

Béatrice dans BÉATRICE ET BÉNÉDICT – Berlioz

Festival Berlioz – Août 2013

Blog – 29/08/13 – Bruno Serrou

«Dominée par l’excellente Béatrice d’Isabelle Druet, voix au chaud mezzo et timbre de bronze, la distribution s’est avérée homogène (…)»

Opéra magazine –   Octobre 2013 –   Christian Wasselin

«Isabelle Druet est une Béatrice idéale de mordant, de tempérament, de présence. Elle n’a que trois numéros pour s’imposer, mais elle réussit à faire de son « Air » un grand moment dramatique et une illustration de la manière dont une vois seule, si elle est conduite avec intelligence, peut donner la vie à une suite d’humeurs changeantes.»

Diapason – 23/08/13 – Gérard Condé

«Sur la lancée, le grand monologue de Béatrice où Isabelle Druet a pu déployer toute sa puissance de conviction, le trio des femmes (…) ont mené droit au duo final étincelant qu’il a fallu bisser. Ainsi tout vient à point pour qui sait attendre.»

RECITAL « Les Nations Galantes »

Tournée – Saison 2012 – 2013

Le Progrès –   17/07/2013 –   Isabelle Druet a illuminé le concert des Ombres –   MG

«La très belle mezzo-soprano Isabelle Druet révélation lyrique des victoires de la musique classique en 2010. Un choix lumineux. […] C’était sans compter sur la sublime voix de la mezzo-soprano qui prenait une ampleur toute particulière dans le chœur.»

Didon dans DIDON ET ENÉE – Purcell

Bordeaux, Compiègne, Besançon – Mars 2013

Opéra magazine –   Avril 2013 –   Jean-Luc Macia

«Comme à Versailles, Isabelle Druet chante avec à-propos et une technique sans faille.»

Opera Online – 01/06/2015 – Extrait de l’entretien avec  Emmanuel Andrieu

«J’ai eu la chance et le bonheur de beaucoup tourner ce Didon & Enée, avec une très belle équipe de chanteurs et amis. Didon est un rôle assez fulgurant, d’une intensité incroyable. Pour moi, la difficulté est de réussir à être dans l’émotion tout en gardant une ligne de chant royale et un son chaud et toujours rond. Je me suis rendue compte en interprétant le Lamento  sur scène à quel point c’était une technique solide et saine qui permettait de combiner beauté du chant et émotion sincère.  »

Récital SHAKESPEARE SONGS

Philharmonie de Cologne (Allemagne) – Février 2013

Pressespiegel – Kölner Rundschau – Olaf Weiden

« Druet, die sowohl in der Hosenrolle als dekantenter Orslowsky in Frankreich als auch in der Titelrolle von « Carmen » in Düsseldorf Erfolge feiern konnte, verfügt über einen warmen, beweglichen Mezzo mit sonoren Farben, der an diesem Tag trefflich in das französische Fach passte, aber auch den schwedischen Sprachsound günstig unterstrich.»

«Druet, qui a eu du succès soit dans le rôle décadent d’Orlowski en France, soit dans le rôle-titre de Carmen à Düsseldorf, dispose d’un timbre chaleureux avec des couleurs sonores qui allait bien avec le français, mais qui souligne également la mélodie de la langue suédoise.»

Conception dans L’HEURE ESPAGNOLE – Ravel

Salle Pleyel, Auditorium de Lyon – Octobre 2012

Classica –   Mars 2013 –   Pleyel donne de la voix –   Jérémie Bigorie

« [Les] soupirants de la belle Concepcion (parfaite Isabelle Druet).»

Opéra magazine –   Février 2013 –   Michel Parouty

«Le quintette de L’Heure Espagnole est plein d’esprit, Isabelle Druet en tête, pétillante Concepcion.»

Théone dans PHAETON – Lully

Salle Pleyel, Opéra de Lausanne – Octobre 2012

Forum Opera – 25/10/12 – Laurent Bury

«Isabelle Druet est elle aussi une habituée de cette musique, on connaît la séduction de cette voix habile à rendre les nuances de la rhétorique baroque»

Concertonet –   Octobre 2012 –   Un soleil éblouissant – Claudio Poloni

«On retiendra notamment […] la Théone particulièrement émouvante et sensible d‘Isabelle Druet

Resmusica –   30/10/2012 –   Le Phaëton de Rousset au Zénith –   Marie-Aude La Batide – Alanore

«L’émotion et la douceur sont apportées par la Théone d’Isabelle Druet, au timbre ample et à l’excellente diction.»

Les Nuits d’Eté – Roméo et Juliette – Berlioz

Festival Berlioz – Août 2012

Forumopera –   01/09/2012 –   Le froid vaincu par la ferveur et la flamme –   Fabrice Malkani

«Le mezzo Isabelle Druet, ne cessant de confirmer le talent qui lui a valu d’être Révélation lyrique des Victoires de la musique en 2010, séduit par la puissance et la souplesse de sa voix sensuelle tout autant que par sa diction nette et expressive à la fois. »

Le Figaro –   24/08/2012 –   Mémorables «Nuits d’été» dans le Dauphine –   Thierry Hillériteau

«Une version mémorable des Nuits d’été, chantées par une Isabelle Druet en parfaite forme vocale et merveilleusement inspirée. »

Isabella dans L’ITALIANA IN ALGERIA – Rossini

Opéra Théâtre de Metz – Mars 2012

Classique news –   13/03/2012 –   Nicolas Grienenberger

«Le metteur en scène peut compter sur une équipe de solistes visiblement unie et soudée, semblant prendre un plaisir fou à jouer et chanter ensemble. Pour sa première Isabella, Isabelle Druet fait valoir autant ses talents de comédienne que de chanteuse. Ses mimiques et autres œillades hilarantes font mouche, et on tombe vite sous le charme de sa voix longue, riche, toujours claire, au texte parfaitement dit et aux graves jamais forcés. […] Son « Per lui che adoro » lui permet de dérouler un legato de grande école, ainsi que dans sa Carmen nancéenne, et de faire admirer sa délicate musicalité. Elle forme un couple explosif avec le Mustaf à despotique et finalement attendrissant de Carlo Lepore. »

Le Républicain Lorrain –   10/03/2012 –   L’Italienne à Alger : le naufrage fut aéronautique – Georges MASSON

«Dynamique, réactive et futée, l’Isabella d’Isabelle Druet, au mezzo délicatement coloré, usait des mêmes glissandos qu’elle avait hérités de sa récente Carmen.»

Climène dans EGISTO – Cavalli

Opéra Comique de Paris , Opéra de Rouen – Février 2012

Classica –   Mars 2012 – « Egisto », tête bien pleine mais mal faite

«Les solistes sont excellents, comme le couple brûlant formé par Marc Mauillon et Isabelle Druet

Tendance Ouest Rouen –   12/02/2012 –   L’Egisto de Cavalli, ce bijou baroque joué à l’Opéra de Rouen

«Isabelle Druet y incarne Climene. De sa voix citronnée et féroce, elle fait montre d’une force féminine exaltée. Une perle et une voix que les spécialistes de mezzo-soprano colorature apprécieront.»

Premiere.fr –   Hélène Kuttner

« Dans le rôle de Climene, Isabelle Druet est tout aussi captivante de mystère et par sa technique vocale.»

Libération –   11/02/2012 –   Magistral « Egisto » –   Eric Loret

«Claire Lefilliâtre, soprano, et Isabelle Druet, mezzo, font briller leur phrasé impérieux.»

Télérama –   03/02/2012 –   “Egisto”, l’amour bouleversé et bouleversant –   Gilles Macassar

«Dans la magie de la salle Favart, le tandem Vincent Dumestre-Benjamin Lazar sublime l’opéra de Francesco Cavalli. Avec deux jeunes chanteurs prodigieux : Isabelle Druet et Marc Mauillon.
(…) Amante bafouée, plus tendre que vindicative, la Climène pathétique d’Isabelle Druet n’inspire pas moins de compassion.»

Concertonet –   02/02/2012 –   Sébastien Gauthier

« Parmi les personnages féminins, Isabelle Druet domine l’ensemble de la distribution dans le rôle de Climene […]. Dotée d’une voix d’une grande souplesse, elle témoigne également une technique très sûre, notamment dans des attaques bien souvent périlleuses.»
Anaclase –   01/02/2012 –   M.P.

«Isabelle Druet campe une Climène tragique et humaine dont la douleur embrase dans son lamento de l’Acte II.»

Le figaro.fr Culture –   27/01/2012 –   Thierry Hillériteau 

«Isabelle Druet s’est révélée il y a quelques années comme l’une des mezzos les plus passionnantes et les plus prometteuses du moment. Les Victoires de la Musique ne s’y sont d’ailleurs pas trompées en la distinguant comme révélation lyrique de l’année 2010. De Carmen en Isabella, elle a prouvé sa valeur à l’opéra mais c’est aussi une récitaliste hors pair, qui affectionne la mélodie pour ce qu’elle fraye souvent avec le savant comme avec le populaire. Accompagnés par le Poème Harmonique, elle et Marc Mauillon nous entraînent en marge de l’opéra vénitien sur les pas des cantates sacrées de Frescobaldi, Caccini, Monteverdi et, bien sûr, Cavalli. »

Orlovsky dans DIE FLEDERMAUS – Johannes Strauss

Opéra National du Rhin – Décembre 2011 / Janvier 2012

Forum Opéra – Sylvain Fort

«Dans le rôle impossible d’Orlofsy, Isabelle Druet est simplement stupéfiante de présence et d’abattage : elle joue à merveille l’ennui colossal et on trouve un accent franco-austro-germano-russe des plus réjouissants ; vocalement, elle se pose là.»

ConcertoNet – Laurent Barthel

«Isabelle Druet s’ennuie à ravir dans le Prince Orlofsky, dont elle caricature la nonchalance existentielle avec autant d’humour que de vraie classe, avec un très beau timbre de mezzo qui acquiert de plus en plus d’ampleur au fil de la soirée.»

Concert classic – Alain Cochard

«Très homogène, la distribution réunie par l’Opéra du Rhin constitue un autre atout de poids dans la réussite de cette Fledermaus. Isabelle Druet répond à la conception de Waut Koeken dans une incarnation troublante et distanciée d’Orlofsky.»

Mittelbadische presse – Kurt Witterstätter

«Für die Hosenrolle des Prinzen setzte Isabelle Druet ausladendes Timbre ein, das sie nach oben kippend verfremdete.»

Badische Zeitung – Alexander Dick

«Der Prinze Orlofsky, herrlich an-drogyn, kraftvoll und mit warmem Timbre: Isabelle Druet

Die Rheinpfalz – Dagmar Gilcher

«Isabelle Druet mit warmem Mezzo gibt den gelangweilten Dandy Orlowsky.»

Acis et Galatée / Alcyone – Lully

Sablé sur Sarthe / Bilbao – Les Folies Françoises, Patrick Cohen Akenine – Septembre 2011

Opéra magazine –   Septembre 2011 –   Michel Parouty

«On aime l’engagement d’Isabelle Druet, qui transforme en théâtre tout ce qu’elle chante.»

 

CD – BROSSARD avec  La Rêveuse

Label Mirare – Novembre 2011

ClassiqueInfo.com –   01/11/2011 –   La Rêveuse couronne Brossard –   Philippe Houbert

«L’œuvre est malheureusement parvenue sous forme incomplète mais, telle qu’elle se présente à nous, il s’agit d’un petit bijou. Pour s’en convaincre, il faut écouter la plage 6, le duo « Sordes abluae noxias », dans lequel Eugénie Warnier et Isabelle Druet montrent tout leur talent, tant du point de vue technique que, chose de plus en rare malheureusement dans ce répertoire, de l’expression. […] Le récit des amours de Léandre et de Héro voit ici Isabelle Druet (superbe « O Dea filia del mar » – plage 22), Jeffrey Thompson (très émouvant « Tosto che scosse in tutto » – plage 26) et Benoît Arnould rivaliser en technique et expression. Magnifique découverte qui, à elle seule, justifierait l’acquisition de ce disque.»

Portrait – revue Diapason

Septembre 2011

Diapason –   Septembre 2011 –   La Relève

«Isabelle Druet revendique l’éclectisme d’un parcours autodidacte assurément atypique qui lui fait d’une même voix embraser Brel et Monteverdi. Son mezzo-soprano aux contours nets — grave, bien trempé, médium prégnant, aigu cinglant — épanouit son appétit de mots dans la mélodie française, et son instinct théâtral dans les emplois tragiques ou encore une Carmen cérébrale et venimeuse. Inclassable. Mieux, indomptable.»

Concert Brossard avec La Rêveuse

La Grange de Meslay – Juin 2011

ClassiqueInfo.com –   05/07/2011 –   La Rêveuse chez Ronsard –   Philippe Houbert

« Deux voix dialoguent, accompagnées par deux violons et la basse continue : l’âme pénitente, ici Isabelle Druet, accablée de la honte du péché, demande son pardon à Dieu, Jeffrey Thompson, qui finit par accueillir l’âme après moults sermons. En un petit quart d’heure, c’est une succession d’affects qui sont mis en scène, de l’affliction à la béatitude, de la réprimande à la tendresse. Petit tableau haut en couleurs et splendidement rendu par Isabelle Druet, dont on ne dira jamais assez qu’elle est plus qu’un espoir du chant français d’aujourd’hui (rien que le phrasé du Deus, Deus meus initial nous aurait fait rendre les armes face à cette Madeleine).»

CD – Révolutions avec Les Lunaisiens

 

Paraty – Juin 2011

Resmusica.com – 17/05/15 – Les lunaisiens chantent les révolutions – Jean-Christophe Toquin

« En accompagnant ces chants aux pieds nus avec un orgue de barbarie et un piano à queue Erard de 1890 de la collection du musée de la musique à Paris – réunion paradoxale de l’instrument emblématique de la rue et de celui des salons, en trouvant un compromis délicat à trouver entre la gouaille populaire et le chant lyrique (excellent Isabelle Druet).»

Dido & Eneas – Purcell

Théâtre Musical de Besançon, Opéra Royal de Versailles, Théâtre de l’Athénée – 2010 – 2011

Forumopera.com –   07/05/2011 –   Pour Isabelle Druet mais pas seulement –   Christophe Rizoud

«Aussi intense soit-elle, [la Didon d‘Isabelle Druet] est d’abord une battante qui se réalise bien plus dans l’action que dans l’affliction. La voix, puissante et timbrée, sait alléger les sons mais elle n’est jamais aussi persuasive que lorsqu’elle peut déverser son flot de lave : « Ah, Belinda ! » et plus encore les « Away » du duo avec Enée où se profile, cerné de noir, le facies de la Médée que la mezzo-soprano, révélation lyrique des Victoire la Musique 2010, chantera peut-être un jour et dont elle possède déjà la grandeur tragique. »

Figaroscope –   Mars 2011

«A 32 ans, la mezzo Isabelle Druet s’impose comme l’une des valeurs sûres du chant français. […] Sa voix se déploie sur tous les répertoires sans artifices, avec naturel. […] Son dernier disque chez Aparté, Jardin Nocturne, nous la fait découvrir dans une émouvante version des Nuits d’été avec piano.»

CD – JARDIN NOCTURNE

Label Aparté – avec Johanne Ralambondrainy au piano – Février 2011

La Croix – 25/03/2011 – Emmanuelle Giuliani

Ouest France –   08/04/2011 –   Vincent Cressard
«Révélation lyrique des Victoires de la Musique 2010, la mezzo-soprano Isabelle Druet s’exprime avec le même talent à l’opéra qu’en concert. Avec Johanne Ralambondrainy au piano, elle offre un magnifique récital de mélodies françaises. Un voyage musical qui conduit dans un univers nocturne propice à l’inspiration des poètes. Les nuits d’été de Théophile Gautier et Berlioz chantent en bonne place dans les allées de ce jardin nocturne, où l’on découvre des pépites de Fauré, Massenet, Poulenc, Chausson, Hahn….. Une émouvante ode à l’amour qui vaut le détour. »

Opéra Magazine –   Avril 2011 –   Gérard Condé

«Du style, une diction impeccable ([Isabelle Druet] a choisi de prononcer les « r »), un vibrato souverainement maîtrisé […]  Isabelle Druet est une conteuse. Ecoutez-la dans la mélodie française, par exemple, cet univers sonore et poétique si délicat auquel elle consacre son premier récital intitulé « Jardin Nocturne », enregistré sous le précieux label Aparté. Sa diction n’y est pas seulement parfaite, elle respire l’intelligence.»

Point de vue –   09/03/2011 

«Avec ce premier disque récital, la mezzo-soprano Isabelle Druet, couronnée par une victoire de la musique en 2010, n’a pas choisi la facilité : les incontournables Nuits d’Eté de Berlioz, mais aussi des airs de Fauré, Hahn ou Poulenc forment un répertoire raffiné, dans lequel sa diction impeccable et sa ligne de chant sensuelle font merveille.»

Télérama –   05/03/2011 –   Gilles Macassar

«Chaque apparition d‘Isabelle Druet sur un plateau d’opéra est un moment de bonheur. […] La jeune mezzo [invite] à un parcours nocturne dans le jardin secret de la mélodie française – un vrai eldorado.»

CARMEN – rôle titre – Bizet

Opéra-Théâtre de Metz , Opéra National de Lorraine –  Janvier/Février 2011

Opéra Magazine –   Février 2011 –   François Lehel

«On mettra au premier plan le rôle-titre avec la belle voix au timbre très « poivré » d’Isabelle Druet, pour une Carmen en franche mezzo, donc, mais à l’aigu sans défaillance et aux graves nourris, qui permettent d’éviter tout poitrinage, et avec une parfaite articulation du texte. L’actrice est d’une assurance. Et même d’un panache étonnants pour une prise de rôle, très belle en scène avec sa mince et souple silhouette, et une aptitude à la danse qu’on aimerait rencontrer plus souvent.»

Les Echos –   24/02/2011 –   Une Carmen à l’antique –   Philippe Venturini

«La révélation Druet : La jeune mezzo-soprano Isabelle Druet, révélation lyrique des Victoires de la musique 2010 (elle vient d’enregistrer un très beau récital de mélodies françaises chez Aparté), fait montre d’une aisance scénique manifeste et d’une fière intensité expressive dans ce personnage pourtant mille fois incarné. Plus insolente que vamp, sa Carmen défie la société et se moque ainsi de Don José pressé de rentrer à la caserne parce que le clairon sonne. Son timbre charbonneux et sa diction parfaite accompagnent cette prise de rôle réussie.»

Le Figaro –   22/02/2011 –   Carmen exemplaire –   Christian Merlin

«La relève est bien là : après Stéphanie d’Oustrac, voici Isabelle Druet, à Nancy, pour un saisissant portrait de femme. Révélation aux Victoires de la Musique 2010, la jeune trentenaire est une Carmen âpre et hautaine.»

Classiquenews –   21/02/2011 –   Nicolas Grienenberger

«Cette vision du mythe de la Carmencita a visiblement trouvé en Isabelle Druet une interprète idéale. Saluons d’emblée une prise de rôle mémorable et la révélation d’une très grande Carmen. Car l’incarnation de la jeune mezzo française impressionne par son aboutissement, tant musical que dramatique. Cette Carmen-là apparaît féline et redoutable, indépendante et farouche, fière et déterminée, et toujours d’une grande élégance, jouant pleinement de son charisme et de sa présence scénique magnétique. Vocalement, la tessiture de la gitane la trouve parfaitement à son aise, sans jamais céder à la tentation de grossir sa voix ou d’appuyer ses effets. Le timbre est superbe, le médium corsé, l’aigu franc et brillant. Le grave sonne profond et ample, qu’elle sait à volonté alléger et mixer, ou poitriner puissamment sans jamais perdre l’accroche haute. Et tout cela avec un sens du texte prodigieux, donnant à chaque mot son poids juste. Ce qui nous vaut un air des Cartes saisissant de force et d’impact, hypnotique dans sa lente déclamation, véritable imprécation, dont on se souviendra longtemps.»

Concertclassic.com –   01/02/2011 –   Nuit et Sang – Jacqueline Thuilleux

«Carlos Wagner a eu pour servir ses desseins une chanteuse – on a envie de dire une créature – hors du commun : la voix claire et ample, […] puissamment expressive, la diction parfaite, Isabelle Druet a toujours suivi des chemins de traverse, avant de trouver la Voie royale. Du théâtre de rue et des musiques traditionnelles, elle est passée au baroque et à Zemlinsky. La voici en sphinge de Gustave Moreau, la silhouette mince, nerveuse, et brûlante dans sa sinuosité offensive, le menton et le nez brandis comme des poignards, riant, vociférant et séduisant comme une démone. Un masque de Janus femelle que ce visage qui passe la laideur à l’extrême beauté, avec son teint d’albâtre, son regard enflammé, son sourire carnassier, sa crinière de Méduse, et cette silhouette qui fouette comme une queue de sirène, animée par un metteur en scène danseur lui-même – et cela se voit.»

Resmusica –   31/01/2011 –   Carmen au pays de Goya – Pierre Degott

«Avec Isabelle Druet et Chad Shelton, on aura trouvé deux interprètes complétement investis, vocalement et scéniquement, dans leur rôle. […] La jeune cantatrice possède toutes les qualités physiques et vocales pour devenir un jour une très grande Carmen, une fois qu’elle aura davantage mûri le rôle. En attendant, son jeu énigmatique et son chant raffiné auront pleinement servi le parti pris d’une mise en scène complexe, essentiellement centrée autour de son personnage.»

Webthea –   Janvier 2011 –   Une Carmen idéale pour un Bizet aux couleurs de Goya –   Caroline Alexander

«Magnifique Isabelle Druet […] c’est bien autour du rôle titre que tout se joue. Isabelle Druet accumule les honneurs, révélation lyrique de l’Adami en 2007, 2ème prix au Concours Reine Elisabeth de Belgique en 2008, enfin sacrée il y a tout juste un an « révélation lyrique » aux Victoires de la Musique 2010, elle a déjà effectué un parcours joliment diversifié – de Lully à Zemlinsky, en passant par Mahler et Mozart -, avant d’aborder cette Carmen redoutable dont elle fait une figure quasi idéale. Actrice accomplie, diction impeccable, ses talents de comédienne s’allient à un timbre de mezzo-soprano aux multiples ressources. Toute en fièvre, en rébellion et en sensualité, elle fait sienne cette femme qui veut vivre sa vie et non celle que lui impose la société des hommes. Magnifique, tout simplement.»

CD – Combatimenti

Label Alpha – 2010

Diapason –   Novembre 2010 –  Roger Tellart

«La prise de rôle est de celles qu’on n’oublie pas, non plus que les interventions de Jan Van Eslacker et Isabelle Druet, Tancrède et Clorinde toujours justes de style et d’affect. »

Classiquenews.com – 27/10/2010 –   Camille de Joyeuse
« En revanche, la Clorinda d’Isabelle Druet a ce timbre carré, masculin qui sied à une combattante. »

Thérèse dans Sancho Pança – Philidor

Opéra Comique , Logis de la Chabotterie – Mars / Août 2010

Resmusica.com –  26/08/2010 –  Philidor le sismographe par Hugo Reyne ! – Sancho Pança au Logis de la Chabotterie – Frank Langlois

«D’un plateau vocal compétent, on distinguera […] Isabelle Druet (elle allie vivacité scénique et haut savoir-faire vocal pour composer le portrait d’une épouse sensée et généreuse).»

Classiquenews.com – 30/03/2010 – « Un pleutre héros nommé Sancho » – Sancho Pança à l’Opéra Comique – Nicolas Grienenberger

«Les interprètes de cet opéra bouffon sont au diapason de la musique : Isabelle Druet ne fait qu’une bouchée de son rôle d’épouse jalouse et caractérielle, sa présence scénique occupe tout l’espace, et par son accent du terroir brillamment inventé ainsi que sa belle voix bien timbrée, elle achève de faire crouler la salle.»

Récital de mélodies françaises avec Stéphane Jamin

Opéra Comique , Palazzetto Bru Zane, Février/Mars 2010

L’Atelier du chanteur –   26/02/2010 –   Récital de mélodies françaises à l’Opéra Comique –   Alain Zürcher

« Ce soir, Isabelle Druet et Stéphane Jamin ont judicieusement mêlé les pièces les plus et les moins connues. Dès la deuxième, Isabelle Druet a installé une résonance plus haute et fine, gage d’une ligne vocale ductile et de belles tenues finales piano. […] Un programme très bien composé et interprété !»

Anaclase –   21/02/2010 –   Le salon romantique –   Palazzetto Bru Zane –   Bertrand Bolognesi

«D’emblée, disons-le : il faut absolument se rendre à l’Opéra Comique
 (Paris) pour goûter la reprise du programme de ce récital […]. Chaudement timbrée, cuivrée dans l’aigu, avantageusement impactée sur toute la tessiture, [la voix d’Isabelle Druet], fort agile dans les ornements et vocalises, nuance
 son chant qu’elle soumet à une diction exemplaire, une accentuation soigneusement choisie du texte, conséquence bénéfique de la pratique baroque de l’artiste. […] Ainsi de Savoir attendre, contant la hargne amoureuse d’une gamine et les sages conseils d’une grand’mère à l’ancienne mode, personnages qu’Isabelle Druet construit vocalement par des riens délicieux. […] Et c’est avec une truculente romance, Les Cinq Etages, que s’achève cette heure de chant.»

Combatimenti – Le Poème Harmonique

Opéra Comique, Février 2010

Anaclase –   25/02/2010 –   De Monteverdi à Marazzoli –   Monique Parmentier

«La Clorinde d‘Isabelle Druet est impétueuse, âpre, ne cédant rien. Son timbre semble luire comme le métal de son épée. Mais dans la mort, elle devient murmurante et lumineuse, aussi délicate que l’onde du clavecin. »

Arcabonne dans AMADIS – Lully

Opéra de Massy , Opéra-Théâtre d’Avignon – Janvier/Février 2010

ResMusica.com –   09/02/2010 –   Amadis à l’Opéra de Massy –   Franck Langlois

«Quant à la distribution vocale, nous en confirmons également la très haute tenue (sans oublier une claire élocution française qui dispense de lire les sous-titres). Nous y distinguerons toutefois le fraternel duo magique : sans aucune outrance vocale (ni chant poitriné ni forçage rhétorique ou expressif) et avec une rare élégance, Isabelle Druet (Arcabonne) met, au service d’un personnage complexe, sa longue tessiture et sa riche palette de couleurs ; puis, en Arcalaüs, Alain Buet montre qu’il poursuit la grande histoire du baryton-basse noble « à la française ».»

ForumOpéra.com –   06/02/2010 –   Amadis de Lully à Massy –   …Et vous serez contents –   Jean-Marcel Humbert

«Quant à la partie musicale, elle est tout simplement exemplaire. […] Isabelle Druet est fort impressionnante, tant vocalement que scéniquement, en Arcabonne ; sa voix chaude à la projection parfaite est tout à fait adaptée à ce rôle de magicienne.»

Chanteur.net –   05/02/2010 –   Alain Zürcher

«Vocalement, cette production réunit les meilleurs des jeunes chanteurs actuels de ce répertoire. […] Isabelle Druet est d’une pâte plus subtile, avec un « noyau » vocal fin mais dense à partir duquel sa voix rayonne en multiples couleurs.»

Le Dauphiné Libéré –   26/01/2010 –   Amadis de Lully à Avignon –   Opéra-théâtre : Amadis ou le bel enchantement
«Les voix sont d’une exquise beauté. Des dessus délicats et délicieux avec […] Isabelle Druet (éblouissante Arcabonne).»

Sidonie, Mélisse et La Fortune danS ARMIDE – Lully

 

Théâtre des Champs-Élysées, mise en scène Robert Carsen, direction William Christie

Octobre 2008

La Tribune – 10/10/2008 – «Armide» conquiert le Théâtre des Champs Elysées – Caroline Mazodier

«La distribution, impressionnante, réunit l’excellente tragédienne Stéphanie d’Oustrac (Armide) entourée de seconds rôles remarquables. A commencer par Isabelle Druet qui interprète La Sagesse, Sidonie et Mélisse. »

Concertonet.com – 08/10/2008 – Versailles sublimé – Philippe Herlin

«Nathan Berg, Paul Agnew, Laurent Naouri, des habitués de ce répertoire, sont excellents, ainsi que les rôles secondaires comme […] Isabelle Druet (La Sagesse).»

Altamusica.com – 08/10/2008 – In bed with Armide – Mehdi MAHDAVI

«Pas plus qu’un diaporama un peu miteux à la gloire de Louis XIV, agrémenté des louanges de leurs guides en tailleur et talons aiguilles, j’ai nommé la Gloire et la Sagesse – Claire Debono et Isabelle Druet, pimpantes.»

CD CONCOURS REINE ELISABETH  SINGING 2008  

2CD / 1DVD Musica Numeris

2008

La Libre Belgique – 04/06/2008 – Le concours revisité par le CD – Martine D. Mergeay

«Une sélection purement musicale dépassant les questions de classement. Avec, pour la première fois, un DVD en bonus. […] La « Séguedille » (Carmen, de Bizet), par l’irrésistible Isabelle Druet, devait être en deuxième position, elle y est. […] et quelques mélodies sublimes : Duparc poignant par Isabelle Druet […].
Le second CD reprend des airs avec piano, remontant parfois au premier tour (une nouveauté), où l’on retrouve les douze lauréats au complet. Quoique majoritairement servis par l’enregistrement […], les jeunes chanteurs sont ici plus exposés, plus spontanés aussi, le climat du CD n’en est que plus révélateur […], avec quelques trésors : […] « La Pitoyable aventure » par Isabelle Druet aussi désopilante que précise, […] et la Canzone d’Henderickx par l’élue du compositeur, Isabelle Druet, encore elle ! »

Le Soir – 30/05/2008 – Voilà déjà le CD du Reine Elisabeth – Serge Martin

«Alors inévitablement, dans une offre aussi large, chacun aura inévitablement des regrets : la Didon de Purcell d’Isabelle Druet (le sommet baroque du concours) […]. Le DVD d’« encore » proposé aux souscripteurs de l’album comprend heureusement le grand air de Cenerentola par Isabelle Druet. Il met en tout cas en valeur la dimension scénique des prestations des finalistes dont certaines (les femmes ont, dans l’ensemble, affiché un tempérament beaucoup plus affirmé de comédienne) montraient un fameux abattage. »

CONCOURS Musical International Reine Elisabeth de Belgique

 

Bruxelles – Mai 2008

 

Grenz-Echo – 20/06/2008 

«Le public du « Concours Reine Elisabeth »  de cette année devront se réjouir de revoir très vite le 2° prix Isabelle Druet. La mezzo-soprano a dû laisser la première place le 25 mai au ténor hongrois Szabolcs Brickner. D’après les médias, il y eût des discussions enflammées, concernant la décision du jury, pour attribuer en fait à Isabelle Druet la première, au lieu de la deuxième place. La jeune femme de 29 ans commença sa carrière artistique comme comédienne, et se fit remarquer par la perfection de son chant et de son expressivité. Indubitablement, Druet est l’artiste préférée du public du concours de cette année.»

Tageblatt – 16/06/2008 – Alain Steffen

«Isabelle Druet a imposé clairement son talent de comédienne, et a rencontré un accueil extraordinaire , avec « Non so più », des Nozze di Figaro, « Amici, in ogni evento », de l’Italiana in Algeri, de Rossini, et « Ah, que j’aime les militaires », de La Grande Duchesse de Gérolstein d’Offenbach. La chanteuse communicative, et pleine de joie de vivre,a maîtrisé tous les obstacles sans problème, et s’est révélée être une intreprète agile, et légère, dans l’esprit d’une Cecilia Bartoli. […] La magnifique mélodie de Duparc, « au pays où se fait la Guerre » fit reconnaître en Isabelle Druet, une déjà excellente intreprète de ce style proche du Lied.»

Mundoclasico.com – 05/06/2008 – Jorge Binaghi

«Mais le public sembla préférer finalement la jeune et douée Druet, à la voix dense, et à la véhémence particulièrement débordante pour l’aspect comique.»

La Libre Belgique – 26/05/2008 – Palmarès à la croisée des critères – MDM

«Druet aurait pu être la première, il a dû s’en falloir d’un cheveu, mais la carrière de cette merveilleuse « mezzo-comédienne » est lancée, on la retrouvera très bientôt, et on est déjà très heureux d’avoir pu la rencontrer d’aussi près.»

La Libre Belgique – 24/05/2008 – De Carmen à Dido, à fond – Martine D. Mergeay

«Isabelle Druet offre un concert exemplaire d’intensité et de maîtrise. […]. Difficile d’écrire lorsque la mezzo […] chante, tant son jeu est amusant à regarder (comédienne de son premier état, la candidate avait mis la barre théâtrale très haut, dès le premier tour), mais la voix est si belle, riche, souple, lumineuse, qu’elle suffit à elle seule à faire savourer ce fameux « Près des remparts de Séville », adressé par Carmen au brigadier de service.»

Scena.org- 24/05/2008 – Queen Elisabeth Singing Competition Finals Day 3 – Joseph So

« French mezzo Isabelle Druet has a rich, dark mezzo, with just the right timbre for Carmen, and her Sequille was very well sung and well acted, correctly with her hands behind until she « frees » herself from the robe binding her at the end.»

Le Soir – 25/05/2008 – Isabelle Druet – Serge Martin

«On monte encore d’un cran avec la plainte de Didon : un moment grand, noble et fort qui laisse l’auditeur littéralement pantois quand il découvre dans la foulée l’abattage irrésistible du grand air de Cenerentola. La mezzo française y joue la timidité des fausses ingénues avant de se lancer avec un panache fou dans le tourbillon final d’une exaltation irrésistible.»

Le Soir – 21/05/2008 – Douze voix, plus celles du jury – M.Dq

« Isabelle Druet, la mezzo française est l’une des autres révélations de la demi-finale. Une voix riche, à la fois profonde et claire, une musicalité toute en élégance et en esprit: ce serait déjà beaucoup pour nous combler. Mais il faut y ajouter un tempérament dramatique hors du commun, un sens théâtral vraiment confondant.»

La Libre Belgique – 18/05/2008 – Belle finale en vue, mais sans Belge – Martine D. Mergeay

« (Si) le jury pouvait jusqu’ici récompenser le « potentiel » d’un candidat (il n’a pas manqué de le faire en 2004), il est amené, par la qualité même des concurrents en lice, à n’élire que des chanteurs accomplis. C’est sans conteste le cas pour le Coréen Changhan Lim, la Canadienne Michèle Losier et la Française Isabelle Druet, un baryton et deux mezzos, trois artistes complets – et trois premiers lauréats en puissance. »

La Libre Belgique – 15/05/2008 – Quand le théâtre s’invite au concours – Martine D. Mergeay

«Plus aucune candeur, mais un don des planches époustouflant chez Isabelle Druet, mezzo française de 29 ans, comédienne de son premier état, qui, par rapport au premier tour, déjà impressionnant, monte ici la barre d’un cran. La voix est solaire, puissante et ronde, toujours mise au service de la musique et de l’intention théâtrale, pouvant opter pour la sécheresse du parler (Debussy, Henderickx, Ravel…) comme pour la suavité lyrique (Mozart, Bellini, Strauss) et se dotant, à la demande, de toutes les couleurs stylistiques, linguistiques ou nationales mises en jeu. Si la musicienne a un goût sûr – rien que le choix de son programme l’atteste -, la comédienne est électrisante, poignante en Ottavia, hilarante en Concepcion, désarmante en Komponist; avec la complicité de son pianiste, elle réussit, en plus, à construire l’ensemble de son programme comme un court opéra. La joie.»

Le Soir – 15/05/2008 – Michel Debrocq

«C’est la Française Isabelle Druet qui laissera le souvenir le plus émouvant de la soirée. Le timbre est magnifique, pouvant s’épanouir dans toute le plénitude de sa puissance, sans jamais rien perdre de sa beauté, ni de sa précision. Le sens du texte est toujours soutenu avec intelligence, dans une mélodie de Debussy aussi bien que dans l’opéra italien (Bellini), français (Ravel), et allemand (Strauss). L’émotion intériorisée de la Canzone (Henderickx), s’ouvre sur le soliloque dramatique d’Octavie (Le Couronnement de Poppée), où elle révèle tout son talent de tragédienne, d’une sincérité totale.»

 

CD – FIRENZE 1616 avec Le Poème Harmonique

Label Alpha – 2008

Muse baroque  – Mars 2008 – « Firenze 1616 »  –  Viet-Linh Nguyen

«Pour rendre justice à cette partition, le Poème Harmonique (…) bénéficie d’une équipe de soliste d’une grande cohésion, et aux timbres bien caractérisés. (…) Isabelle Druet prête son mezzo charnu à Calliope, touchante mère dont les intercessions répétées seront vaines auprès du maître des Enfers.»

Lien : http://www.musebaroque.fr/Critiques/firenze_dumestre.htm

Classique-today.com –  Mars 2008 – Firenze 1616  – Christophe Huss

« Chapeau bas, donc à tous les concepteurs de ce projet, à tous les musiciens et aux chanteurs : le trio des « têtes d’affiche » – le baryton Arnaud Marzorati, la riche mezzo Isabelle Druet et l’abyssal Philippe Roche – est impérial.»
Lien : http://www.classicstodayfrance.com/review.asp?ReviewNum=2447
Récompense : 10/10

ResMusica.com – 24/02/2008  – Firenze 1616 : Innefabile ardor   – Monique Parmentier

«Isabelle Druet sait nous faire percevoir les déchirements de cette mère (Calliope) dont le chant s’enrichit d’une présence quasi charnelle, usant de la séduction pour sauver son fils d’un destin dont elle pressent qu’il est inéluctable.»
Lien : http://www.resmusica.com/article_5047_cd_concert___recital_alpha_firenze_1616__innefabile_ardor.html

Classiqueinfo.com –  15/02/2008 – Firenze 1616 –  Fernand Bretton

«Le Poème Harmonique nous a habitué à des interprétations de très haut niveau et ne fléchit pas dans son excellence !(…) Ce « Io moro » de Saracini provoque peut être la seule petite déception de ce programme… En effet, à peine 4 minutes d’un tel chef d’oeuvre d’incandescente douleur, qui plus est chantée par la mezzo Isabelle Druet avec une voix d’une richesse de timbre rare et une expression de douleur à vous tirer les larmes, risquent de faire pâlir quelque peu le reste du programme qui n’atteint pas toujours cette intensité d’expression. Un disque exceptionnel et une révélation, comme on en découvre, rarement, la mezzo Isabelle Druet.»
Lien : http://classiqueinfo-disque.com/spip/spip.php?article79

Télérama –  16/02/2008 –  Firenze 1616 – Gilles Macassar

Récompense : ffff
«Ce n’est pas un hasard si Vincent Dumestre et ses partenaires du Poème Harmonique, se mesurant aux énigmes de la musique de Domenico Belli, trouvent ensuite si naturellement les secrets de la déclamation lullyste, comme en témoigne leur récente production de Cadmus et Hermione, première tragédie lyrique du surintendant et de son librettiste attitré, Philippe Quinault. La boucle se referme sur de précieux joyaux.»
Lien : http://www.telerama.fr/critiques/critique.php?id=25333

Charite et Mélisse dans CADMUS ET HERMIONE – Lully

Opéra Comique – Janvier 2008

L’Isola disabitata – 02/02/2008 –  Cadmus & Hermione : l’opéra et sa parodie – Bajazet

«Isabelle Druet s’impose en revanche en Charite et Mélisse par sa fraîcheur, son élocution et sa présence.»

Libération –  26/01/2008 –  «Cadmus et Hermione» tel qu’au premier jour  – Eric Dahan

«La troupe se surpasse pendant 2 h 15, au point qu’on ne saurait louer l’exquise Hermione de Claire Lefilliâtre, plus que […] la Charite d’Isabelle Druet ou la Nourrice du haute-contre Jean-François Lombard.»

La Tribune – 24/01/2008 – « Cadmus et Hermione », spectacle total –  Caroline Mazodier

«Le baryton Arnaud Marzorati (Arbas) et la mezzo-soprano Isabelle Druet (Charite/Mélisse), drôles et expressifs, explosent en seconds espiègles.»

Le Monde – 23/01/2008 –  Lully ressuscité à l’Opéra-Comique –  Marie-Aude Roux

«Benjamin Lazar et Vincent Dumestre à la tête d’une distribution homogène, dont se détache […] le charme impertinent d’Isabelle Druet (Charite).»

Resmusica.com – 22/01/2008 –  Un songe, un rêve, une féerie … –  Monique Parmentier

«Isabelle Druet, toute aussi gourmande est une Charite sensuelle et une Mélisse coquine, qui sait user de toutes les subtilité́s de son art vocal et de la rhé́torique baroque.»

 

Révélations classiques de l’ADAMI

 

2007

ResMusica.com – 08/08/2008 –  [Prades] Les Révélations de L’Adami 2007 dans la cour des Grands –  Michèle Tosi

«Mezzo colorature d’une exceptionnelle vitalité, Isabelle Druet ajoute à sa formation de chanteuse celle de comédienne, un ensemble « détonant » si l’on mesure l’abattage scénique de cette artiste déclenchant l’enthousiasme et le rire du public dans l’air de Conception extrait de l’Heure espagnole de Maurice Ravel, « Oh, la pitoyable aventure ! » : un « coup de théâtre.»

Ruggiero dans ALCINA – Haendel

CNSMDP (Paris), mise en scène Emmanuelle Cordoliani, direction Nicolau De Figureido

Mars 2007

Musica Sola –   17/03/2007

«On retiendra notamment Clémentine Margaine, Bradamante, et Isabelle Druet, Ruggiero.»

Le Monde de la Musique – Mai 2007 – N°320 – Philippe Venturini

«Se distinguent la fière Bradamante de Clémentine Margaine, le tout autant fier Ruggiero d’Isabelle Druet et le juvénile Oberto de la soprano Emmanuelle de Negri.»

La Colpa dans La Vita Humana – Marazzoli

Tournée Septembre –  décembre 2006

Diapason –   Janvier 2007 –   Vie Romaine – Jean Olivier Rouvière

«Le délicieux ténor […] de Jean-François Lombard (La Raison)[…] et le mezzo pugnace d‘Isabelle Druet (récemment découverte dans un Cenerentola itinérante, elle campe ici la Faute) sont parfaits. »

Le Monde de la Musique –   Novembre 2006 –   Ambronay –   Hors des sentiers battus – Philippe Venturi

«De ce spectacle de poche qui voyagera en région parisienne, on retient également […] l’inquiétante Faute d’Isabelle Druet. »

 

Zaïde – L’Europe Galante – Campra

Ambronnay , Grand Théâtre de Reims – Octobre 2005

Resmusica.com –   26/10/2005 –   Reims –   Ambronnay en tournée – Galanteries européennes – Jean-Richard Letawe

«Rien à redire sur la Turquie, très bien chantée par l’émouvante Isabelle Druet en Zaïre.»

Revue de Presse

     « Les qualités expressives, la diction s’ajoutent à celle de la voix, souple, longue, ample et chaude, propre à porter l’émotion, de la séduction à l’ivresse et à la mort.
Toujours noble, incertaine, aimante, passionnée, furieuse, résignée puis transfigurée et imprécatrice, toutes les étapes de la progression sont illustrées avec maestria.
Aucune défaillance, et des sommets (son duo progressivement fusionnel avec Enée « Nuit d’ivresse et d’extase infinie», puis « Errante sur tes pas », avant la fin, déchirante), nous avons affaire à une Didon d’exception. »
Forum Opéra  – Yvan Beuvard
DIDON dans Les TROYENS – Festival Berlioz 2022
  
« Cette vision du mythe de la Carmencita a visiblement trouvé en Isabelle Druet une interprète idéale. Saluons d’emblée une prise de rôle mémorable et la révélation d’une très grande Carmen.
Car l’incarnation de la jeune mezzo française impressionne par son aboutissement, tant musical que dramatique.
Cette Carmen-là apparaît féline et redoutable, indépendante et farouche, fière et déterminée, et toujours d’une grande élégance, jouant pleinement de son charisme et de sa présence scénique magnétique. Le timbre est superbe, le médium corsé, l’aigu franc et brillant, le grave sonne profond et ample. Et tout cela avec un sens du texte prodigieux, donnant à chaque mot son poids juste.
Ce qui nous vaut un air des Cartes saisissant de force et d’impact, hypnotique dans sa lente déclamation, véritable imprécation, dont on se souviendra longtemps. »
Classiquenews – Nicolas Grienenberger
CARMEN – Opéra de Nancy – 2011 
 
« Dans le rôle impossible d’Orlofsy, Isabelle Druet est simplement stupéfiante de présence et d’abattage : elle joue à merveille l’ennui kolossal et trouve un accent franco-austro-germano-russe des plus réjouissants ; vocalement, elle se pose là. »
Forum Opéra – Sylvain Fort
DIE FLEDERMAUS – Opéra du Rhin – Décembre 2013

 

 

Toute la presse par ordre chronologique :

CALYPSO – Télémaque et Calypso – Destouches

Festival de musique baroque d’Ambronay – SEPTEMBRE 23

avec Les Ombres, dir. Sylvain Sartre et Margaux Blanchard

 

 

Opéra Magasine – Vincent Borel  – Novembre 23

« Mais, surtout, Isabelle Druet, ici couronnée en sublime tragédienne. Le phrasé, la ductilité du timbre, une formidable palette expressive, offrent une Calypso de haute intensité.  »

 

Opéra Online – Élodie Martinez

« Avouons tout de suite que la Calypso d’Isabelle Druet se détache et brille particulièrement. Dès sa première intervention, la voix porte toute la noblesse du personnage, et se teintera du pouvoir de la reine au moment opportun dans la soirée. La mezzo-soprano nuance sa partition de mille couleurs satinées, à la fois puissante et fragile, divinement humaine, elle dresse un portrait fidèle et travaillé jusque dans le moindre détail. Son interprétation ne souffre aucun reproche, tant dans l’incarnation, que la prononciation ou la projection. »

 

 

Forum opéra – Yvan Beuvard

« Isabelle Druet nous vaut une admirable Calypso. La voix, les moyens dramatiques, l’engagement sont au rendez-vous et chacune de ses apparitions est un moment fort. Dès son entrée (« Dieu des mers, terrible Neptune ») elle impose cette figure forte, passionnée, reine humaine qui tutoie les dieux.  « Le dépit, la haine et la rage » (III) l’autorité de « Tout l’enfer m’obéit », tout est là, auquel nul ne peut rester insensible. C’est évidemment au dernier acte qu’elle déploie tous ses moyens, servie par une écriture musicale et dramatique exceptionnelle de force et de justesse (« Tout fuit, injustes dieux…Quels sifflements affreux… »).  Le souci d’une expression intelligible, les couleurs, les inflexions dramatiques, la projection d’une grande tragédienne emportent l’adhésion. « 

 

 

Concertclassic.com – Laurent Bury

« L’impitoyable Calypso trouve en Isabelle Druet une interprète de choc, survoltée, incarnant son personnage avec une ardeur égale dans le chant et dans le jeu : la reine d’Ogygie fascine par l’expressivité de ses gestes et de ses expressions autant que par le caractère impérieux de son chant. »

 

 

Diapason – Jean-Philippe Grosperrin

 » Elle contraste magnifiquement avec Isabelle Druet, à qui revient Calypso, qui est de fait le rôle principal. On se demande à l’issue du concert par quel mystère on entend si rarement cette artiste dans les premiers rôles de tragédie en musique – à l’exception de Clorinde (Tancrède de Campra) il y a quelques années. Qu’admirer le plus ? L’éloquence trouve constamment appui dans le geste théâtral, dans un masque tragique incroyablement ajusté. Son jeu, soucieux d’interaction avec les partenaires, éclipse simplement le cadre du concert. Mais c’est d’abord, dans le chant même, l’incorporation de ces passions mobiles qui captive, d’un bout à l’autre. Songe inquiet, évocation infernale (avec le grave nécessaire), duo violent avec Adraste, échanges retors avec Télémaque comme avec Eucharis, domination de la tessiture dans les emportements, sens du risque aussi, tout est là. Tout, c’est-à-dire l’esprit de ce théâtre musical, l’esprit de Destouches en somme, dont on espère maintenant d’autres opéras encore. « 

 

 

Muses Baroques – Pierre-Damien Houville

 » De cette galerie ressort en majesté Calypso, campée avec une assurance et une détermination sans failles apparentes par Isabelle Druet, véritable nœud gordien des sentiments des personnages. Reine aux sentiments humains, elle converse en égale avec les Dieux, régnant sur une île ravagée par la tempête et dans le souvenir prégnant de l’amour d’Ulysse (Je crains toujours Ulysse et toujours son image vient se présenter à mes yeux. Un songe…ah ! je frémis quand je me le rappelle, Acte I, scène III). Déterminée dans ses postures vocales, juste dans ses intonations, pétrifiant l’auditoire de sa présence scénique, ne sacrifiant rien à la qualité de la diction, Isabelle Druet s’approprie son rôle au point que l’œuvre gagnerait à être renommée Calypso & Télémaque. « 

NERONE- L’Incoronazione di Poppea- MONTEVERDI

Festival international de musique de Beaune – JUILLET 23

avec Les Épopées, dir. Stéphane Fuget

Resmusica – Jean-Luc Clairet

« Beaune : Le Couronnement des Epopées et le sacre d’Isabelle Druet « 

Stéphane Fuget clôt sa Trilogie Monteverdi avec Le Couronnement de Poppée. Une lecture très originale, qui doit aussi beaucoup à sa distribution, particulièrement investie autour de la toute-puissance du Néron d’Isabelle Druet. (…)

Le monstre c’est Isabelle Druet, qui en Néron, n’apparaît nullement intimidée par une prise de rôle dont le festival aura fait mystère quasiment jusqu’au bout. La Cassandre et la Didon berliozienne du moment ne flotte à aucun moment dans les manches du tyran dont elle brosse à traits très calculés l’évolution psychologique. La chanteuse respire la musique, même celle de ses collègues.

La comédienne est telle, qu’après avoir fait défiler la petite frappe ivre de sexe des premières scènes (cheveux plaqués à la garçonne sur costume noir, mains en révolver au bord des poches, bref Al Capone), puis le décideur de vie et de mort, elle parvient à nous faire oublier cette lie de l’humanité, en procédant au grand chavirement de l’apesanteur sublimée du Pur ti miro pour lequel Isabelle Druet rappelle (ah, les consonnes de pur ti stringo !) qu’au bout du compte : Io la Musica son… Ce duo final restera comme un des plus beaux jamais entendus. « 

 

 

Opéra magazine – Thierry Guyenne

« Idéaux enfin, les amants criminels, dont chaque rencontre fait des étincelles. (…) Francesca Aspromonte trouve, en Isabelle Druet, un Nerone aussi fou de désir comme amoureux que capricieux et colérique comme souverain, dont le mezzo corsé, capable de divins allégements et de vocalises perlées, semble n’avoir aucune limite expressive, ni technique.

A l’issue de ces quatre heures et demi de concert, à presque une heure vingt du matin, à peine évanouies les dernières résonnances du sublime Pur ti miro, Stephane Fuget salue en tenant, de part et d’autre, Poppea et Nerone par la main, conscient que ce marathon musical et théâtral n’aurait pas été possible sans l’exellence de ces deux chanteuses. »

 

 

Classiquenews – Jean-François Lattarico

« Le choix d’une mezzo pour incarner Néron peut surprendre, mais Isabelle Druet est impeccable de justesse et de crédibilité, une voix superbement projetée, alliée à des graves androgynes, juste reflet de l’androgynie du personnage. Les duos avec Poppée résonnent comme une évidence, tant l’osmose se révèle parfaite. Jamais un tel duo n’a paru aussi sensuel (la langueur infinie et bouleversante sur le « Addio » du premier duo !) »

 

 

 

Motets romantiques français- Chorus Line #8

Festival Palazzetto Bru Zane/Radio France – Juin 2023

 

Olyrix – Emmanuel Deroeux

« Enfin, la mezzo-soprano Isabelle Druet séduit par sa grande sensibilité d’interprétation, néanmoins d’apparence naturelle, comme dans sa supplique du Kyrie de Clémence de Grandval ou son touchant Ave verum de Théodore Dubois. »

Adèle H et Hector B

Théâtre Ledoux – Besançon – 4 Avril 2023

avec l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, dir. JF Verdier

Forum Opera – Yvan Beuvard

Le programme, particulièrement à propos, unit Adèle Hugo à Hector Berlioz. (…) La fluidité de L’oiseau passe, sur un poème écrit par le père pour être mis en musique par Adèle, introduit La captive, confiée maintenant à Isabelle Druet. Les trajectoires des deux compositeurs convergent alors. Pleinement investie, la soliste sert son texte et sa mélodie avec un art consommé, d’une voix de grande tragédienne née. L’orchestre, somptueux, aux modelés superbes, toujours attentif au chant, le pare des plus beaux atours. Il en ira de même dans les extraits de la Damnation de Faust. Le merveilleux solo de cor anglais qui introduit « D’amour, l’ardente flamme » prélude à une des plus émouvantes pages de tout le théâtre lyrique. Et sa traduction par l’orchestre Victor Hugo – Franche-Comté et notre admirable mezzo se situe au plus haut sommet. »

 

RÉCITAL SCHUMANN avec Joël Soichez

Festival les Volques – Décembre 2022

 Concertclassic.com par Alain Cochard

« Et le lied de trouver on ne peut plus naturellement sa place lors du concert inaugural du 3e festival (…) avec tout d’abord les cinq Poèmes de la reine Marie Stuart. Un opus dont Isabelle Druet, timbre riche et expression intense, portée par le piano très complice de Joël Soichez, restitue la prégnante unité, entre nostalgie et supplique déchirante. (…) Retour à Schumann et au lied avec cinq extraits du Liederkreis op. 39, dans lesquels le sens des caractères et le naturel d’Isabelle Druet et de son partenaire font mouche à nouveau. Fluidité d’In der Fremde, respiration panthéiste de Mondnacht, simplicité frémissante du second In der Fremde, prégnance du sombre Zwielicht, vibrant élan de Frühlingsnacht : on aurait volontiers goûté à la totalité du cycle ! »

 

ANAMORFOSI – Le Poème Harmonique

Eglise de la Gloriette, Caen – 17 Novembre 2022

Concert classic.com – Thierry Geoffrotin

« Impressionnante Isabelle Druet qui a rejoint le groupe in extremis, en l’absence d’Anaïs Bertrand. Dans « Un Allato Messagier », à l’origine un lamento profane de Luigi Rossi devenu une déploration sur la mort du Christ, la mezzo a trouvé des accents d’une extrême sincérité, propre à tirer des larmes. »

 

 

MON AMANT DE SAINT-JEAN  avec Le Poème Harmonique

Palais Neptune de Toulon – 14 Novembre 2022

« Isabelle Druet émerge d’un nid de costumes dont elle s’est parée et défaite, de mue en mue, pendant le déroulement du programme : robe noire à la Juliette Gréco, lamé précieux d’héroïne mythologique, fourreau de velours cramoisi d’idole des Années Folles. (…)

Le format est celui du récital, voire du « tour de chant », comme le précise la note de programme. La voix n’est pas plus en reste que les gestes d’actrices de la soliste qui mobilise ses bras en tragédienne ou en saltimbanque, aussi noble dans la lamentation que gouailleuse dans la pantomime. Les deux moments-clé en sont le Lamento d’Arianna de Monteverdi, aux longueurs savantes de madrigal monodique, et à l’autre extrême, la célèbre chanson polissonne de Colette Renard Les nuits d’une demoiselle, alors que, lascive à souhait, elle parcourt le plateau. Sa voix est longue, étirée de manière élastique, dans le répertoire du premier baroque, faisant moirer les couleurs de métal fauve d’une épée taillée en biseau, soutenue par une émission puissante et résistante (d’autant plus que la voix alterne souvent avec la partie instrumentale, sans bénéficier de son soutien). Isabelle Druet, qui n’en est pas à son premier rôle parodique (entre autres Baba la Turque dans The Rake’s progress de Stravinsky, entendu à Nice) sait produire un théâtre de tréteaux vocal, faire rouler ses « r » et distiller un peu de vibrato. Elle produit de véhémentes déclamations entrant finalement dans le parlé, sachant changer de mode de chant avec ductilité, descendre dans les graves, insuffler encore de l’énergie au phrasé.

La pénétration réciproque des répertoires, inattendue, improbable mais crédible, voit le public acclamer le spectacle où les goûts et les temps réunis ont produit autant de plaisir d’un côté comme de l’autre de la salle. »

 

 

CASSANDRE – LES TROYENS – Berlioz

Oper Köln (Opera de Cologne) direction musicale FX Roth, mise en scène Johannes Erath, Gürzenich Orchester

Septembre/Octobre 2022

Opera online par Achim Dombrowski, 24.09.2022

« Particulièrement impressionnant : la chute de Cassandre symbolisée par sa danse macabre avec un danseur stylisé en cheval (de Troie). Si un tel numéro d’équilibriste stylistique peut réussir, c’est aussi grâce à la personnalité des chanteurs-acteurs. (…)

La Cassandre d’Isabelle Druet agit dans un désespoir dévorant avec une puissance vocale et d’actrice inépuisable. »

« Besonders eindrücklich: Cassandres Untergang symbolisiert in ihrem Todestanz mit einem als (trojanisches) Pferd stilisiertenTänzer. Dass allerdings eine solche stilistische GratwDass allerdings eine solche stilistische Gratwanderung überhaupt gelingen kann, liegt auch den Persönlichkeiten der Sängerdarsteller. (…) Die Cassandre von Isabelle Druet agiert in aufzehrender Verzweiflung mit stimmlich und darstellerisch unerschöpflicher Kraft. »

 

 Trouw , Peter Van der Lint, 28.09.2022

« En première partie, jouant dans Troie, Isabelle Druet était une incroyable Cassandre. La voyante, que personne ne croit, était toujours présente de manière hallucinante dans son interprétation. La rencontre avec le cheval de Troie (ici un danseur terrifiant) produisit un effet de choc. Et Druet a superbement fustigé les femmes troyennes, les incitant à choisir leur mort. « 

« In het eerste deel, spelend in Troje, was Isabelle Druet een geweldige Cassandre. De zieneres die door niemand geloofd wordt, was in haar interpretatie steeds hallucinerend aanwezig. De ontmoeting met het paard van Troje (hier een angstaanjagende danser) bracht een schokeffect teweeg. En Druet zweepte de Trojaanse vrouwen schitterend opnaar hun zelfgekozen dood. »

 

 Das Opernmagazin

« La mezzo-soprano française Isabelle Druet est l’héroïne charismatique des deux premiers actes « 

« Die französische Mezzosopranistin Isabelle Druet ist die charismatische Heldin der ersten beiden Akte »

 

Literaturundfeuilleton von Helge Kreisköther 27/09/22

« La Cassandre d‘Isabelle Druet, aussi intense et que stylistiquement assurée – cet opéra est un régal pour les rôles de mezzo impressionnants – brille dans la première partie. Elle ne se présente en aucun cas comme une diva, mais s’investit de manière si crédible dans l’histoire et dans son personnage que cela vous donne des frissons dans le dos lorsqu’à la fin du deuxième acte, elle se suicide avec ses femmes pour ne pas devenir la proie des Grecs. »

« Die gleichermaßen intensive wie stilistisch sichere Cassandre von Isabelle Druet – diese Oper ist ja ein Fest für beeindruckende Mezzo-Partien – brilliert im ersten Teil (von den zwei Teilen der Oper bzw. den drei Teilen des Kölner Abends). Sie stellt sich keineswegs divenhaft in den Vordergrund, sondern verschmilzt so glaubwürdig mit der Szene, dass es einem Schauer über den Rücken jagt, wenn Cassandre am Ende des zweiten Akts mit ihren Frauen in den Freitod geht, um nicht zur Beute der Griechen zu werden. »

 

 Kölner Stadt-Anzeiger Köln, par Markus Schwering, 25.09.2022

« Isabelle Druet dans le rôle de Cassandre percute immédiatement.

Elle amène le désespoir de son personnage face à l’inefficacité de ses avertissements avec une explosivité flamboyante, d’une voix souple et dramatique, pleine et portant jusque dans un profond registre alto. Elle partage les lauriers de la meilleure performance avec Veronica Simeoni en Didon. « 

« Isabelle Druet als Kassandra, sofort auffällt. Die bringt die Verzweiflung der Figur über die Erfolglosigkeit ihrer Warnungen mit lodernder Explosivität herüber, beweglich und dramatisch, satt und tragend bis in die tiefe Altlage. Den Lorbeer der Bestleistung muss sie sich mit Veronica Simeoni als Dido teilen. »

 

Opera Actual by Xavier Cester – 28/09/2022 –

« Une distribution équilibrée, qui a trouvé son meilleur atout dans la Cassandre d’Isabelle Druet. Avec une voix assez légère pour le rôle, la mezzo-soprano française éblouit par la variété de couleurs et d’accents avec lesquels elle construit une incarnation du souffle tragique irrésistible. « 

« Un reparto equilibrado, en buena parte con miembros de la compañía de la Ópera de Colonia, tuvo en la Cassandre de Isabelle Druet su mejor baza; con una voz algo ligera para el papel, la mezzosoprano francesa deslumbró por la variedad de colores y acentos con los que construyó una encarnación de un irresistible aliento trágico. « 

 

Online Musik Magasin, von Stefan Schmöe

« De nombreuses figures apparaissent stylisées ; la principale exception est Cassandre, la voyante maudite, dont personne ne croit les prophéties.Isabelle Druet lui offre une voix à la fois jeune, dramatique et flamboyante, et bien sûr elle est celle à laquelle on s’attache. »

« Viele Figuren erscheinen stilisiert; die wichtigste Ausnahme bildet Kassandra, die fluchbeladene Seherin, deren Prophezeiungen niemand glaubt. Isabelle Druet gibt ihr eine jugendlich-dramatische, flammende Stimme, und natürlich ist sie die Sympathieträgerin. »

 

General-Anzeiger Bonn, Bernhard Hartmann, 27.09.2022

« Isabelle Druet ravit avec un portrait captivant de Cassandre »

« Isabelle Druet begeistert mit einem packenden Porträt der Kassandra »

 

Der Opernfreund von Sebastian Jacobs, 26.9.22

« Le fait qu’ils aient un talent pour distribuer les bons chanteurs à Cologne est prouvé une fois de plus par le casting des premiers rôles. En première partie, Isabelle Druet, dont on s’était déjà enthousiasmé dans « Béatrice et Bénédict », montre à présent une intensité dramatique après avoir chanté un rôle tout en légèreté. Elle joue la voyante que personne ne croit avec une grande emphase et sait parfaitement incarner les tourments de son personnage tant sur le plan scénique que musical. »

« Dass man in Köln ein Händchen für gute Sänger hat, beweist ein Mal mehr die Besetzung der großen Partien. Im ersten Teil zeigt Isabelle Druet, die schon in „Beatrice et Benedict“ begeisterte, nach leichtem Stoff nun Dramatisches. Sie spielt die Seherin, der keiner glaubt mit großer Emphase und weiß die Qual ihrer Figur szenisch, wie musikalisch adäquat zu verkörpern. »

 

Klassikfavori von Sabine Weber, 26 September 2022

« Le drame captive du premier au dernier moment. Cassandre est une voyante troyenne indisciplinée toujours marginalisée dont les avertissements sont ignorés, même par son amant toujours apaisant. Isabelle Druet l’incarne avec jusqu’au bout des ongles, c’est brillamment chanté, avec beaucoup de verve dans les aigus, un volume imposant mais aussi des couleurs sensibles dans les différents registres ainsi qu’une présence scénique incroyable, toujours impressionnante même lorsqu’elle chante au sol, dans la rampe. »

« Drama vom ersten bis zum letzten Moment in den Bann schlägt. Kassandra ist eine immer randständige widerborstige Trojanerin und Seherin, deren Warnungen selbst von ihrem stets alles besänftigenden Geliebten in den Wind geschlagen werden. Isabelle Druet verkörpert sie mit Haut und Haar, intoniert glänzend, mit großer Verve in der Höhe, vollem Volumen aber auch feinfühligen Farben in verschiedenen Registern und mit einer unglaublichen Bühnenpräsenz, die selbst beim Rampensingen noch einnimmt. »

 

Orpheus Magasin von Iris Steiner

« Les deux dames exceptionnelles, Isabelle Druet (Cassandre) et Véronique Simeoni (Didon) méritent une mention spéciale. »

« Auch hier überzeugt die Kölner Produktion mit homogener Ensemble-Leistung ohne Ausfallerscheinungen. Stellvertretend hervorgehoben seien die beiden herausragenden Damen Isabelle Druet (Cassandre) und Veronica Simeoni (Didon). »

 

 

Frankfurter Allgemeine Zeitung, Klaus Heinrich Kohrs, vom 27.09.2022

« Du reste, elles sont magnifiques : Druet dans le long souffle et l’endurance du duo avec son noble fiancé désespéré Chorèbe (Insik Choi), enfin et surtout dans sa prophétie finale de la mort. »

« Im Übrigen sind sie großartig: Druet im langen Atem des Duetts mit dem nobel sich haltenden verzweifelnden Verlobten Chorèbe (Insik Choi), und hier vor allem in der interpolierten hysterischen Untergangsprophetie . »

 

Die Deutsche Buhne von Andreas Falentin 25/09/22

« Le chant est à un niveau rarement vu dans cette maison ces dernières années. Isabelle Druet en Cassandre et Veronica Simeoni apportent de précieuses voix de mezzo-soprano et sont à la fois des interprètes remarquables et très compréhensibles. Druet surtout brille dans l’interprétation du texte et montre d’infinies nuances entre chant parlé et chant legato. »

« Dazu wird in dieser ersten Premiere unter dem neuen Intendanten Hein Mulders auf einem Niveau gesungen wie selten in diesem Haus in den letzten Jahren. Isabelle Druet als Kassandra und Veronica Simeoni bringen kostbare Mezzosopran-Stimmen ein und sind dazu beide herausragende und sehr textverständliche Interpretinnen. Druet vor allem in der Textausdeutung brilliert und dabei unendlich viele Nuancen zwischen Sprech- und Legatogesang zeigt (…). »

 

Kölnische Rundschau Köln , Olaf Weiden
 vom 26.09.2022

« Isabelle Druet, qui avait fait ses débuts à domicile avec le rôle-titre dans « Béatrice et Bénédict », nous a convaincu dans le rôle de Cassandre. »

« Als Kassandra überzeugte Isabelle Druet, die mit der Titelrolle in « Béatrice und Bénédict » ihr Hausdebüt ablegte. »

 

Concertclassic.com par Pierre-René Serna

« Isabelle Druet reste la Cassandre assurée qu’elle avait déjà offerte *(au Festival
Berlioz, sous la direction de Roth) »

* Parmi ces solistes, Isabelle Druet offre une Cassandre d’envergure, dans une ligne de chant jamais prise en défaut (malgré un orchestre placé acoustiquement sur le même plan, comme nous disions) et une incarnation éminemment dramatique.

 

BÉATRICE ET BÉNÉDICT – Berlioz

Oper Köln/ Opéra de Cologne – Avril/Mai 2022

Mise en scène Jean Renshaw, direction FX Roth

Live in der Oper 30/04/22

« Sa cousine Béatrice, fabuleusement chantée et jouée par Isabelle Druet, oppose à ce chant étincelant et paré des parties de mezzo boyish mais finement nuancées, notamment en voix de poitrine. Elle a offert un premier rôle très applaudi.

Béatrice et Bénédict à l’Opéra de Cologne est une pièce merveilleusement gaie, belle, superbement chantée, jouée et présentée, tout simplement juste ! »

 

« Die Frauen haben das Sagen! (…) Ihre Cousine Béatrice, fabelhaft gesungen und gespielt von Isabelle Druet, setzt diesem glitzernd geschmückten Gesang burschikose, aber gerade in der Bruststimme fein nuancierte Mezzo-Parts entgegen. Auch sie bot ein mit viel Applaus bedachtes Rollendebüt dar. Das Terzett der Frauenstimmen im zweiten Akt auf eine wundervolle Weise so brillant gestaltet, dass man unweigerlich an den Rosenkavalier dachte. Alors – Béatrice et Bénédict an der Oper Köln ein wunderbar heiteres, schönes, großartig gesungenes, gespieltes und präsentiertes Stück, einfach stimmig! »

CHANTS DU SUD – Canteloube, Ferez

Théâtre Ledoux, Besançon – 5 Mars 2022

avec l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, direction Arnaud Pairier

Resmusica – Jean-Luc Clairet , 9 Mars 2022

« La Orilla del mar a été composé pour Isabelle Druet, autre citoyenne de la vieille ville espagnole, et chanteuse dont l’on ne cesse de louer l’ensorcelante vocalité. Isabelle Druet fait des neuf minutes de La Orilla del mar un puissant moment de théâtre. L’on n’oubliera pas de sitôt le regard atone et vide qui éteint longuement son visage sur la très belle déploration venue sceller l’humanisme hugolien.

En préambule de ce coup de massue, celle qui est à l’heure actuelle la plus grande interprète des Troyens (Cassandre et Didon), aura fait des deux mélodies inédites de Jean Gabriel-Marie (incrustées au cœur des cinq numéros de Miréio), puis de quatre des vingt-six Chants d’Auvergne de Joseph Canteloube (assez voisins stylistiquement) un mini-festival condensant, entre sensualité étouffante (somptueux Baïlero, gourmand Lo Fiolairé) et rouerie consommée (Lou Boussu), l’art autant scénique que vocal de la cantatrice. »

TRITON dans CORONIS – Sebastian Durón

 Opéra Comique Février 2022

 

Forum Opera – 17/02/2022 – Guillaume Saintagne

 « Il n’y a finalement qu’Isabelle Druet pour changer le plomb en or. Alliant avec excellence bel canto et expressivité, sans tomber dans l’outrance que la mise en scène lui autoriserait pourtant, elle brille même dans les passages qui n’auraient été que de longs tunnels pour d’autres. »

 

Olyrix – 15/02/2022 –  Claire Massy-Paoli

« Isabelle Druet déploie une constante aisance en Triton, devenant la créature marine dans sa démarche même, avec une autodérision bienvenue tout en étant capable de travailler le pathos de son interprétation, jusqu’à presque tirer des larmes au public, ému par ses amours malheureuses. Le timbre de la chanteuse, entre résonances nasalisées, voix de tête et moments parlés-chantés, joue (avec constante justesse) de ces notions d’hybridité qui sont au cœur de la problématique du monstre, mi-humain mi-poisson. L’amplitude vocale d’Isabelle Druet est aussi remarquée avec des graves ronds et des aigus assurés, permettant même certains effets de « croassement » propres au monstre, tout en maintenant l’intensité de chacune de ses interventions. »

 

Muse Baroque – 15/02/2022 – Pierre-Damien HOUVILLE

« Une stature, un équilibre tout en mesure face au trublion Triton, incarné par Isabelle Druet qui trouve l’occasion de déployer tout son talent dans le long et sublime lamento du début de la seconde journée (scène 4), déplorant sa disgrâce amoureuse. »

LE DÉLUGE – Saint-Saëns, Les Nuits d’été – Berlioz

Ostrava, République Tchèque – 28 Septembre 2021

Ostravan.cz, par  Milan Bátor, le 29.09.2021.

Recenze převzata z Internetového deníku pro umění a kulturu Ostravan.cz, 29.9.2021, autor Milan Bátor.

 « Les solistes français ont interprété des mélodies à tour de rôle, dont la mezzo-soprano Isabelle Druet, qui m’a le plus séduit. Son interprétation était aussi proche que possible d’un rendu idéal – elle s’accompagnait d’une excellente diction, d’une expression juste et d’une belle énergie personnelle. La mezzo-soprano ne laissait aucun doute et a montré qu’elle savait exactement ce qu’elle faisait. Chaque mot qu’elle prononçait portait le cachet d’une confession authentique et personnelle. »

V jednotlivých písních se představili francouzští sólisté, z kterých mě nejvíc oslovil mezzosoprán Isabelle Druet. Její projev se maximálně blížil ideálnímu ztvárnění – interpretaci Druet provázela vynikající dikce, přiléhavý výraz a krásná osobní energie. Mezzosopranistka nedala důvod k jakýmkoli pochybám a ukázala, že ví přesně, co dělá. Každé slovo v jejím podání mělo punc autentické a osobní zpovědi.

 

DIDON dans LES TROYENS – Berlioz

Festival Berlioz, La Côte St André – Août 2021

Forum Opéra – Yvan Beuvard

« Après sa Cassandre en 2019, Isabelle Druet nous offre une Didon volontaire, tendre et douloureuse. Les qualités expressives, la diction s’ajoutent à celle de la voix, souple, longue, ample et chaude, propre à porter l’émotion, de la séduction à l’ivresse et à la mort. Toujours noble, incertaine, aimante, passionnée, furieuse, résignée puis transfigurée et imprécatrice, toutes les étapes de la progression sont illustrées avec maestria. Aucune défaillance, et des sommets (son duo progressivement fusionnel avec Enée « Nuit d’ivresse et d’extase infinie», puis « Errante sur tes pas », avant la fin, déchirante), nous avons affaire à une Didon d’exception. »

 

Concert Classic – Laurent Bury

« Après avoir réussi Cassandre en 2019, Isabelle Druet revient en Didon : vêtue d’une somptueuse robe verte, elle est la reine de Carthage (c’est à peine si elle jette un œil de temps à autre à sa partition), mais une Didon qui n’a rien de marmoréen. Loin de la noblesse imposante au drapé figé, cette reine-ci a d’abord la majesté souriante, voire coquette ensuite, avant d’afficher le masque tragique qui s’impose. Si la mezzo n’a pas toujours l’ampleur qu’offrirait un grand soprano dramatique, elle offre en revanche ce que pratiquement aucune titulaire actuelle n’avait pu proposer : une diction superlative, une déclamation constamment investie qui donne un sens à chaque mot et qui montre ce que « chanter français » veut dire. »

Diapason – Gérard Condé

« En 2019, La Prise de Troie (actes 1 et 2 des Troyens) avait consacré les ressources vocales, timbre et puissance d’Isabelle Druet, tragédienne accomplie dans le rôle omniprésent de Cassandre. Dans Les Troyens à Carthage (actes 3, 4 et 5 des Troyens) elle a reparu en Didon souveraine, amoureuse, inquiète, ardente de fureur, désespérément résignée enfin. »

 

Resmusica – Michèle Tosi

« Elle était la Cassandre de la Prise de Troie, premier volet (Actes I et II) des Troyens d’Hector Berlioz donnés en 2019. Isabelle Druet revient sur le devant de la scène en Didon, une prise de rôle pour la mezzo-soprano (…) qui endosse son rôle avec la noblesse et l’élégance qui incombent à une reine : clarté de l’élocution, tonicité de la voix et puissance expressive du verbe. « Nuit d’ivresse et d’extase infinie », le duo des deux amants à la fin du IV est d’une beauté hypnotique, conduit avec beaucoup de grâce et de finesse par les deux voix en parfaite osmose : sommet d’une soirée qui marquera sans nulle doute d’une pierre blanche cette édition 2021. »

 

Concerto Net – Philippe Manoli

« La mezzo niortaise fait preuve tout au long de l’œuvre d’un grand impact théâtral, investissant le rôle par des expressions faciales mesurées et aptes à capter l’attention tout au long des passages orchestraux fort nombreux dans cette version concertante. Dès le duo avec Anna, elle use d’une émission haute qui lui permet d’obtenir une aisance de projection susceptible de résister aux assauts de la masse orchestrale, tout en lui donnant une grande marge de manœuvre sur le plan du lyrisme, porté par les mots, par une diction impeccable et un véritable art de la déclamation lyrique. Elle peut ainsi, en évitant de poitriner à l’excès, incarner une reine d’abord émue, saisie par la passion amoureuse puis dévastée par l’abandon et se raidissant d’orgueil dans la prophétie finale. La douleur intériorisée d’«Adieu, fière cité» approche alors l’émotion distillée par les plus grandes, et le sommet de sa prestation comme de la soirée est le duo d’amour «Nuit d’ivresse» où, rejointe par Mirko Roschkowski, elle peut offrir un legato émerveillé et filer des volutes d’extase enivrées. »

 

 

La Nostalgie d’Arabella  – Jean Barraqué

Festival Présences – Radio France – 3 février 2021

Forumopera.com –   09/02/21 –   Alexandre Jamar

« Dans ce monologue d’une énergie délirante, qui n’est pas sans rappeler la « pitoyable aventure » chez Ravel,  Isabelle Druet  jongle avec les humeurs les plus variées. Tantôt désespérée, amusée, en colère ou vulgaire, elle profite de chaque rupture dans le discours pour mieux nous faire aimer la pièce. Son mezzo brillant et fruité sied admirablement à la partition. »

Anaclase.com – 03/02/21 – Laurent Bergnach

« Le 8 mars 1949, à 3h25, Jean Barraqué achève (…) La nostalgie d’Arabella, sorte d’oratorio pour voix, trompette, piano et trois percussions, aux accents de Stravinsky et Bartók. Habituée à servir les mots en petite formation, Isabelle Druet se révèle particulièrement en forme dans cette œuvre loufoque qui depuis soixante-dix ans attendait d’emplir l’espace. »

 

Il fait novembre en mon âme – El Khoury

Philharmonie de Paris – 10 novembre 2020

Lorientlejour.com –   14/11/20 –  Zeina Saleh Kayali

« Vers la fin de la pièce, la voix de la mezzo-soprano, lancinante, émerge de l’orchestre comme une prière sans paroles, supplique d’une grande douceur superbement restituée par le timbre chaud et sombre d’Isabelle Druet« 

 

SHÉHÉRAZADE de Ravel avec Les Siècles

Philharmonie de Paris – Novembre 2019

Classique c’est cool – 29/11/2019 – Hugues Rameau Crays

« L’orchestre sait néanmoins se faire charmeur surtout dans Shéhérazade que l’on a rarement entendu interpréter de la sorte. Complice, la mezzo Isabelle Druet partage à l’évidence la vision inédite du chef. Dans Asie, le poème de Tristan Klingsor est raconté de l’extérieur contrairement à l’usage qui veut que les chanteuses au regard évaporé ânonnent leur texte comme une réminiscence.   La belle Isabelle (admirablement vêtue d’une robe bleue nuit) à la diction exemplaire raconte une histoire qu’elle construit sous nos yeux comme Shéhérazade. Et surprise, après le fameux aigu (impeccable) sur le « haine » un basculement s’opère dans le regard devenu vague où l’on comprend alors qu’elle a vécu toutes ces choses. Du très grand art ! L’actrice fait corps avec la musique de La Flûte enchantée et de L’indifférent incarnés avec une rare intelligence. Le chef sait comme personne faire dialoguer l’orchestre avec son artiste (comme dans les quatre derniers Lieder en octobre dernier) et livre avec Isabelle Druet une interprétation accomplie de Shéhérazade qui fera date.

ODB-Opéra –  26/11/2019 – Emmanuelle Pesqué
« Quant à Isabelle Druet, elle incarne littéralement les trois poèmes de Shéhérazade en conteuse enchanteresse, guidant l’auditeur dans les atmosphères de ces miniatures sophistiquées : mystère, sensualité et finesse sont les guides de ces récits. Diction superbe, jeu avec les couleurs de l’orchestre et théâtralité emportent l’adhésion et font voyager avec elle.»

Crescendo magasine – 09/12/2019- Pierre Carrive

« Pour le merveilleux triptyque Schéhérazade, Isabelle Druet entre sur la scène de la Philharmonie blanche et dorée avec une superbe robe bleue, qui est comme un costume de l’« immense oiseau de nuit dans le ciel d’or » d’ »Asie ». (…) Elle s’y montre une formidable conteuse, sachant passer, non sans ambiguïté, du mystère à l’humour, de la terreur à la nostalgie. Dans La Flûte enchantée, elle est toute en souplesse et en grâce, et la voix se fait plus claire. L’Indifférent est délicieusement troublant… Quelle diction, et surtout, quelle présence ! »

Toute la Culture.com –  04/12/2019 – Lise Lefebvre
«Shéhérazade a conclu la première partie, avec la voix d’Isabelle Druet. Sur des poèmes de Tristan Klingsor, où des échos de Baudelaire se font entendre, Ravel a tissé des mélodies qui dessinent un Orient fictif et fabuleux. Très expressive, la cantatrice a su entraîner la salle dans ce rêve esthétique, tout en maîtrisant les intervalles redoutables de la partition.»

Olyrix – 29/11/2019 –  Nicolas Mathieu

«  Vêtue d’une ample robe, la chanteuse s’avance sur scène et embrasse d’emblée la salle avec des « Asie » pleins d’un charme mystérieux sur des cordes caressées du bout de l’archet. La partition disposée sur le côté tient le rôle de mémo, laissant à la chanteuse l’espace pour un engagement théâtral apprécié et une verve narrative indéniable. (…) Les aigus resplendissent légers et sonores, en particulier dans la deuxième partie où ils se font ductiles et flottants en dialogue avec les mélopées de la flûte traversière (« L’ombre est douce et mon maître dort »). Les ornements qui ponctuent le discours, à l’instar des glissandi et de légers mouvements chantés avec du rubato (tel un bref épanchement) sont du plus bel effet et s’accordent à la grande sensualité de l’œuvre.»

TRITON dans CORONIS – Sebastian Durón

Théâtre de Caen – Novembre 2019

Forum opéra – 06/11/2019 – Jean-Marcel Humbert

«  La grande triomphatrice de la soirée est Isabelle Druet, Triton de haut vol, caractérisé tant par le jeu scénique et la voix chaude et expressive de son interprète, que par ses intonations allant du charme aux éclats les plus inquiétants. Tout cela se résume dans l’air plein d’émotion « Dites-moi plantes, fleurs, sources…, où est ma bienaimée ? », qu’enrhumé, le monstre maléfique chante ses pieds difformes plongés dans une bassine d’eau chaude. »

Opéra magazine – 12/2019 -François Lehel

« On est plus séduit encore par le Triton d’un extrême raffinement vocal d’Isabelle Druet, qui correspond à la touchante dimension d’humanité du personnage et atteint à la plus grande émotion dans sa défaite et sa mort, au II. »

WebThéâtre – 07/11/2019 – Christian Wasselin

« Sur scène, la distribution est faite essentiellement de voix féminines, parmi lesquelles on citera Isabelle Druet, irrésistible en Triton (elle qui fut la Cassandre de Berlioz en août dernier à La Côte-Saint-André !) »

Bachtrack – 12/11/2019 – Philippe Ramin

« [Coronis]répond aux moires sombres d’une Isabelle Druet tour à tour émouvante dans ses sublimes lamenti, inquiétante ou désespérée dans des récits superbement détaillés.»

Diapason –  14/11/2019 –  Loïc Chahine

« le velours d’Isabelle Druet, touchant Triton, sublime lors de sa (double) mort »

Der Neue Merker – Waldemar KAMER

«  Isabelle Druet, beaucoup plus expérimentée, interprète le rôle de Triton, jouant sans effort avec tous les registres de sa superbe voix. »

Le monde – 08/11/2019 – Marie-Aude Roux

« On comprend que pour elle, le Triton d’Isabelle Druet verse de bien belles larmes d’amour.»

La Croix – 08/11/2019 – Emmanuelle Giuliani

« Y brille Isabelle Druet, Triton ridicule mais si émouvant »

Toute la Culture  –  07/11/2019 – Yaël Hirsch

«  Coronis présente un duel de dieux amoureux avec une jolie économie de voix, presque toutes féminines et toutes très convaincantes (notamment Isabelle Druet en Triton).»

Classiquenews – 07/11/2019 –   Pedro octavio diaz

«  Isabelle Druet est un Triton émouvant et nous transporte avec ses médiums riches. C’est une soliste dont la voix est tout un théâtre, une de ces artistes qui peut offrir à tous ses rôles, le sens dramatiques le plus fort, l’émotion la plus précise. »

Concertclassic – 10/11/2019 – Pierre-René Serna

« Cette vie, cette expression transcendante parcourent tout autant le plateau vocal. […] et Isabelle Druet (Triton) expriment leur art d’une technique fermement projetée et de nuances finement distillées.»

Musicologie –  13/11/2019 – Alain Lambert

« Isabelle Druet un Triton tragique dans son amour impossible »

Ôlyrix – 07/11/2019 – Damien Dutilleul

« Isabelle Druet (Triton) couvre fortement sa voix de mezzo, lui conférant parfois les sonorités râpeuses d’un contre-ténor. Le vibrato est vigoureux, la voix ferme, la prononciation soignée. » 

REQUIEM – Duruflé

Maison de la Radio – Octobre 2019

Ôlyrix – 23/10/2019 –  Vojin Jaglicic

«Pie Jesu du Requiem (Duruflé) fait paraître la mezzo-soprano , Isabelle Druet, qui se présente par un timbre foncé mais tendre, tissant les fi nes et douces lignes mélodiques du chant grégorien. L’articulation du latin est respectable, l’élégance de son piano s’aligne avec le jeu intime de l’orgue.»

Bachtrack – 21/10/2019 – Apolline Gouzi

«Le solo du « Pie Jesus Domine », assuré par la mezzo-soprano Isabelle Druet, met en valeur toute la richesse du timbre de la chanteuse, qui se déploie d’un registre grave profond et chatoyant à des aigus cristallins. Le vibrato et les phrasés, parfaitement maîtrisés, s’accompagnent d’une élocution parfaite. »

 

CASSANDRE – LES TROYENS – Berlioz 

Festival Berlioz – Août 2019

Télérama –  29/08/19 –  Sophie Bourdais

«Cassandre phénoménale et bouleversante de la mezzo-soprano Isabelle Druet (ce rôle écrasant lui va comme un gant)  [ …]»

Classicagenda –  09/09/19 – Marc Portehaut 

«La Prise de Troie, [ …] toute en énergie et en sensibilité, a enthousiasmé le festival.  Isabelle Druet  a merveilleusement réussi sa prise de rôle d’une Cassandre en émotion et en finesse : elle a réellement incarné ce personnage, témoin halluciné de l’aveuglement des siens et annonciatrice des désastres à venir.»

ResMusica –  29/08/19 –  Michèle  Tosi

«Le premier acte est dominé par la personnalité de Cassandre, essayant en vain de prévenir les Troyens d’un drame imminent.. Sur la scène du Château Louis XI, la mezzo-soprano Isabelle Druet trouve la couleur,  les accents expressifs et l’envergure tragique d’un personnage qu’elle habite pleinement.»

Le Figaro –  Thierry Hillériteau

«Côté vocal, c’est surtout à la Cassandre d’Isabelle Druet que reviennent tous les honneurs. Totalement habitée, tragédienne absolue, se jouant de l’ambitus et de la puissance du rôle, elle porte l’épopée dramatique[ …] Une exécution accueillie par une standing ovation. »

ConcertClassic.com –  Pierre-René Serna
«Parmi ces solistes, Isabelle Druet offre une Cassandre d’envergure, dans une ligne de chant jamais prise en défaut (malgré un orchestre placé acoustiquement sur le même plan, comme nous disions) et une incarnation éminemment dramatique.[ …] Grand moment assurément de cette édition du Festival Berlioz que le public, lourd d’un silence attentif, reçoit au final d’une ovation triomphale debout. »

Diapason Magasine –  Gérard Pons

«Les premiers actes, qui forment un tout sous le titre de La Prise de Troie, auront été l’un des temps forts du Festival 2019, consacrant les ressources vocales (timbre et puissance) d’Isabelle Druet, tragédienne accomplie dans le rôle omniprésent de Cassandre.»

Ôlyrix –  28/08/19 –  José Pons

«Isabelle Druet prête ses authentiques moyens de mezzo-soprano au rôle crucial de Cassandre, lui conférant une grande dignité et une présence indéniable..»

CARMEN – rôle titre – Bizet

Opéra de Saint-Etienne – Juin 2019

Opéra Magazine – septembre 2019 – Patrice Henriot

«De bout en bout, la présence vocale et drammatique d‘Isabelle Druet s’impose dans le rôle-titre. Sa technique de la coloration, du parlando jamais exagéré au grand legato, signe une totale adéquation au personnage provocant, enjôleur toujours épris de dignité. La « Habanera », la « Séguedille », l’air « des cartes », l’affrontement final offrent des moments d’anthologie.»

Forum Opera – 17/06/2019 – Yvan Beuvard

«La distribution vocale, proche de l’idéal, nous vaut une Carmen subtile, puissante, dont l’évolution est parfaitement maîtrisée. La voix d’Isabelle Druet est somptueuse, le chant ample, timbre sombre aux graves capiteux, avec un soutien et des phrasés admirables.»

ResMusica –   Jean-Luc Clairet 

«Saint-Étienne invite Isabelle Druet à montrer de quel bois se chauffe sa Carmen déjà révélée à Metz en 2011, une Carmen qui prouve aujourd’hui qu’Isabelle Druet forme avec celles de Gaëlle Arquez et Stéphanie d’Oustrac un trio de Bohémiennes des plus excitants. On est saisi dès la carte de visite de « Quand je vous aimerai » : beauté gourmande de la ligne, galbe cuivré du grave de la dernière syllabe. Tout y est dit de la séduction stylistique de cette Carmen jamais vulgaire ni histrionique, qui jamais ne poitrinera, qu’on n’aura jamais envie de faire taire : d’une Habanera drôlissime à un Air des cartes hanté, quelle palette de jeu, quelle leçon de chant ! » (…) Florian Laconi a déjà occis plus d’une Carmen mais le chanteur, perceptiblement impressionné par sa partenaire, entame cette fois avec elle un dialogue qui les conduit l’un comme l’autre très loin dans leur art respectif. L’on n’est pas prêt d’oublier le stupéfiant finale du III, avec une Carmen au bord de la crise cardiaque.»

Ôlyrix – Pierre Géraudie

«La vedette du spectacle est la Carmen électrique et envoûtante d’Isabelle Druet. Si jamais l’attention ne diminue, c’est aussi très largement grâce au plateau vocal, entièrement francophone, et porté par la Carmen d’Isabelle Druet. La mezzo-soprano française apparaît totalement convaincante et investie dans ce rôle, se livrant sans aucune économie dans un jeu de scène servi par une énergie de tous les instants. Ensorcelante et manipulatrice à souhait, incandescente dans sa gestuelle comme dans ses regards (d’abord en chignon, les cheveux sont vite relâchés) cette Carmen fait voler la vaisselle dans la taverne de Lillas Pastia, et balance des seaux d’eau à la figure des soldats pour mieux les provoquer. Vocalement, Isabelle Druet use d’un timbre plein et vigoureux, aussi subtil et charmeur dans les aigus qu’autoritaire et volcanique dans les graves. Carmen sait se faire détester autant qu’aimer, et sa complicité avec les autres personnages fonctionne à plein, que ce soit avec ses deux amants, ou encore avec ses comparses Frasquita et Mercedes.»

Opéra Online  –  Emmanuel Andrieu

«Isabelle Druet et Florian Laconi, duo de choc dans Carmen à Saint-Etienne. […]Dans le rôle de la sulfureuse cigarière, Isabelle Druet s’avère d’une beauté vocale surprenante, et d’une personnalité attirante, comme on avait déjà pu s’en féliciter à l’écoute de sa Junon rhénane (dans Platée) ou plus dernièrement de sa Baba niçoise (The Rake’s progress). La mezzo française offre également une voix sonore, à la superbe projection, aux graves soutenus, au médium charnu et au phrasé remarquable. Par ailleurs formidable comédienne, la chanteuse capte également l’attention par son assurance et son aplomb scéniques : une Carmen sur laquelle il faut désormais compter !»

Baba the Turk dans THE RAKE’S PROGRESS – Stravinsky

Opéra de Nice – Février 2019

Ôlyrix.com – 02/03/2019 – Florence Lethurgez

«Baba la turque est une Barbe-Rousse chantée par la mezzo-soprano Isabelle Druet, qui arbore un long masque pileux. Elle a les dimensions vocales du rôle également, soumettant son organe charnu et ductile aux minauderies du caprice comme aux mures décisions d’actrice.»

Anaclase.com – 01/03/2019 – Irma Foletti

«…Isabelle Druet impose sa présence vocale en Baba The Turk….»

Opéra Online – 06/03/2019 – Emmanuel Andrieu

«On est heureux de retrouver Isabelle Druet dans la partie de Baba (rôle qu’elle avait déjà interprété à Limoges il y a deux ans), qui –  outre la beauté du chant -, s’avère être une comédienne de premier plan, dont réconfortent l’autorité et la justesse du jeu.»

Opéra Magazine – 01/03/2019 – François Lehel

«Isabelle Druet (déjà dans la production de Caen, en 2016) s’impose décidément comme une Baba magistrale, souveraine d’autorité, drôle mais jamais caricaturale, et qui sait sans hiatus déployer un coeur généreux.»

TISBÉ dans CENERENTOLA – Rossini

Palais Garnier, Paris – Novembre/Décembre 2018

Artistikrezo.com  –  26/11/2018  –  Hélène Kuttner

«Chiara Skerath et Isabelle Druet, en robe blanche de gamines gâtées, sont impayables de perversité et de méchanceté.»

Forumopéra.com  –  23/11/2018  –  Christian Peter

«Rescapées de la distribution d’origine, Chiara Skerath et Isabelle Druet sont épatantes en sœurs méchantes qu’elles incarnent avec des voix solides»

CD – L’EUROPE GALANTE

Château de Versailles spectacles 

Septembre 2018

Forumopera.com –  19/10/2018 –  Clément Demeure

«Isabelle Druet a déjà laissé au disque une bien belle Clorinde dans le Tancrède du même Campra. Elle place ici la barre très haut : riche d’un bas-dessus homogène, elle offre à la Discorde l’entrée pompeuse que lui refuse l’orchestre et marque l’acte turc de sa remarquable éloquence.»

ResMusica.com – 10/12/2018 –  Jean-Luc Clairet

«Isabelle Druet s’empare magistralement de toutes ses interventions avec la science que l’on avait louée dans sa magnifique Clorinde d’un récent Tancrède

ClassiqueNews.com – 16/12/2018 –  Ernst Van Bek

«La Turquie, s’ouvre en chaconne sombre et presque mélancolique sur le lamento qui montre l’impuissance de Zaide (somptueux mezzo intelligible d’Isabelle Druet). C’est l’un des épisodes les mieux incarnés : verbe clair et naturel, orchestre souple et onctueux même. Du grand art.»

Avant-scène opéra – 29/11/2018 –  Olivier Rouvière 

«Bravo à Isabelle Druet, Discorde idéalement tranchante et Doris bouleversante.»

Ôlyrix.com – 17/11/2018 –  Charles Arden

«Complétant à merveille le trio féminin dans un registre tout autre et non moins puissant, le personnage de la Discorde se lit sur le faciès de la mezzo-soprano Isabelle Druet. Son visage est un opéra, se tordant de menace, de douleur, comme d’un rire sardonique. Avec le visage, s’harmonise un corps serpentin, ployant pour bondir en diablotin, se cachant derrière un pilier pour courir à l’avant-scène (tout en maîtrisant ses accents lyriques). Discorde finira en séductrice mutine, emportant avec elle la pointe acide de son premier personnage.»

RECITAL « Au Pays où se fait la guerre »

Festival Palazzetto Bru Zane / Bouffes-du-Nord Paris – Juin 2018

Olyrix – Juin 2018  –  Charles Arden

«L’héroïne de la soirée, la mezzo-soprano Isabelle Druet, entre alors dans une belle robe automne avec un képi kaki sur la tête  et elle offre un air de circonstance (tout le programme de la soirée est « de circonstance ») : La  Grande-duchesse de Gérolstein (1867) d’Offenbach qui chante « Vous aimez le danger, Le péril  vous attire, Et vous ferez votre devoir; Vous partirez demain, Et moi, je viens vous dire, Non  pas adieu, mais au revoir ! » L’interprétation est également parfaitement de circonstance : la chanteuse s’appesantit sur les consonnes, enchaîne les accents martiaux, les langoureux  mezza voce (accompagnés d’un ballet de sourcils frondeurs ou mutins). Une interprétation  renforcée par les qualités d’actrice d’Isabelle Druet, qui s’est d’abord formée au théâtre, cela se voit, cela se déguste ! Cela donne très envie de la voir dans ses prochains rôles.»

L’Heure espagnole / Gianni Schicchi

Opéra Bastille – Mai 2018

ForumOpéra – Mai 2018 –  Christian Peter

«Les autres rôles secondaires  n’appellent que des éloges, citons l’excellent Simone de Maurizio Muraro, Emmanuelle  de  Negri et Isabelle Druet, respectivement Nella et la Ciesca, tour à tour hargneuses envieuses.»

RECITAL Ives/Berberian

Printemps des arts de Monte Carlo – Mars 2018

Nice Matin – Mars 2018 –  André Peyregne 

«Et l’on  put entendre une guirlande de mélodies subtiles de ce  compositeur interprétées avec une précision parfaite par la  chanteuse Isabelle Druet

Annina dans LA TRAVIATA – Verdi

Opéra Bastille – Février 2018

Olyrix –  Février 2018 –  José Pons

«Belle satisfaction par contre pour les seconds rôles que ce soit l’Anina à la voix assurée et  chatoyante d’Isabelle Druet»

Resmusica – Février 2018 –  Steeve Boscardin

«[…] il semble juste de souligner la qualité des comprimari de très grand luxe proposés par l’Opéra de Paris : l’Annina d’Isabelle Druet et le  Grenvil de Tomislav Lavoie sont tous deux très émouvants et sortent leurs rôles du simple faire-valoir, avec des interventions  toujours très incarnées  et bien chantantes.»

CONCERT avec l’Orchestre de la Garde Republicaine

Eglise Saint-Louis des Invalides – Décembre 2017

Le Monde – 13/12/17 – Pierre Gervasoni

«La voix féminine arrive enfin avec Isabelle Druet. Celle-ci met le feu aux poudres avec une interprétation irrésistible de la Habanera de Carmen. Lorsque, roulant les « r » autant que les yeux, elle chante « Si tu ne m’aimes pas, je t’aime », chaque homme, militaire ou non, désire en prendre pour son grade !

Offenbach, le vrai, celui de l’opéra-bouffe, revient à la charge avec une sélection de ses plus réjouissants solos. Isabelle Druet enfile une veste de circonstance, étoffe noire et boutons argentés, pour interpréter l’air « Je suis veuve d’un colonel », extrait de La Vie parisienne. Actrice hors pair, entre théâtre de boulevard et attraction de cabaret, elle multiplie les mimiques qui font mouche sans jamais se départir d’une expression vocale tutoyant des sommets d’art lyrique. Bien que réduite à un mètre carré, l’estrade sur laquelle elle chante semble aussi étendue que le plateau d’un grand opéra.

Après une incursion dans le répertoire de Gaetano Donizetti (La  Fille du régiment), elle revient à deux Offenbach des plus appropriés, tirés l’un et l’autre de La Grande-Duchesse de Gérolstein. Avec des « s » d’une sensualité équivoque et des aigus lancés comme des boulets de canon, le fameux   Air du sabre  est de nature à damner plus d’un soldat dans l’église qui leur tint lieu de chapelle… Quant au numéro suivant, entonné en pointant du doigt quelques heureux élus, il parle de lui-même. « Ah que j’aime les militaires ! », s’exclame la mezzo au timbre cuivré, et ceux-ci le lui rendent bien. Deux généraux en uniforme, dont celui qui dirige les Invalides, se précipitent sur elle et lui font fête. Sans se soucier du protocole.»

Classique-c-cool – 19/12/17 – Hugues Ramea-Rays

«La suite de ce concert a été largement dominée par la performance de la mezzo Isabelle Druet qui a effectué un véritable hold-up . Dans les extraits d’Offenbach ou de la Carmen de Bizet, elle s’ est montrée canaille tout en affichant une très grande classe. En interprétant « Je suis veuve d’ un colonel» ou « Ah ! que j’aime les militaires » devant un parterre concerné (avec la présence dans le public de quelques gradés de l’Armée) , elle a emporté une adhésion immédiate . Il faut dire que son jeu d’ actrice très naturel est un vrai régaL
Plus remarquable encore, la diction de cette jeune artiste est en tout point exemplaire. L’on ne perd pas un mot dans les tirades en mitraillette d’ Offenbach . Le seul regret serait la brièveté de ce concert  d’après-midi où le temps est passé beaucoup trop vite …
Espérons que ces extraits bien choisis soient comme un prélude à ce que l’on pourrait retrouver sur scène, la relève de Felicity Lott dans ce répertoire étant assurée.»

Culture Box – 18/12/17-  Bertrand Renard

«Isabelle Druet, parfaite Carmen…»
«Isabelle Druet, dans une jolie robe gitane aux tons tabac (référence à Carmen) chante de sa belle voix de mezzo, parfaitement égale sur toute la tessiture, aigus éclatants compris, « L’amour est enfant de Bohème »: chic, diction parfaite, ligne de chant, art du mot. Il y aura aussi (..) trois Offenbach, dont « Je suis veuve d’un colonel » de « La vie parisienne » où les ruptures de tons font leur effet comique car Druet est aussi une comédienne éprouvée.
(…) Quand elle chante (parfaitement) « Ah! que j’aime les militaires! », Druet, très intelligemment, nous montre d’abord une femme qui ne voit que le prestige de l’uniforme (dont les hommes, moustache avantageuse et taille bien prise, savaient jouer également) se rêver, comme une midinette, en cantinière, pour se demander enfin, lucide pendant quelques secondes, « cela me plairait-il, la guerre? »: et là, la cantatrice fait magnifiquement sonner la phrase pour nous rendre cette inconscience encore plus sensible.»

Zaïde, Doris et la Discorde dans L’EUROPE GALANTE – Campra

Opéra royal de Versailles – Les Nouveaux Caractères, direction Sébastien d’Hérin – Novembre 2017

Forum Opera  – 16/11/17 – Guillaume Saintagne

«L’étoile de la soirée, c’est comme souvent   Isabelle Druet : même lorsqu’elle ne chante pas, elle capte l’attention (les grimaces de la Discorde, l’embuscade de Doris), et dès qu’elle ouvre la bouche, c’est l’évidence même de tout ce répertoire. Diseuse impayable, évoluant avec virtuosité sur la frontière entre le parlé et le chanté, sachant aussi bien donner dans le grotesque qu’émouvoir par la sincérité de sa tristesse amoureuse. Celle qui n’était que Zaïde sur cette même scène en 2005 devient ce soir la reine des métamorphoses.»

DANZA!   Récital espagnol avec le Poème Harmonique

Tournée aux USA et Québec – Novembre 2017

Le Devoir – 08/11/17 – Christophe Huss

«Le spectacle, que les mélomanes de Québec ne doivent pas manquer ce soir, tient véritablement sur les épaules de la chanteuse Isabelle Druet, parfaite, tant en expression qu’en volume et en inflexions. Elle vit avec intensité les mélodies reconstituées de ces chansons populaires de jadis.»

Le Devoir – 09/11/17 – Odile Tremblay

«Ai-je dit que la qualité de leur prestation, avec spécialité de chant baroque, était acclamée dans toute l’Europe ? Quant à leur mezzo-soprano, elle possède une voix si belle, si riche et si unique que, dès les deux premières notes sorties de sa bouche, on se dit : « C’est elle ! » : Isabelle Druet

CD – LA SADMP – Louis Beyds

Label Klarthe – Orchestre d’Avignon, direction Samuel Jean – 2017

Le Babillard –   07/10/2017 –   Loïc Chahine

«de personnalité, Isabelle Druet n’en manque pas, et voici qu’après une vive Concepcion de L’Heure espagnole elle prête sa voix à un autre personnage de femme aussi envoûtante que volage. Isabelle Druet articule à merveille et excelle à ce style de chant qui oscille entre le parlé et le chanté — et emploie les nuances qui font un continuum de l’un à l’autre. Elle sait également tantôt se parer de couleurs diaphanes, un rien sucrées (par exemple au tout début de l’air « Les cartes à jouer »), tantôt épicer la voix qui a gardé cette légère pointe d’acidité citronnée qui fait partie de la personnalité vocale de la chanteuse — et qu’on aime bien, car elle n’a rien d’agressif»

Classica – Septembre 2017 –  Cristiana Prerio  (récompense – 3 étoiles)

«Musicalement, l’essentiel de la partition et l’impact comique de la pièce reposent sur le personnage féminin. Isabelle Druet est d’ailleurs excellente à tous points de vue, en belle forme vocale et scénique et ses moyens musicaux sont incontestablement plus solides que ceux de la créatrice.»
Diapason – Septembre 2017 – François Laurent (récompense – 5 diapasons)

«Plutôt que de se battre, les quatre soupirants d’une demi-mondaine (…) s’associent pour subvenir à ses besoins, « au prorata » des jours de la semaine que leur assignera la belle. Cette dernière est, au fond, une cousine parisienne et pragmatique de Concepcion, la piaffante horlogère de l‘Heure espagnole qu’Isabelle Druet incarnait déjà avec bonheur (Naxos, cf. N°645). Car la Mezzo ne manque ni de piquant ni de séductions pour mettre ses pas dans ceux d’Yvonne Printemps, pour qui le rôle fut taillé. Il n’y a qu’à l’entendre lancer « ça va manquer de cocus », en détachant chaque syllabe avec le sourire. Son air des cartes de visite, où le petite orchestre gouailleur croque ces messieurs tandis qu’elle lit les bristols, la scène des enchères, qu’elle fait monter en ponctuant les échanges de ses « la vie est chère ! », sont réglés en orfèvres par la baguette de Samuel Jean.»

Vaucluse hebdo  – Août 2017

«Opéra-bouffe interprété avec fougue par Isabelle Druet qui chante « Elle », entourée par Jérôme Billy,  Mathias Vidal, Dominique Côté et Thomas Dolié, tous parfaits»

ForumOpéra.com – 20/07/17 – Laurent Bury (récompense – 3 coeurs)

«Plus canaille que coquette, Isabelle Druet est « Elle », alias Germaine, sans chercher le moins du monde à être Yvonne Printemps. Son excellente diction et les couleurs sensuelles de son timbre de mezzo contribuent grandement à cette incarnation. Et pour ce rôle-là, contrairement à celui de l’héroïne de L’Amour masqué, le chant compte au moins autant que le théâtre.»

Classiquenews.com – 10/06/17 – Hugo Papbst

«La présente production sélectionne le meilleur, plutôt très bien chantant, comptant sur une distribution idéale, regroupant les meilleurs talents lyriques de la jeune génération : Isabelle Druet (Elle), Mathias Vidal (Le Gros Commerçant), Jérome Billy (Henri), Thomas Dolié (Le Conte Agénor de Machinski) et Dominique Côté (Le Grand Industriel). Chacun cisèle son caractère tout en se jouant du verbe poétique dramatique allusif. Y éblouit l’esprit à la fois cynique et tendre d’un Guitry, grand connaisseur et analyste de l’âme humaine.»

Le Monde  –   06/06/17 –   Pierre Gervasoni

«Nul besoin de support visuel, la distribution (…) brûle les planches… du studio»

TISBE dans CENERENTOLA – Rossini

Opéra de Paris – mise en scène Laurent Pelly, direction Maxime Pascal – Juin 2017

Télérama – 20/06/17 – Sophie Bourdais

«Et l’on se régale de la façon dont  Isabelle Druet   (Tisbé), au mezzo corsé, et Chiara Skerath (Clorinda), à l’élégant soprano, s’amusent à caractériser et différencier les deux pestes»

Opéra Online – 25/06/17 – Alain Duault

«Isabelle Druet, beau timbre profond qui trouve en Tisbé de quoi marquer son passage.»

Anaclase –  10/06/17 –  Michel Slama

«Les excellentes Chiara Skerath en Clorinda et Isabelle Druet en Tisbe lui volent la vedette par leur abattage et leur jeu aiguisé.»

Le Figaro – 16/06/17 – Christian Merlin

«Deux contributions savoureuses: les sœurs très caractérisées de Chiara Skerath et Isabelle Druet

Artstikrezo – 18/06/17 – Hélène Kuttner

«Les deux soeurs, Clorinda (Chiara Skerath) et Tisbe (Isabelle Druet) rivalisent de perfidie et de piquant dans des robes blanches style poupée Barbie, voix et projection parfaites avec carabine à l’épaule pour chasser leur rivales.»

CD – Waiting for Clara

Label NoMadMusic

2017

Forumopera.com – 17/05/2017 – Isabelle Druet, muse brahmsienne – Laurent    Bury

«Et, pour trois plages brahmsiennes, dont le célébrissime Wiegenlied, par Isabelle Druet, qui chante avec beaucoup d’élégance et de sensibilité les deux Lieder op. 91, comme pour donner une voix à celle qui fut l’inspiratrice des deux autres compositeurs tout en étant elle-même une compositrice à part entière, comme le prouvent ses Trois romances op. 22 où le violon et le piano sont ici remplacés par la clarinette. Après la brillante réussite de son disque Shakespeare, la mezzo continue son sans faute chez NoMadMusic, et l’on guette avec impatience un prochain récital où elle sera davantage qu’une guest-star.»

Musikzen – 11/05/17 –  François Lafon

«Julien Hervé s’est entouré de trois fleurons – comme lui – de l’actuelle école française pour composer ce programme chambriste. (…) Comme Julien Hervé dispose d’une large palette expressive, que la mezzo Isabelle Druet confirme ses affinités avec ce répertoire et que leurs camarades sont des partenaires de luxe, tout cela s’écoute avec plaisir, même la délectation suprême est réservée à ceux qui connaissent les versions originales de ces chefs-d’œuvre.»

Le Babillard – 05/05/17 – Loïc Chahine

«En guise de guest star, Isabelle Druet s’invite pour les deux Gesänge de Brahms, (…) le langage semble s’allonger dans un apaisement auquel la chanteuse offre un timbre riche, très nettement caractérisé, et des accents subtils.»

Louis le Classique/ Paperblog -24/04/17 –  Nicolas Bourry-Jarsky

«Enfin bien sûr, c’est la grande qualité de jeu qui nous interpelle. Élégant, sobre, rafraîchissant, on prend un grand plaisir à écouter cet enregistrement que ce soit pour les œuvres des Schumann ou de Brahms. Une grande mention spéciale pour les interprétations d’Isabelle Druet dont la clareté de timbre et la finesse d’interprétation nous ravissent.»

Melanto et Fortuna dans IL RITORNO D’ULISSE – Monteverdi

Théâtre des Champs Elysées – mise en scène Mariame Clément, direction Emmanuelle Haïm – Février 2017

Libération – Guillaume Tion

«Le reste de la distribution, emballé par la mezzo tchèque Magdalena Kozenâ, est impec, avec une prime volage au duo Isabelle Druet– Emiliano Gonzalez Toro.»

Dipason – 07/03/17  – Luca Dupont Spirio

«Plateau luxueux, on l’aura compris, jusqu’au couple ancillaire formé par Isabelle Druet et Emiliano Gonzalez Toro»

Opéra point – 02/03/17 – Alexander Jordis-Lohausen

«Das Paar Isabelle Druet (Melanto) und Emiliano Gonzalez Toro (Eurimaco), lüstern-verspielt und stimmlich erfreulich in Duri e penosi son gli amorosi (1. Akt, 2. Szene) – harte Drangsal sind der Liebe wilde Triebe.»

ForumOpera – 28/02/17 – Laurent Bury

«Isabelle Druet   n’est que splendeur et sensualité en Mélantho»

Ôlyrix – Damien Dutilleul

«Isabelle Druet chante la servante Mélantho (ainsi que la Fortune) : sa voix ronde émise depuis la poitrine reste droite lorsqu’elle tient ses notes, avant une résolution intensifiée par un vibrato mutin. Très à l’aise dans le jeu, elle offre à son personnage un éclat qui lui vaut des applaudissements nourris au moment des saluts.(…) Le duo des deux amants reste l’un des beaux moments de la soirée, leurs voix se mariant en timbre et en nuance, exprimant un amour mutuel et ardent.»

Ma Culture – Yannick Bezin

«Coté humain, la performance du duo Mélantho et Eurymaque, incarnés par Isabelle Druet et Emiliano Gonzalez Toro, est à relever par sa justesse et l’harmonie parfaite des voix. (…) La fraîcheur, la maîtrise et la beauté de ces voix conduit à imaginer une redistribution des rôles, car ce sont elles qui parviennent à rendre cette production agréable malgré les surprises qui ne cessent de surgir sur le plateau.»

Resmusica – Charlotte Saulneron-Saadou

«Mais pour les seconds rôles, le reste de la distribution vocale est presque indécente. La talentueuse Isabelle Druet dans le rôle de La Fortune et Mélantho : sérieusement ? Son timbre joliment cuivré et son jeu plein d’élégance n’ont pas été éprouvés un seul instant, accompagnés d’une main de maître par un partenaire tout aussi exaltant en la personne d’Emiliano Gonzalez Toro.»

Wanderer – Michel Parouty

«Le couple Melanto / Eurimaco ne pouvait espérer meilleurs interprètes qu’Isabelle Druet et Emiliano Gonzalez Toro, musicalement impeccables et très drôles…»

Classicagenda – Cinzia Rota

«Emiliano Gonzalez Toro (Eurymaque) nous offre des duos comiques convaincants avec Isabelle Druet (Mélantho), chanteuse-comédienne hors-pair, dont la présence assurée remplit l’espace. Le timbre limpide de cette dernière se marie parfaitement avec celui, sombre et velouté de Magdalena Kožená.»

’Avant-scène  –  Chantal Cazaux

«Isabelle Druet explose en Mélantho gourmande de sexe et généreuse de voix.»

CD – SHÉHÉRAZADE – RAVEL

Naxos – Orchestre  national de Lyon, direction Leonard Slatkin – Janvier 2017

Resmusica – 20/09/2017 – Jean-Luc Caron

«La présente exécution rassemble des intervenants de haute qualité.(…) L’excellence des pupitres de l’Orchestre national de Lyon se confirme une fois encore et la direction experte de Leonard Slatkin exacerbe les forces en présence, l’orchestre bien sûr, mais aussi la diction parfaite d’André Dussollier et dans Shéhérazade, la voix chatoyante  de la mezzo-soprano française Isabelle Druet

Crescendo magasine – 08/05/2017 – Jean-Pierre Tribot

«En complément, l’Orchestre National de Lyon accompagne la jeune mezzo-soprano Isabelle Druet dans Shéhérazade de Ravel. La chanteuse est, comme toujours exemplaire, de justesse stylistique et de musicalité. L’Orchestre se montre un accompagnateur à la subtilité de la touche impressionniste.»

« En Piste! » – France Musique –   02/05/17 –   Elodie Murera

«Shéhérazade interprétée par Isabelle Druet, la mezzo du moment.
Pour ma part, elle me convainc à chaque fois, j’aime son timbre rond et chaud sa diction impeccable et je comprends, qu’elle soit de toutes les productions!»

Baba the Turk dans THE RAKE’S PROGRESS – Stravinsky

Théâtre de Caen – Mise en scène David Bobée, direction Jean Deroyer – Novembre 2016

La lettre du Musicien – 14/12/16 – Jacques Bonnaure

«Isabelle Druet, la seule francophone du plateau a campé une Baba hors du commun, virtuose vocalement, brillante scéniquement et sans aucune vulgarité.»

Scèneweb.fr – 18/11/2016 – Christophe Candoni

«En starlette à paparazzi, la Baba d’Isabelle Druet éblouit.»

Théatre en Normandie – François Vicaire

«Dans la distribution, Isabelle Druet campe avec intelligence une Baba la turque au timbre très séduisant.»

Olyrix – 07/11/2016 – Damien Dutilleul

«Isabelle Druet interprète Baba la Turque avec une prosodie soigneusement travaillée ainsi que les graves enjôleurs et les aigus charnus.»

ForumOpera.com – 04/11/16 – The Rake’s Progress – Laurent Bury 

«Pour cette prise de rôle qu’elle nous avait annoncée en interview il y a deux ans, et même privée de barbe, Isabelle Druet fait valoir les graves somptueux d’une voix en parfaite adéquation avec les exigences de la partition. Quant à l’actrice, elle met à merveille en évidence le côté humain de celle qui n’est d’abord qu’une caricature : se dépouillant de son manteau bigarré, de son chasse-mouche, de ses bijoux et enfin de sa perruque, la mezzo donne vie à son personnage et rend crédible sa conversion en adjuvante qui incite Anne Trulove à rejoindre son bien-aimé.»

CD – SHAKESPEARE SONGS

Label NoMad Music – avec Anne Le Bozec au piano – 2016

Le Babillard – 11/02/17 –  Loïc Chahine

«Le timbre, riche, généreux, chatoyant, est exempt de toute dureté, et se colore : Dès « Seals of Love » de Castelnuovo-Tedesco, la mezzo- soprano démontre qu’elle sait apporter mille inflexions à son chant pour le mettre au service de la musique et du texte. On appréciera encore le goût évident du théâtre qui ne vire jamais à l’histrionisme, comme le prouve un « When Birds Do Sing » de Korngold très classe. La mélancolie n’est pas absente non plus, souvent servie par un allègement de la voix, sans jamais détimbrer pour autant. Bref, Isabelle Druet sait ce qu’elle fait, elle le fait bien, jamais trop ni trop peu : l’on découvre ici, après la tragédienne entendue chez Lully, la comédienne que dévoilait, par exemple, L’Heure espagnole, une grande mélodiste.»

Utmisol – Christophe Bernard

«Isabelle DRUET est tout simplement remarquable dans ce répertoire varié et exigeant, passant avec aisance de l’anglais au français, de l’allemand au finnois. Sa superbe voix de mezzo-soprano au timbre chaud et généreux vous séduit dès les premières notes.
Invitation à la découverte de tous ces personnages, tristes ou drôles, amoureux ou haineux, désespérés et parfois fous, elle sait vous raconter, avec intelligence et conviction, les histoires bien souvent tragiques de ces héroïnes shakespeariennes, de la folie d’Ophélie au désespoir de Desdemone. Jouant de tous les registres de sa voix aux couleurs multiples, elle vous fait passer ainsi d’une atmosphère à une autre, et ne vous lâche plus. Quel talent!
L’accompagnement d’Anne Le Bozec est du même tonneau, déroulant au piano dans un jeu limpide de bien belles partitions, en complicité parfaite avec notre mezzo-soprano. L’équilibre entre piano et voix est plus que parfait, il est magique.
Vous l’aurez compris, rien n’est ici laissé au hasard et le résultat est un pur bonheur!»

FranceMusique.fr – 16/12/16 – Coup de coeur pour le « Shakespeare Songs » d’Isabelle Druet – Emilie Munera 

«Isabelle Druet passe de l’allemand au français, de l’anglais au finnois avec une aisance qui force l’admiration. Des mélodies les plus exaltées aux lieder les plus murmurés, elle nous raconte avec passion et engagement l’histoire de ces héroïnes tragiques.»

ForumOpera.com – 06/12/16 – Well done Will  ! – Laurent Bury 

«A séduire, Isabelle Druet y parvient aussi grâce à la beauté d’un timbre chaud et plein, dont elle semble pouvoir à volonté modifier les couleurs : écoutez le premier des deux Sibelius, on croit tout à coup entendre une autre voix. Outre le français, la chanteuse s’exprime ici en anglais, bien sûr, mais aussi en allemand et, on l’a dit, en suédois. L’intelligence de l’interprète lui permet de s’investir avec une aisance égale dans ces différentes langues et de varier les climats autant que le texte et la partition l’exigent.»

CD – MUSES

Label Klarthe, Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, direction JF Verdier

2016

Diapason –  Septembre  2017 – Hélène Cao

«On ne peut qu’admirer la voix ample et homogène, aux superbes reflets ambrés. C’est un plaisir d’entendre une Française interpréter du Lied avec autant de sensibilité, phraser avec cette ductilité qui lui permet de laisser mourir à fleur de lèvres « lächelte mein Mund » à la fin du cinquième Lied de Zemlinsky.»

Classicnews –   Septembre  2017 – Hugo Papbst

«La voix d’Isabelle Druet habitée, subtile ambassadrice des tensions implicites instille dans cette tétralogie poétique, couleurs et éclats qui valent pépites au sein d’une série de tableaux émotionnels, à la fois tragiques, enchantés, où le mystère pèse aussi à chaque vers.(…)
Le velours de la mezzo éclaire chaque épisode d’une couleur humaine que les textes d’inspiration médiévale et symboliste tendent à diluer.
(…) La brillance et la sensibilité de la diseuse Druet se manifestent clairement et dans la finesse des couleurs, comme dans la maîtrise de l’allemand. Suavité mystérieuse, langueur extatique, nostalgie empoisonnée… toutes les nuances de la passion et du désir féminin sont incarnées par une cantatrice maîtresse de ses moyens, douée d’une irrésistible plasticité vocale.»

Forum Opéra – 18/10/2016 – Laurent Bury

«Isabelle Druet chante fort bien les mélodies réunies sur ce disque, son timbre correspond parfaitement à ce qu’exigent les différentes partitions, et c’est une excellente chose que notre compatriote puisse sortir du strict cadre du récital voix et piano pour aborder un exercice d’une autre dimension.»

Resmusica –  17/09/2016 – Jean-Luc Clairet

«Le somptueux mezzo déjà mahlérien d’Isabelle Druet. (…)»
«Sublime Morgen où cantatrice magnétique et orchestre en état de grâce atteignent l’apesanteur face à un public qui retient son souffle. Un Voi che sapete des plus mutins permet à Isabelle Druet de rappeler la facétie millimétrée de sa nature mais aussi de constater que sa voix, au-delà de cet impeccable Chérubin, appelle déjà Brangäne.  Un triomphe des plus mérités est fait à la jeune chanteuse qui, bien que résidant à Besançon, fait enfin ce jour ses débuts au festival.»

5 croches de  Pizzicato –  Remy Franck – (traduit de l’allemand)

«Un CD extraordinaire! Dans les lieder d’Alma Mahler, non seulement la mezzo-soprano Isabelle Druet prouve son talent, avec une voix expressive, mais également l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté. (…) Isabelle Druet se révèle à nouveau une magnifique interprète avec de superbes couleurs vocales et une parfaite articulation du texte, qui fait entendre avec beaucoup de naturel l’émotion contenue dans la musique.»

Récital SHAKESPEARE SONGS 

Théâtre Ledoux  – Besançon – 19 Mai 2016

« […]  Isabelle Druet (on sait de quelles Nuits d’été elle est capable !) : prononciation à damner une Régine Crespin, haute maîtrise de l’ambitus (chuchotement compris), d’un timbre naturel et sans affectation, aucun son auquel ne soit donné un sens, bref l’art d’une diva discrète mais déjà sûre de ses effets, surfant sur tous les affects, de la déréliction au clin d’œil leste. Anne le Bozec est sur les mêmes sommets interprétatifs. Son piano produit un son clair et parfaitement délié, déroule un sous-texte faisant jeu égal avec la ligne vocale. Si la chanteuse fait manifestement ce qu’elle veut de sa voix, la pianiste fait ce qu’elle veut de ses doigts. L’évidence de leur complicité saute aux yeux comme aux oreilles.»

Clorinde dans TANCREDE- Campra

Opéra royal de Versailles – Avril 2016

La lettre du musicien –   Avril 2016 –   Clément Rochefort

«On saluera une distribution plutôt bonne et très équilibrée, dont on distinguera la superbe Clorinde d’Isabelle Druet : intense, émouvante, ne craignant pas de frôler furtivement le parlando quand l’excès dramatique le réclame.»

CD – L’HEURE ESPAGNOLE – RAVEL

Label Naxos – Avril 2016

Diapason  –   Avril 2016 –   François Laurent

«La Conception très incarnée d’Isabelle Druet, applaudie hier en Carmen ou chez Lully (Cadmus et Hermione), nous y épate d’un bout à l’autre. La mezzo se double d’une vraie comédienne, tantôt ardente et sensuelle, sournoise ou paniquée, et son verbe effilé fait merveille dans les apartés. […] Isabelle Druet, qui à elle seule vaut le détour.»

Res Musica –   23/03/2016 –   Joseph Thirouin

Druet et Barrard au sommet : « Isabelle Druet, qui campe une Concepción envoûtante. Servie par sa diction d’une précision sans égale, elle décline les émotions avec brio; les inflexions de sa voix toujours très pure sont assez outrées pour être drôles, et assez élégantes pour être pénétrantes.»

Artalinna – 18/03/16 – Jean-Charles Hoffelé

«Lorsque Ravel vint surveiller le premier enregistrement de son Heure espagnole, confié en 1929 à la baguette experte de Georges Truc, il fut un rien marri de trouver Jeanne Krieger s’essayant à Concepcion, alors qu’il rêvait de Fanny Heldy qui à l’Opéra Comique avait mené son monde à la cravache et l’œuvre au succès. Je suis certain qu’il aurait adoré Isabelle Druet : le charme de Denise Duval, le caractère de Jane Berbié, et dans la voix l’énergie dominatrice de Fanny Heldy. Comparer leur « Ah ! la pitoyable aventure » s’avère riche d’enseignements.»

Voix des Arts – 23/02/16 –  Joseph Newsome

«Assigned by Ravel to a soprano, Concepción is sung in this performance by mezzo-soprano Isabelle Druet with the velvet-throated sass of the young Giulietta Simionato. [Did someone mention Falcons?] She toys with Ramiro with her Carmen-esque ‘Il reste, voilà bien ma chance!’ in Scene Three, but her seductive greeting to the poetry-spouting student Gonzalve in Scene Four, ‘Il était temps, voici Gonzalve,’ falls on deaf-by-distraction ears:  (…) Indeed, Druet has at her disposal complete security throughout the full compass of the voice of which many spintos and dramatic sopranos should rightly be envious. Druet confirms with her incandescent top B that, in the wake of so much mayhem, Concepción retains the upper hand over her band of hombres.»

LE MIROIR DE JESUS – Caplet

Metz – Novembre 2015

01/12/15 – Jean-Pierre Pister

«Chaque poème est chanté en soliste par la mezzo-soprano qui, à la fin, déclame un court passage parlé.
Tout était parfait, ce mardi soir, dans la présentation et l’interprétation de ce chef d’œuvre si rarement donné et dont l’écriture rappelle, plus d’une fois, Pelléas et Mélisande.  […]  Applaudissons Isabelle Druet pour la chaleur de son timbre et la totale clarté de sa diction. Elle n’est pas une inconnue à Metz, nous n’avons pas oublié sa Carmen en 2011 et son Isabella dans L’Italienne à Alger en 2012. Au total, un très grand concert, un véritable moment de grâce qui aurait mérité les honneurs du micro. En effet, les quelques versions du Miroir de Jésus disponibles en CD sont loin de se situer au même niveau.»

Nérissa dans LE MARCHAND DE VENISE – Hahn

Opéra de Saint-Etienne – Mai 2015

Forum Opéra – 29/05/2015 – Laurent Bury

«La Nérissa fruitée de grand luxe d’Isabelle Druet

Opéra Magazine – Juillet-août 2015 – Michel Parousy

«Le trio féminin est charmant.  […] Isabelle Druet  surpasse en diction et en plénitude vocale.»

ConcertClassic.com – 30/06/2015 – Alain Cochard

«La non moins irrésistible Nérissa d’Isabelle Druet complète un trio féminin de rêve.»

Opera-online.com – 05/06/2015 – Emmanuel Andrieu

«La talentueuse mezzo française Isabelle Druet chante avec beaucoup d’élégance et de goût le rôle de Nérissa, et fait montre d’une solide présence scénique.»

Concertonet.com – 19/06/2015 – Gilles Charlassier

«En Nérissa, Isabelle Druet convainc tout autant dans un rôle qui semble lui seoir sans réserve.»

Crescendo-magazine.be – 02/06/2015 – Paul-André Demierre

«Le couple constitué par Isabelle Druet (Nérissa) – François Rougier (Gratiano) complète admirablement cette distribution d’un opéra dont on souhaite régulièrement le retour à l’affiche.»

Toutelaculture.com – 09/06/2015 – Elodie Martinez

«Isabelle Druet se démarque nettement grâce à une voix profonde et claire ainsi qu’à une prononciation absolument superbe.»

Anaclase.com – 02/06/2015 – François Cavailes

« Enfin, déjà époustouflante dans La Grande Duchesse de Gerolstein d’Offenbach cet hiver, à l’Athénée, la mezzo-soprano Isabelle Druet (Nérissa) fait montre d’un grand talent d’actrice et d’un timbre saisissant.»

La Tribune – Le Progrès – 28/05/2015 – Martine Goubatian

«Isabelle Druet est très juste dans le rôle de Nérissa.»

Concert RAVEL avec le Detroit Symphony Orchestra

Orchestra Hall Detroit (États-Unis) – Avril 2015

Detroit free press.com –  16/04/15 – Not a music buff? It’s OK, you’ll love this DSO progam –   Mark Stryker

« The rhapsodic contours of Ravel’s Two Hebraic Melodies, which were sung with passion by French mezzo-soprano Isabelle Druet, found a natural cousin in the improvisatory-like violin lines of Ginastera’s « Pampeana No. 1, » […]. In her American debut, she sang Ravel’s song cycle with a dark, richly hued voice, remarkably clear diction and intelligent phrasing that was seemingly attuned to every nuance embedded in the text.»

France 24/International News – 17/04/15 – In US debut, singer Druet seeks to transcend language –  Shaun Tandon

«Leonard Slatkin cité par Shaun Tandon: « She has the ability to transcend language. Even though you don’t understand the words, she conjures up all the colors and so many different fragrances, » Slatkin told AFP. […] « From the first time I worked with Isabelle, I thought this was an extraordinary person, an extraordinary singer and an extraordinary musician, » he said. »

«Leonard Slatkin cité par Shaun Tandon: «  Elle a cette capacité à transcender les langues, explique-t-il. Même si vous ne comprenez pas les mots, elle fait apparaître tellement de couleurs et de parfums […] Dès la première fois que j’ai travaillé avec Isabelle, j’ai trouvé que c’était une personne extraordinaire, une chanteuse extraordinaire, et une musicienne extraordinaire », dit-il à l’AFP.» 

Opera Online – 01/06/2015 – Extrait de l’entretien avec  Emmanuel Andrieu

«Ces concerts à Detroit restent parmi mes plus beaux souvenirs de musique et de partage. Les musiciens de l’orchestre ont su s’approprier la musique de Ravel, la rendre scintillante et d’une grande richesse. Leonard Slatkin est un grand connaisseur de l’univers ravélien et sait à merveille impulser l’énergie juste à son orchestre.

J’ai rencontré Leonard Slatkin en 2013 avec l’Orchestre national de Lyon dont il est également le chef permanent. Le courant est tout de suite passé et je crois qu’il a énormément apprécié ma voix et mon énergie sur scène. Dans la foulée, il m’a réinvité pour enregistrer des mélodies de Ravel, puis l’année suivante pour des concerts Mozart et Mahler : un vrai bonheur.»

La Grande Duchesse de Gerolstein – Offenbach

Théâtre Athénée – Décembre 2014

Classica –   Février 2014 –   Franck Mallet

«Une Duchesse bidonnante […] cette “Grande Duduche”a l’humour inoxydable. Il faut dire que la mezzo Isabelle Druet dans le rôle-titre, du côté du chant comme de la comédie, sait jongler avec les mots et enchaîner les pirouettes sur une scène si réduite.»

ForumOpéra.com – Décembre 2014 – Christophe Rizoud

«La réponse tient en un nom : Isabelle Druet. Dans le rôle-titre, la mezzo-soprano réunit toutes les conditions requises, qu’il s’agisse de longueur, de couleur de voix ou de cet art de dire qui est une des clés de l’interprétation d’Offenbach. La fantaisie n’a rien de forcé et, la mélancolie, inhérente autant que le rire à la musique du compositeur des Contes d’Hoffmann, coule elle aussi de source. A la crise de nerfs, inénarrable parodie de Meyerbeer, succède un air du sabre ciselé comme une mélodie de Fauré. « Dites-lui » baigne dans la même eau limpide sans que l’écriture, inconfortable pour beaucoup, ne semble jamais la mettre en difficulté. L’aisance scénique, enfin, la candeur de cette Grande-duchesse, ses élans, ses enthousiasmes achèvent de la rendre bougrement attachante.»

Libération –   Décembre  2014 –   Eric Loret

«Isabelle Druet en nymphomane soldatesque ne faillit pas durant près de deux heures.»

Décembre 2014 – MM

«Dans le rôle-titre, Isabelle Druet mezzo-soprano colorature consacrée Révélation lyrique des Victoires de la Musique 2010, est magistrale tant elle maîtrise les offenbachiennes pirouettes vocales.»

 

 

 

RECITAL Au pays où se fait la guerre

Festival de Saintes – avec le Quatuor Giardini – Juillet 2014

TLC – 18/07/2014 – Matthieu Orsi

« La voix d’Isabelle Druet est d’une grande beauté : profonde, précise, gouailleuse quand il le faut dans Offenbach… Et sa diction est parfaite !»

Venise – Septembre 2014

Forum Opéra –   28/09/2014 –   Laurent Bury  

«Et avec une artiste comme Isabelle Druet, le théâtre était forcément au rendez-vous, d’autant que le programme s’ouvrait, on l’a dit, à un répertoire plus large que celui de la seule mélodie. De l’offenbachienne Grande-Duchesse, la mezzo reprendra les habits dès le mois de décembre prochain, et l’on sent dans son interprétation une réelle familiarité avec le rôle. Isabelle Druet est tout aussi savoureuse en Berkenfield ou en pseudo-veuve du colonel, et il lui suffit d’un accessoire ou d’un chapeau pour se mettre dans la peau du personnage. »

LES NUITS D’ÉTÉ – Berlioz

Festival des Musicaves, Givry – Juin 2014

Info-Châlon.com –   28/06/2014 –   Michel Poiriault

«Ils n’ont cependant pas été les seuls à partager les coups d’éclat avec le public, renforcés par la mezzo-soprano Isabelle Druet, laquelle aura su faire preuve d’une ardeur de chaque instant pour embarquer tout le monde dans l’exaltante aventure.»

CD – Tancrede – Campra

Avec Les Temps Présents, dir. Olivier Schneebeli – 2014

Le Babillard – 21/12/16 –   Loïc Chahine

«Face à lui, Isabelle Druet, dont le rôle n’est pas si long, impressionne par la variété des couleurs, la qualité du style (elle fait, par exemple, dans son premier air, au début de l’acte II, un port-de-voix étourdissant de beauté) et la finesse de son interprétation du personnage de la guerrière qui découvre l’amour.»

Opéra Magazine – Juillet-août  2015 – Jean-Luc Macia

«Des deux sopranos, Isabelle Druet   s’avère la plus convaincante par son implication intense et ses accents bouleversants.»

Resmusica – 31/07/15 – Jean-Luc Clairet

«Pour croiser le fer vocal, Isabelle Druet   en Clorinde ! Le rôle n’est pas le plus développé mais chacune des interventions de la mezzo (dont on sait quelle Didon fracassée ou quelle Carmen de feu elle peut être) affiche, égalité de tous les registres et prononciation exemplaire à l’appui, une autorité virile très en situation.»

Classiquenews.com – 24/05/2015   –  Tristan et Isolde baroque  – Camille De Joyeuse

«Pour les rôles de Clorinde et de Tancrède, les deux protagonistes Isabelle Druet et Benoît Arnould ont la jeunesse, la justesse et la sincérité de deux timbres admirablement engagés. On se délecte dans leurs oppositions, confrontations successives, le point d’orgue de leur union pudique admirablement exprimée sur la scène demeurant le duo d’une économie souveraine et d’une grande poésie du IV. […] La noblesse, le raffinement, la suavité mesurée et allusive des divertissements, le chant perpétuellement soucieux de son intelligibilité font toute la qualité de cet enregistrement pris sur le vif à l’Opéra royal de Versailles.»

Forum Opéra  – 01/06/2015 – Isabelle Druet, alias Mademoiselle de Maupin –  Laurent Bury

«La musique baroque offre à Isabelle Druet les grands rôles auxquels elle peut légitimement aspirer :  […] elle est le plus brillant élément de ce Tancrède, recréant les fastes de la créatrice du rôle, l’illustre Maupin, immortalisée par un roman de Théophile Gautier et première voix féminine aussi grave à se produire sur une scène myrique. Même si son temps de « parole » est somme toute limitée, sa présence est suffisamment forte pour s’imposer.»

Clorinde dans TANCRÈDE – Campra

Opéra Grand Avignon

Avril 2014

Opera Online –   20/04/2014 –   Emmanuel Andrieu

«Mais comme à la création, c’est le personnage de la guerrière farouche et amoureuse, Clorinde, qui attire le plus l’attention. La magnifique chanteuse française Isabelle Druet – qui nous avait déjà subjugué dans L’Egisto de Cavalli à Luxembourg en décembre dernier – lui prête son beau mezzo riche et modulé, son allure décidée et sa puissance dramatique.»

LA GRANDE DUCHESSE de Gerolstein – Offenbach

Tournée Novembre-décembre 2013

Diapason –   Décembre 2013 – Michel Parouty

«Isabelle Druet est formidable, Grande Duchesse à la voix de bronze et de velours et au tempérament de feu.»

Classique d’aujourd’hui – Bruno Serrou

«Autour d’Isabelle Druet, Duchesse radieuse, amoureuse enflammée qui mène sa troupe avec panache et un bagou étincelants, l’on retrouve la fine équipe des Brigands.»

La lettre du musicien – Décembre 2013 – Clément Rochefort

«Isabelle Druet incarne une Grande-Duchesse parfaite dans son rôle d’omnipotente capricieuse aux allures de cantinière, aux côtés du Fritz délicieusement bébête de François Rougier.»

Res Musica – 11/11/2013 – Nicolas Mesnier-Nature

«Côté vocal, le rôle-titre fut servi avec panache par Isabelle Druet, elle aussi en terrain connu à Besançon. La mezzo-soprano profitait de son étonnante capacité à occuper la scène comme actrice de théâtre à part entière, mais également comme chanteuse. Les habitués du « grand opéra » savent que la représentation de pièces du répertoire dit léger imposent des capacités vocales tout aussi importantes en ce qui concerne l’exigence musicale et qu’en plus les artistes doivent savoir parler leur rôle comme au théâtre, ce qui n’est pas donné à tout le monde. (…) Heureusement, le seul grand rôle féminin se jouait ici parfaitement de ces difficultés, tant Isabelle Druet parvenait à maîtriser la chose assez intelligemment pour éviter de tomber dans une caricature efficace mais trop facile. Avec elle, le grand répertoire est au service d’une autre forme de répertoire, et a tout à y gagner.»

Altamusica – Nicole Duault

«La Grande Duchesse est la pétulante Isabelle Druet. Révélation lyrique des Victoires de la musique 2010, on l’a entendue sur maintes scènes dans des répertoires divers : Cadmus et Hermione à l’Opéra Comique, Carmen  à l’Opéra de Nancy. Elle a l’aisance, l’abattage, l’humour et la virtuosité vocale.»

Classiquemaispashasbeen

«Isabelle Druet semble à l’aise dans cette non-parité avec un bagou et un chic théâtral admirables. Ce rôle lui va comme un gant de Duchesse. La sienne est tendre et on la croit vraiment amoureuse, à mille lieux d’une croqueuse d’hommes à la voix guindée.»

Le Figaro  – Thierry Hillériteau

«En tête de distribution, Isabelle Druet campe une grande-duchesse conforme à l’ambivalence du parti d’ensemble. Elle chante comme une diva d’antan et bouge comme une jeune femme d’aujourd’hui.»

Marcel & Simone

«Dans le rôle titre, Isabelle Druet impose un charisme et une folie, tant dans le chant que dans la comédie, qui donnent toute son ampleur au personnage créé par Offenbach. »

CD – Phaéton avec Les Talens lyriques

Label Aparté – Novembre 2013

Télérama – 13/11/2013 – Gilles Macassar

«En amantes de Phaéton, également malheureuses, Isabelle Druet  […] rivalise de langueur élégiaque.»

Béatrice dans BÉATRICE ET BÉNÉDICT – Berlioz

Festival Berlioz – Août 2013

Blog – 29/08/13 – Bruno Serrou

«Dominée par l’excellente Béatrice d’Isabelle Druet, voix au chaud mezzo et timbre de bronze, la distribution s’est avérée homogène (…)»

Opéra magazine –   Octobre 2013 –   Christian Wasselin

«Isabelle Druet est une Béatrice idéale de mordant, de tempérament, de présence. Elle n’a que trois numéros pour s’imposer, mais elle réussit à faire de son « Air » un grand moment dramatique et une illustration de la manière dont une vois seule, si elle est conduite avec intelligence, peut donner la vie à une suite d’humeurs changeantes.»

Diapason – 23/08/13 – Gérard Condé

«Sur la lancée, le grand monologue de Béatrice où Isabelle Druet a pu déployer toute sa puissance de conviction, le trio des femmes (…) ont mené droit au duo final étincelant qu’il a fallu bisser. Ainsi tout vient à point pour qui sait attendre.»

RECITAL « Les Nations Galantes »

Tournée – Saison 2012 – 2013

Le Progrès –   17/07/2013 –   Isabelle Druet a illuminé le concert des Ombres –   MG

«La très belle mezzo-soprano Isabelle Druet révélation lyrique des victoires de la musique classique en 2010. Un choix lumineux. […] C’était sans compter sur la sublime voix de la mezzo-soprano qui prenait une ampleur toute particulière dans le chœur.»

Didon dans DIDON ET ENÉE – Purcell

Bordeaux, Compiègne, Besançon – Mars 2013

Opéra magazine –   Avril 2013 –   Jean-Luc Macia

«Comme à Versailles, Isabelle Druet chante avec à-propos et une technique sans faille.»

Opera Online – 01/06/2015 – Extrait de l’entretien avec  Emmanuel Andrieu

«J’ai eu la chance et le bonheur de beaucoup tourner ce Didon & Enée, avec une très belle équipe de chanteurs et amis. Didon est un rôle assez fulgurant, d’une intensité incroyable. Pour moi, la difficulté est de réussir à être dans l’émotion tout en gardant une ligne de chant royale et un son chaud et toujours rond. Je me suis rendue compte en interprétant le Lamento  sur scène à quel point c’était une technique solide et saine qui permettait de combiner beauté du chant et émotion sincère.  »

Récital SHAKESPEARE SONGS

Philharmonie de Cologne (Allemagne) – Février 2013

Pressespiegel – Kölner Rundschau – Olaf Weiden

« Druet, die sowohl in der Hosenrolle als dekantenter Orslowsky in Frankreich als auch in der Titelrolle von « Carmen » in Düsseldorf Erfolge feiern konnte, verfügt über einen warmen, beweglichen Mezzo mit sonoren Farben, der an diesem Tag trefflich in das französische Fach passte, aber auch den schwedischen Sprachsound günstig unterstrich.»

«Druet, qui a eu du succès soit dans le rôle décadent d’Orlowski en France, soit dans le rôle-titre de Carmen à Düsseldorf, dispose d’un timbre chaleureux avec des couleurs sonores qui allait bien avec le français, mais qui souligne également la mélodie de la langue suédoise.»

Conception dans L’HEURE ESPAGNOLE – Ravel

Salle Pleyel, Auditorium de Lyon – Octobre 2012

Classica –   Mars 2013 –   Pleyel donne de la voix –   Jérémie Bigorie

« [Les] soupirants de la belle Concepcion (parfaite Isabelle Druet).»

Opéra magazine –   Février 2013 –   Michel Parouty

«Le quintette de L’Heure Espagnole est plein d’esprit, Isabelle Druet en tête, pétillante Concepcion.»

Théone dans PHAETON – Lully

Salle Pleyel, Opéra de Lausanne – Octobre 2012

Forum Opera – 25/10/12 – Laurent Bury

«Isabelle Druet est elle aussi une habituée de cette musique, on connaît la séduction de cette voix habile à rendre les nuances de la rhétorique baroque»

Concertonet –   Octobre 2012 –   Un soleil éblouissant – Claudio Poloni

«On retiendra notamment […] la Théone particulièrement émouvante et sensible d‘Isabelle Druet

Resmusica –   30/10/2012 –   Le Phaëton de Rousset au Zénith –   Marie-Aude La Batide – Alanore

«L’émotion et la douceur sont apportées par la Théone d’Isabelle Druet, au timbre ample et à l’excellente diction.»

Les Nuits d’Eté – Roméo et Juliette – Berlioz

Festival Berlioz – Août 2012

Forumopera –   01/09/2012 –   Le froid vaincu par la ferveur et la flamme –   Fabrice Malkani

«Le mezzo Isabelle Druet, ne cessant de confirmer le talent qui lui a valu d’être Révélation lyrique des Victoires de la musique en 2010, séduit par la puissance et la souplesse de sa voix sensuelle tout autant que par sa diction nette et expressive à la fois. »

Le Figaro –   24/08/2012 –   Mémorables «Nuits d’été» dans le Dauphine –   Thierry Hillériteau

«Une version mémorable des Nuits d’été, chantées par une Isabelle Druet en parfaite forme vocale et merveilleusement inspirée. »

Isabella dans L’ITALIANA IN ALGERIA – Rossini

Opéra Théâtre de Metz – Mars 2012

Classique news –   13/03/2012 –   Nicolas Grienenberger

«Le metteur en scène peut compter sur une équipe de solistes visiblement unie et soudée, semblant prendre un plaisir fou à jouer et chanter ensemble. Pour sa première Isabella, Isabelle Druet fait valoir autant ses talents de comédienne que de chanteuse. Ses mimiques et autres œillades hilarantes font mouche, et on tombe vite sous le charme de sa voix longue, riche, toujours claire, au texte parfaitement dit et aux graves jamais forcés. […] Son « Per lui che adoro » lui permet de dérouler un legato de grande école, ainsi que dans sa Carmen nancéenne, et de faire admirer sa délicate musicalité. Elle forme un couple explosif avec le Mustaf à despotique et finalement attendrissant de Carlo Lepore. »

Le Républicain Lorrain –   10/03/2012 –   L’Italienne à Alger : le naufrage fut aéronautique – Georges MASSON

«Dynamique, réactive et futée, l’Isabella d’Isabelle Druet, au mezzo délicatement coloré, usait des mêmes glissandos qu’elle avait hérités de sa récente Carmen.»

Climène dans EGISTO – Cavalli

Opéra Comique de Paris , Opéra de Rouen – Février 2012

Classica –   Mars 2012 – « Egisto », tête bien pleine mais mal faite

«Les solistes sont excellents, comme le couple brûlant formé par Marc Mauillon et Isabelle Druet

Tendance Ouest Rouen –   12/02/2012 –   L’Egisto de Cavalli, ce bijou baroque joué à l’Opéra de Rouen

«Isabelle Druet y incarne Climene. De sa voix citronnée et féroce, elle fait montre d’une force féminine exaltée. Une perle et une voix que les spécialistes de mezzo-soprano colorature apprécieront.»

Premiere.fr –   Hélène Kuttner

« Dans le rôle de Climene, Isabelle Druet est tout aussi captivante de mystère et par sa technique vocale.»

Libération –   11/02/2012 –   Magistral « Egisto » –   Eric Loret

«Claire Lefilliâtre, soprano, et Isabelle Druet, mezzo, font briller leur phrasé impérieux.»

Télérama –   03/02/2012 –   “Egisto”, l’amour bouleversé et bouleversant –   Gilles Macassar

«Dans la magie de la salle Favart, le tandem Vincent Dumestre-Benjamin Lazar sublime l’opéra de Francesco Cavalli. Avec deux jeunes chanteurs prodigieux : Isabelle Druet et Marc Mauillon.
(…) Amante bafouée, plus tendre que vindicative, la Climène pathétique d’Isabelle Druet n’inspire pas moins de compassion.»

Concertonet –   02/02/2012 –   Sébastien Gauthier

« Parmi les personnages féminins, Isabelle Druet domine l’ensemble de la distribution dans le rôle de Climene […]. Dotée d’une voix d’une grande souplesse, elle témoigne également une technique très sûre, notamment dans des attaques bien souvent périlleuses.»
Anaclase –   01/02/2012 –   M.P.

«Isabelle Druet campe une Climène tragique et humaine dont la douleur embrase dans son lamento de l’Acte II.»

Le figaro.fr Culture –   27/01/2012 –   Thierry Hillériteau 

«Isabelle Druet s’est révélée il y a quelques années comme l’une des mezzos les plus passionnantes et les plus prometteuses du moment. Les Victoires de la Musique ne s’y sont d’ailleurs pas trompées en la distinguant comme révélation lyrique de l’année 2010. De Carmen en Isabella, elle a prouvé sa valeur à l’opéra mais c’est aussi une récitaliste hors pair, qui affectionne la mélodie pour ce qu’elle fraye souvent avec le savant comme avec le populaire. Accompagnés par le Poème Harmonique, elle et Marc Mauillon nous entraînent en marge de l’opéra vénitien sur les pas des cantates sacrées de Frescobaldi, Caccini, Monteverdi et, bien sûr, Cavalli. »

Orlovsky dans DIE FLEDERMAUS – Johannes Strauss

Opéra National du Rhin – Décembre 2011 / Janvier 2012

Forum Opéra – Sylvain Fort

«Dans le rôle impossible d’Orlofsy, Isabelle Druet est simplement stupéfiante de présence et d’abattage : elle joue à merveille l’ennui colossal et on trouve un accent franco-austro-germano-russe des plus réjouissants ; vocalement, elle se pose là.»

ConcertoNet – Laurent Barthel

«Isabelle Druet s’ennuie à ravir dans le Prince Orlofsky, dont elle caricature la nonchalance existentielle avec autant d’humour que de vraie classe, avec un très beau timbre de mezzo qui acquiert de plus en plus d’ampleur au fil de la soirée.»

Concert classic – Alain Cochard

«Très homogène, la distribution réunie par l’Opéra du Rhin constitue un autre atout de poids dans la réussite de cette Fledermaus. Isabelle Druet répond à la conception de Waut Koeken dans une incarnation troublante et distanciée d’Orlofsky.»

Mittelbadische presse – Kurt Witterstätter

«Für die Hosenrolle des Prinzen setzte Isabelle Druet ausladendes Timbre ein, das sie nach oben kippend verfremdete.»

Badische Zeitung – Alexander Dick

«Der Prinze Orlofsky, herrlich an-drogyn, kraftvoll und mit warmem Timbre: Isabelle Druet

Die Rheinpfalz – Dagmar Gilcher

«Isabelle Druet mit warmem Mezzo gibt den gelangweilten Dandy Orlowsky.»

Acis et Galatée / Alcyone – Lully

Sablé sur Sarthe / Bilbao – Les Folies Françoises, Patrick Cohen Akenine – Septembre 2011

Opéra magazine –   Septembre 2011 –   Michel Parouty

«On aime l’engagement d’Isabelle Druet, qui transforme en théâtre tout ce qu’elle chante.»

 

CD – BROSSARD avec  La Rêveuse

Label Mirare – Novembre 2011

ClassiqueInfo.com –   01/11/2011 –   La Rêveuse couronne Brossard –   Philippe Houbert

«L’œuvre est malheureusement parvenue sous forme incomplète mais, telle qu’elle se présente à nous, il s’agit d’un petit bijou. Pour s’en convaincre, il faut écouter la plage 6, le duo « Sordes abluae noxias », dans lequel Eugénie Warnier et Isabelle Druet montrent tout leur talent, tant du point de vue technique que, chose de plus en rare malheureusement dans ce répertoire, de l’expression. […] Le récit des amours de Léandre et de Héro voit ici Isabelle Druet (superbe « O Dea filia del mar » – plage 22), Jeffrey Thompson (très émouvant « Tosto che scosse in tutto » – plage 26) et Benoît Arnould rivaliser en technique et expression. Magnifique découverte qui, à elle seule, justifierait l’acquisition de ce disque.»

Portrait – revue Diapason

Septembre 2011

Diapason –   Septembre 2011 –   La Relève

«Isabelle Druet revendique l’éclectisme d’un parcours autodidacte assurément atypique qui lui fait d’une même voix embraser Brel et Monteverdi. Son mezzo-soprano aux contours nets — grave, bien trempé, médium prégnant, aigu cinglant — épanouit son appétit de mots dans la mélodie française, et son instinct théâtral dans les emplois tragiques ou encore une Carmen cérébrale et venimeuse. Inclassable. Mieux, indomptable.»

Concert Brossard avec La Rêveuse

La Grange de Meslay – Juin 2011

ClassiqueInfo.com –   05/07/2011 –   La Rêveuse chez Ronsard –   Philippe Houbert

« Deux voix dialoguent, accompagnées par deux violons et la basse continue : l’âme pénitente, ici Isabelle Druet, accablée de la honte du péché, demande son pardon à Dieu, Jeffrey Thompson, qui finit par accueillir l’âme après moults sermons. En un petit quart d’heure, c’est une succession d’affects qui sont mis en scène, de l’affliction à la béatitude, de la réprimande à la tendresse. Petit tableau haut en couleurs et splendidement rendu par Isabelle Druet, dont on ne dira jamais assez qu’elle est plus qu’un espoir du chant français d’aujourd’hui (rien que le phrasé du Deus, Deus meus initial nous aurait fait rendre les armes face à cette Madeleine).»

CD – Révolutions avec Les Lunaisiens

 

Paraty – Juin 2011

Resmusica.com – 17/05/15 – Les lunaisiens chantent les révolutions – Jean-Christophe Toquin

« En accompagnant ces chants aux pieds nus avec un orgue de barbarie et un piano à queue Erard de 1890 de la collection du musée de la musique à Paris – réunion paradoxale de l’instrument emblématique de la rue et de celui des salons, en trouvant un compromis délicat à trouver entre la gouaille populaire et le chant lyrique (excellent Isabelle Druet).»

Dido & Eneas – Purcell

Théâtre Musical de Besançon, Opéra Royal de Versailles, Théâtre de l’Athénée – 2010 – 2011

Forumopera.com –   07/05/2011 –   Pour Isabelle Druet mais pas seulement –   Christophe Rizoud

«Aussi intense soit-elle, [la Didon d‘Isabelle Druet] est d’abord une battante qui se réalise bien plus dans l’action que dans l’affliction. La voix, puissante et timbrée, sait alléger les sons mais elle n’est jamais aussi persuasive que lorsqu’elle peut déverser son flot de lave : « Ah, Belinda ! » et plus encore les « Away » du duo avec Enée où se profile, cerné de noir, le facies de la Médée que la mezzo-soprano, révélation lyrique des Victoire la Musique 2010, chantera peut-être un jour et dont elle possède déjà la grandeur tragique. »

Figaroscope –   Mars 2011

«A 32 ans, la mezzo Isabelle Druet s’impose comme l’une des valeurs sûres du chant français. […] Sa voix se déploie sur tous les répertoires sans artifices, avec naturel. […] Son dernier disque chez Aparté, Jardin Nocturne, nous la fait découvrir dans une émouvante version des Nuits d’été avec piano.»

CD – JARDIN NOCTURNE

Label Aparté – avec Johanne Ralambondrainy au piano – Février 2011

La Croix – 25/03/2011 – Emmanuelle Giuliani

Ouest France –   08/04/2011 –   Vincent Cressard
«Révélation lyrique des Victoires de la Musique 2010, la mezzo-soprano Isabelle Druet s’exprime avec le même talent à l’opéra qu’en concert. Avec Johanne Ralambondrainy au piano, elle offre un magnifique récital de mélodies françaises. Un voyage musical qui conduit dans un univers nocturne propice à l’inspiration des poètes. Les nuits d’été de Théophile Gautier et Berlioz chantent en bonne place dans les allées de ce jardin nocturne, où l’on découvre des pépites de Fauré, Massenet, Poulenc, Chausson, Hahn….. Une émouvante ode à l’amour qui vaut le détour. »

Opéra Magazine –   Avril 2011 –   Gérard Condé

«Du style, une diction impeccable ([Isabelle Druet] a choisi de prononcer les « r »), un vibrato souverainement maîtrisé […]  Isabelle Druet est une conteuse. Ecoutez-la dans la mélodie française, par exemple, cet univers sonore et poétique si délicat auquel elle consacre son premier récital intitulé « Jardin Nocturne », enregistré sous le précieux label Aparté. Sa diction n’y est pas seulement parfaite, elle respire l’intelligence.»

Point de vue –   09/03/2011 

«Avec ce premier disque récital, la mezzo-soprano Isabelle Druet, couronnée par une victoire de la musique en 2010, n’a pas choisi la facilité : les incontournables Nuits d’Eté de Berlioz, mais aussi des airs de Fauré, Hahn ou Poulenc forment un répertoire raffiné, dans lequel sa diction impeccable et sa ligne de chant sensuelle font merveille.»

Télérama –   05/03/2011 –   Gilles Macassar

«Chaque apparition d‘Isabelle Druet sur un plateau d’opéra est un moment de bonheur. […] La jeune mezzo [invite] à un parcours nocturne dans le jardin secret de la mélodie française – un vrai eldorado.»

CARMEN – rôle titre – Bizet

Opéra-Théâtre de Metz , Opéra National de Lorraine –  Janvier/Février 2011

 

Les Echos –   24/02/2011 –   Une Carmen à l’antique –   Philippe Venturini

«La révélation Druet : La jeune mezzo-soprano Isabelle Druet, révélation lyrique des Victoires de la musique 2010 (elle vient d’enregistrer un très beau récital de mélodies françaises chez Aparté), fait montre d’une aisance scénique manifeste et d’une fière intensité expressive dans ce personnage pourtant mille fois incarné. Plus insolente que vamp, sa Carmen défie la société et se moque ainsi de Don José pressé de rentrer à la caserne parce que le clairon sonne. Son timbre charbonneux et sa diction parfaite accompagnent cette prise de rôle réussie.»

Le Figaro –   22/02/2011 –   Carmen exemplaire –   Christian Merlin

«La relève est bien là : après Stéphanie d’Oustrac, voici Isabelle Druet, à Nancy, pour un saisissant portrait de femme. Révélation aux Victoires de la Musique 2010, la jeune trentenaire est une Carmen âpre et hautaine.»

Classiquenews –   21/02/2011 –   Nicolas Grienenberger

«Cette vision du mythe de la Carmencita a visiblement trouvé en Isabelle Druet une interprète idéale. Saluons d’emblée une prise de rôle mémorable et la révélation d’une très grande Carmen. Car l’incarnation de la jeune mezzo française impressionne par son aboutissement, tant musical que dramatique. Cette Carmen-là apparaît féline et redoutable, indépendante et farouche, fière et déterminée, et toujours d’une grande élégance, jouant pleinement de son charisme et de sa présence scénique magnétique. Vocalement, la tessiture de la gitane la trouve parfaitement à son aise, sans jamais céder à la tentation de grossir sa voix ou d’appuyer ses effets. Le timbre est superbe, le médium corsé, l’aigu franc et brillant. Le grave sonne profond et ample, qu’elle sait à volonté alléger et mixer, ou poitriner puissamment sans jamais perdre l’accroche haute. Et tout cela avec un sens du texte prodigieux, donnant à chaque mot son poids juste. Ce qui nous vaut un air des Cartes saisissant de force et d’impact, hypnotique dans sa lente déclamation, véritable imprécation, dont on se souviendra longtemps.»

Concertclassic.com –   01/02/2011 –   Nuit et Sang – Jacqueline Thuilleux

«Carlos Wagner a eu pour servir ses desseins une chanteuse – on a envie de dire une créature – hors du commun : la voix claire et ample, […] puissamment expressive, la diction parfaite, Isabelle Druet a toujours suivi des chemins de traverse, avant de trouver la Voie royale. Du théâtre de rue et des musiques traditionnelles, elle est passée au baroque et à Zemlinsky. La voici en sphinge de Gustave Moreau, la silhouette mince, nerveuse, et brûlante dans sa sinuosité offensive, le menton et le nez brandis comme des poignards, riant, vociférant et séduisant comme une démone. Un masque de Janus femelle que ce visage qui passe la laideur à l’extrême beauté, avec son teint d’albâtre, son regard enflammé, son sourire carnassier, sa crinière de Méduse, et cette silhouette qui fouette comme une queue de sirène, animée par un metteur en scène danseur lui-même – et cela se voit.»

Resmusica –   31/01/2011 –   Carmen au pays de Goya – Pierre Degott

«Avec Isabelle Druet et Chad Shelton, on aura trouvé deux interprètes complétement investis, vocalement et scéniquement, dans leur rôle. […] La jeune cantatrice possède toutes les qualités physiques et vocales pour devenir un jour une très grande Carmen, une fois qu’elle aura davantage mûri le rôle. En attendant, son jeu énigmatique et son chant raffiné auront pleinement servi le parti pris d’une mise en scène complexe, essentiellement centrée autour de son personnage.»

Webthea –   Janvier 2011 –   Une Carmen idéale pour un Bizet aux couleurs de Goya –   Caroline Alexander

«Magnifique Isabelle Druet […] c’est bien autour du rôle titre que tout se joue. Isabelle Druet accumule les honneurs, révélation lyrique de l’Adami en 2007, 2ème prix au Concours Reine Elisabeth de Belgique en 2008, enfin sacrée il y a tout juste un an « révélation lyrique » aux Victoires de la Musique 2010, elle a déjà effectué un parcours joliment diversifié – de Lully à Zemlinsky, en passant par Mahler et Mozart -, avant d’aborder cette Carmen redoutable dont elle fait une figure quasi idéale. Actrice accomplie, diction impeccable, ses talents de comédienne s’allient à un timbre de mezzo-soprano aux multiples ressources. Toute en fièvre, en rébellion et en sensualité, elle fait sienne cette femme qui veut vivre sa vie et non celle que lui impose la société des hommes. Magnifique, tout simplement.»

Opéra Magazine –   Février 2011 –   François Lehel

«On mettra au premier plan le rôle-titre avec la belle voix au timbre très « poivré » d’Isabelle Druet, pour une Carmen en franche mezzo, donc, mais à l’aigu sans défaillance et aux graves nourris, qui permettent d’éviter tout poitrinage, et avec une parfaite articulation du texte. L’actrice est d’une assurance. Et même d’un panache étonnants pour une prise de rôle, très belle en scène avec sa mince et souple silhouette, et une aptitude à la danse qu’on aimerait rencontrer plus souvent.»

CD – Combatimenti

Label Alpha – 2010

Diapason –   Novembre 2010 –  Roger Tellart

«La prise de rôle est de celles qu’on n’oublie pas, non plus que les interventions de Jan Van Eslacker et Isabelle Druet, Tancrède et Clorinde toujours justes de style et d’affect. »

Classiquenews.com – 27/10/2010 –   Camille de Joyeuse
« En revanche, la Clorinda d’Isabelle Druet a ce timbre carré, masculin qui sied à une combattante. »

Thérèse dans Sancho Pança – Philidor

Opéra Comique , Logis de la Chabotterie – Mars / Août 2010

Resmusica.com –  26/08/2010 –  Philidor le sismographe par Hugo Reyne ! – Sancho Pança au Logis de la Chabotterie – Frank Langlois

«D’un plateau vocal compétent, on distinguera […] Isabelle Druet (elle allie vivacité scénique et haut savoir-faire vocal pour composer le portrait d’une épouse sensée et généreuse).»

Classiquenews.com – 30/03/2010 – « Un pleutre héros nommé Sancho » – Sancho Pança à l’Opéra Comique – Nicolas Grienenberger

«Les interprètes de cet opéra bouffon sont au diapason de la musique : Isabelle Druet ne fait qu’une bouchée de son rôle d’épouse jalouse et caractérielle, sa présence scénique occupe tout l’espace, et par son accent du terroir brillamment inventé ainsi que sa belle voix bien timbrée, elle achève de faire crouler la salle.»

Récital de mélodies françaises avec Stéphane Jamin

Opéra Comique , Palazzetto Bru Zane, Février/Mars 2010

L’Atelier du chanteur –   26/02/2010 –   Récital de mélodies françaises à l’Opéra Comique –   Alain Zürcher

« Ce soir, Isabelle Druet et Stéphane Jamin ont judicieusement mêlé les pièces les plus et les moins connues. Dès la deuxième, Isabelle Druet a installé une résonance plus haute et fine, gage d’une ligne vocale ductile et de belles tenues finales piano. […] Un programme très bien composé et interprété !»

Anaclase –   21/02/2010 –   Le salon romantique –   Palazzetto Bru Zane –   Bertrand Bolognesi

«D’emblée, disons-le : il faut absolument se rendre à l’Opéra Comique
 (Paris) pour goûter la reprise du programme de ce récital […]. Chaudement timbrée, cuivrée dans l’aigu, avantageusement impactée sur toute la tessiture, [la voix d’Isabelle Druet], fort agile dans les ornements et vocalises, nuance
 son chant qu’elle soumet à une diction exemplaire, une accentuation soigneusement choisie du texte, conséquence bénéfique de la pratique baroque de l’artiste. […] Ainsi de Savoir attendre, contant la hargne amoureuse d’une gamine et les sages conseils d’une grand’mère à l’ancienne mode, personnages qu’Isabelle Druet construit vocalement par des riens délicieux. […] Et c’est avec une truculente romance, Les Cinq Etages, que s’achève cette heure de chant.»

Combatimenti – Le Poème Harmonique

Opéra Comique, Février 2010

Anaclase –   25/02/2010 –   De Monteverdi à Marazzoli –   Monique Parmentier

«La Clorinde d‘Isabelle Druet est impétueuse, âpre, ne cédant rien. Son timbre semble luire comme le métal de son épée. Mais dans la mort, elle devient murmurante et lumineuse, aussi délicate que l’onde du clavecin. »

Arcabonne dans AMADIS – Lully

Opéra de Massy , Opéra-Théâtre d’Avignon – Janvier/Février 2010

ResMusica.com –   09/02/2010 –   Amadis à l’Opéra de Massy –   Franck Langlois

«Quant à la distribution vocale, nous en confirmons également la très haute tenue (sans oublier une claire élocution française qui dispense de lire les sous-titres). Nous y distinguerons toutefois le fraternel duo magique : sans aucune outrance vocale (ni chant poitriné ni forçage rhétorique ou expressif) et avec une rare élégance, Isabelle Druet (Arcabonne) met, au service d’un personnage complexe, sa longue tessiture et sa riche palette de couleurs ; puis, en Arcalaüs, Alain Buet montre qu’il poursuit la grande histoire du baryton-basse noble « à la française ».»

ForumOpéra.com –   06/02/2010 –   Amadis de Lully à Massy –   …Et vous serez contents –   Jean-Marcel Humbert

«Quant à la partie musicale, elle est tout simplement exemplaire. […] Isabelle Druet est fort impressionnante, tant vocalement que scéniquement, en Arcabonne ; sa voix chaude à la projection parfaite est tout à fait adaptée à ce rôle de magicienne.»

Chanteur.net –   05/02/2010 –   Alain Zürcher

«Vocalement, cette production réunit les meilleurs des jeunes chanteurs actuels de ce répertoire. […] Isabelle Druet est d’une pâte plus subtile, avec un « noyau » vocal fin mais dense à partir duquel sa voix rayonne en multiples couleurs.»

Le Dauphiné Libéré –   26/01/2010 –   Amadis de Lully à Avignon –   Opéra-théâtre : Amadis ou le bel enchantement
«Les voix sont d’une exquise beauté. Des dessus délicats et délicieux avec […] Isabelle Druet (éblouissante Arcabonne).»

Sidonie, Mélisse et La Fortune danS ARMIDE – Lully

 

Théâtre des Champs-Élysées, mise en scène Robert Carsen, direction William Christie

Octobre 2008

La Tribune – 10/10/2008 – «Armide» conquiert le Théâtre des Champs Elysées – Caroline Mazodier

«La distribution, impressionnante, réunit l’excellente tragédienne Stéphanie d’Oustrac (Armide) entourée de seconds rôles remarquables. A commencer par Isabelle Druet qui interprète La Sagesse, Sidonie et Mélisse. Sans oublier […] Marc Mauillon (Ubalde, Aronte).»

Concertonet.com – 08/10/2008 – Versailles sublimé – Philippe Herlin

«Nathan Berg, Paul Agnew, Laurent Naouri, des habitués de ce répertoire, sont excellents, ainsi que les rôles secondaires comme […] Isabelle Druet (La Sagesse).»

Altamusica.com – 08/10/2008 – In bed with Armide – Mehdi MAHDAVI

«Pas plus qu’un diaporama un peu miteux à la gloire de Louis XIV, agrémenté des louanges de leurs guides en tailleur et talons aiguilles, j’ai nommé la Gloire et la Sagesse – Claire Debono et Isabelle Druet, pimpantes.»

CD CONCOURS REINE ELISABETH  SINGING 2008  

2CD / 1DVD Musica Numeris

2008

La Libre Belgique – 04/06/2008 – Le concours revisité par le CD – Martine D. Mergeay

«Une sélection purement musicale dépassant les questions de classement. Avec, pour la première fois, un DVD en bonus. […] La « Séguedille » (Carmen, de Bizet), par l’irrésistible Isabelle Druet, devait être en deuxième position, elle y est. […] et quelques mélodies sublimes : Duparc poignant par Isabelle Druet […].
Le second CD reprend des airs avec piano, remontant parfois au premier tour (une nouveauté), où l’on retrouve les douze lauréats au complet. Quoique majoritairement servis par l’enregistrement […], les jeunes chanteurs sont ici plus exposés, plus spontanés aussi, le climat du CD n’en est que plus révélateur […], avec quelques trésors : […] « La Pitoyable aventure » par Isabelle Druet aussi désopilante que précise, […] et la Canzone d’Henderickx par l’élue du compositeur, Isabelle Druet, encore elle ! »

Le Soir – 30/05/2008 – Voilà déjà le CD du Reine Elisabeth – Serge Martin

«Alors inévitablement, dans une offre aussi large, chacun aura inévitablement des regrets : la Didon de Purcell d’Isabelle Druet (le sommet baroque du concours) […]. Le DVD d’« encore » proposé aux souscripteurs de l’album comprend heureusement le grand air de Cenerentola par Isabelle Druet. Il met en tout cas en valeur la dimension scénique des prestations des finalistes dont certaines (les femmes ont, dans l’ensemble, affiché un tempérament beaucoup plus affirmé de comédienne) montraient un fameux abattage. »

CONCOURS Musical International Reine Elisabeth de Belgique

 

Bruxelles – Mai 2008

 

Grenz-Echo – 20/06/2008 

«Le public du « Concours Reine Elisabeth »  de cette année devront se réjouir de revoir très vite le 2° prix Isabelle Druet. La mezzo-soprano a dû laisser la première place le 25 mai au ténor hongrois Szabolcs Brickner. D’après les médias, il y eût des discussions enflammées, concernant la décision du jury, pour attribuer en fait à Isabelle Druet la première, au lieu de la deuxième place. La jeune femme de 29 ans commença sa carrière artistique comme comédienne, et se fit remarquer par la perfection de son chant et de son expressivité. Indubitablement, Druet est l’artiste préférée du public du concours de cette année.»

Tageblatt – 16/06/2008 – Alain Steffen

«Isabelle Druet a imposé clairement son talent de comédienne, et a rencontré un accueil extraordinaire , avec « Non so più », des Nozze di Figaro, « Amici, in ogni evento », de l’Italiana in Algeri, de Rossini, et « Ah, que j’aime les militaires », de La Grande Duchesse de Gérolstein d’Offenbach. La chanteuse communicative, et pleine de joie de vivre,a maîtrisé tous les obstacles sans problème, et s’est révélée être une intreprète agile, et légère, dans l’esprit d’une Cecilia Bartoli. […] La magnifique mélodie de Duparc, « au pays où se fait la Guerre » fit reconnaître en Isabelle Druet, une déjà excellente intreprète de ce style proche du Lied.»

Mundoclasico.com – 05/06/2008 – Jorge Binaghi

«Mais le public sembla préférer finalement la jeune et douée Druet, à la voix dense, et à la véhémence particulièrement débordante pour l’aspect comique.»

La Libre Belgique – 26/05/2008 – Palmarès à la croisée des critères – MDM

«Druet aurait pu être la première, il a dû s’en falloir d’un cheveu, mais la carrière de cette merveilleuse « mezzo-comédienne » est lancée, on la retrouvera très bientôt, et on est déjà très heureux d’avoir pu la rencontrer d’aussi près.»

La Libre Belgique – 24/05/2008 – De Carmen à Dido, à fond – Martine D. Mergeay

«Isabelle Druet offre un concert exemplaire d’intensité et de maîtrise. […]. Difficile d’écrire lorsque la mezzo […] chante, tant son jeu est amusant à regarder (comédienne de son premier état, la candidate avait mis la barre théâtrale très haut, dès le premier tour), mais la voix est si belle, riche, souple, lumineuse, qu’elle suffit à elle seule à faire savourer ce fameux « Près des remparts de Séville », adressé par Carmen au brigadier de service.»

Scena.org- 24/05/2008 – Queen Elisabeth Singing Competition Finals Day 3 – Joseph So

« French mezzo Isabelle Druet has a rich, dark mezzo, with just the right timbre for Carmen, and her Sequille was very well sung and well acted, correctly with her hands behind until she « frees » herself from the robe binding her at the end.»

Le Soir – 25/05/2008 – Isabelle Druet – Serge Martin

«On monte encore d’un cran avec la plainte de Didon : un moment grand, noble et fort qui laisse l’auditeur littéralement pantois quand il découvre dans la foulée l’abattage irrésistible du grand air de Cenerentola. La mezzo française y joue la timidité des fausses ingénues avant de se lancer avec un panache fou dans le tourbillon final d’une exaltation irrésistible.»

Le Soir – 21/05/2008 – Douze voix, plus celles du jury – M.Dq

« Isabelle Druet, la mezzo française est l’une des autres révélations de la demi-finale. Une voix riche, à la fois profonde et claire, une musicalité toute en élégance et en esprit: ce serait déjà beaucoup pour nous combler. Mais il faut y ajouter un tempérament dramatique hors du commun, un sens théâtral vraiment confondant.»

La Libre Belgique – 18/05/2008 – Belle finale en vue, mais sans Belge – Martine D. Mergeay

« (Si) le jury pouvait jusqu’ici récompenser le « potentiel » d’un candidat (il n’a pas manqué de le faire en 2004), il est amené, par la qualité même des concurrents en lice, à n’élire que des chanteurs accomplis. C’est sans conteste le cas pour le Coréen Changhan Lim, la Canadienne Michèle Losier et la Française Isabelle Druet, un baryton et deux mezzos, trois artistes complets – et trois premiers lauréats en puissance. »

La Libre Belgique – 15/05/2008 – Quand le théâtre s’invite au concours – Martine D. Mergeay

«Plus aucune candeur, mais un don des planches époustouflant chez Isabelle Druet, mezzo française de 29 ans, comédienne de son premier état, qui, par rapport au premier tour, déjà impressionnant, monte ici la barre d’un cran. La voix est solaire, puissante et ronde, toujours mise au service de la musique et de l’intention théâtrale, pouvant opter pour la sécheresse du parler (Debussy, Henderickx, Ravel…) comme pour la suavité lyrique (Mozart, Bellini, Strauss) et se dotant, à la demande, de toutes les couleurs stylistiques, linguistiques ou nationales mises en jeu. Si la musicienne a un goût sûr – rien que le choix de son programme l’atteste -, la comédienne est électrisante, poignante en Ottavia, hilarante en Concepcion, désarmante en Komponist; avec la complicité de son pianiste, elle réussit, en plus, à construire l’ensemble de son programme comme un court opéra. La joie.»

Le Soir – 15/05/2008 – Michel Debrocq

«C’est la Française Isabelle Druet qui laissera le souvenir le plus émouvant de la soirée. Le timbre est magnifique, pouvant s’épanouir dans toute le plénitude de sa puissance, sans jamais rien perdre de sa beauté, ni de sa précision. Le sens du texte est toujours soutenu avec intelligence, dans une mélodie de Debussy aussi bien que dans l’opéra italien (Bellini), français (Ravel), et allemand (Strauss). L’émotion intériorisée de la Canzone (Henderickx), s’ouvre sur le soliloque dramatique d’Octavie (Le Couronnement de Poppée), où elle révèle tout son talent de tragédienne, d’une sincérité totale.»

 

CD – FIRENZE 1616 avec Le Poème Harmonique

Label Alpha – 2008

Muse baroque  – Mars 2008 – « Firenze 1616 »  –  Viet-Linh Nguyen

«Pour rendre justice à cette partition, le Poème Harmonique a revêtu ses habits de lumière avec ses cornets moelleux et ductiles, son continuo attentionné et inventif, ses timbres colorés. Vincent Dumestre soigne les articulations, et fait la part belle au théâtre et au discours lyrique. Il bénéficie pour cela d’une équipe de soliste d’une grande cohésion, et aux timbres bien caractérisés. (…) Isabelle Druet prête son mezzo charnu à Calliope, touchante mère dont les intercessions répétées seront vaines auprès du maître des Enfers.»

Lien : http://www.musebaroque.fr/Critiques/firenze_dumestre.htm

Classique-today.com –  Mars 2008 – Firenze 1616  – Christophe Huss

« Chapeau bas, donc à tous les concepteurs de ce projet, à tous les musiciens et aux chanteurs : le trio des « têtes d’affiche » – le baryton Arnaud Marzorati, la riche mezzo Isabelle Druet et l’abyssal Philippe Roche – est impérial.»
Lien : http://www.classicstodayfrance.com/review.asp?ReviewNum=2447
Récompense : 10/10

ResMusica.com – 24/02/2008  – Firenze 1616 : Innefabile ardor   – Monique Parmentier

«Isabelle Druet sait nous faire percevoir les déchirements de cette mère (Calliope) dont le chant s’enrichit d’une présence quasi charnelle, usant de la séduction pour sauver son fils d’un destin dont elle pressent qu’il est inéluctable.»
Lien : http://www.resmusica.com/article_5047_cd_concert___recital_alpha_firenze_1616__innefabile_ardor.html

Classiqueinfo.com –  15/02/2008 – Firenze 1616 –  Fernand Bretton

«Le Poème Harmonique nous a habitué à des interprétations de très haut niveau et ne fléchit pas dans son excellence !(…) Ce « Io moro » de Saracini provoque peut être la seule petite déception de ce programme… En effet, à peine 4 minutes d’un tel chef d’oeuvre d’incandescente douleur, qui plus est chantée par la mezzo Isabelle Druet avec une voix d’une richesse de timbre rare et une expression de douleur à vous tirer les larmes, risquent de faire pâlir quelque peu le reste du programme qui n’atteint pas toujours cette intensité d’expression. Un disque exceptionnel et une révélation, comme on en découvre, rarement, la mezzo Isabelle Druet.»
Lien : http://classiqueinfo-disque.com/spip/spip.php?article79

Télérama –  16/02/2008 –  Firenze 1616 – Gilles Macassar

Récompense : ffff
«Ce n’est pas un hasard si Vincent Dumestre et ses partenaires du Poème Harmonique, se mesurant aux énigmes de la musique de Domenico Belli, trouvent ensuite si naturellement les secrets de la déclamation lullyste, comme en témoigne leur récente production de Cadmus et Hermione, première tragédie lyrique du surintendant et de son librettiste attitré, Philippe Quinault. La boucle se referme sur de précieux joyaux.»
Lien : http://www.telerama.fr/critiques/critique.php?id=25333

Charite et Mélisse dans CADMUS ET HERMIONE – Lully

Opéra Comique – Janvier 2008

L’Isola disabitata – 02/02/2008 –  Cadmus & Hermione : l’opéra et sa parodie – Bajazet

«Isabelle Druet s’impose en revanche en Charite et Mélisse par sa fraîcheur, son élocution et sa présence.»

Libération –  26/01/2008 –  «Cadmus et Hermione» tel qu’au premier jour  – Eric Dahan

«La troupe se surpasse pendant 2 h 15, au point qu’on ne saurait louer l’exquise Hermione de Claire Lefilliâtre, plus que […] la Charite d’Isabelle Druet ou la Nourrice du haute-contre Jean-François Lombard.»

La Tribune – 24/01/2008 – « Cadmus et Hermione », spectacle total –  Caroline Mazodier

«Le baryton Arnaud Marzorati (Arbas) et la mezzo-soprano Isabelle Druet (Charite/Mélisse), drôles et expressifs, explosent en seconds espiègles.»

Le Monde – 23/01/2008 –  Lully ressuscité à l’Opéra-Comique –  Marie-Aude Roux

«Benjamin Lazar et Vincent Dumestre à la tête d’une distribution homogène, dont se détache […] le charme impertinent d’Isabelle Druet (Charite).»

Resmusica.com – 22/01/2008 –  Un songe, un rêve, une féerie … –  Monique Parmentier

«Isabelle Druet, toute aussi gourmande est une Charite sensuelle et une Mélisse coquine, qui sait user de toutes les subtilité́s de son art vocal et de la rhé́torique baroque.»

«Isabelle Druet, toute aussi gourmande est une Charite sensuelle et une Mélisse coquine, qui sait user de toutes les subtilité́s de son art vocal et de la rhé́torique baroque.»

Révélations classiques de l’ADAMI

 

2007

ResMusica.com – 08/08/2008 –  [Prades] Les Révélations de L’Adami 2007 dans la cour des Grands –  Michèle Tosi

«Mezzo colorature d’une exceptionnelle vitalité, Isabelle Druet ajoute à sa formation de chanteuse celle de comédienne, un ensemble « détonant » si l’on mesure l’abattage scénique de cette artiste déclenchant l’enthousiasme et le rire du public dans l’air de Conception extrait de l’Heure espagnole de Maurice Ravel, « Oh, la pitoyable aventure ! » : un « coup de théâtre.»

Ruggiero dans ALCINA – Haendel

CNSMDP (Paris), mise en scène Emmanuelle Cordoliani, direction Nicolau De Figureido

Mars 2007

Musica Sola –   17/03/2007

«On retiendra notamment Clémentine Margaine, Bradamante, et Isabelle Druet, Ruggiero.»

Le Monde de la Musique – Mai 2007 – N°320 – Philippe Venturini

«Se distinguent la fière Bradamante de Clémentine Margaine, le tout autant fier Ruggiero d’Isabelle Druet et le juvénile Oberto de la soprano Emmanuelle de Negri.»

La Colpa dans La Vita Humana – Marazzoli

Tournée Septembre –  décembre 2006

Diapason –   Janvier 2007 –   Vie Romaine – Jean Olivier Rouvière

«Le délicieux ténor […] de Jean-François Lombard (La Raison)[…] et le mezzo pugnace d‘Isabelle Druet (récemment découverte dans un Cenerentola itinérante, elle campe ici la Faute) sont parfaits. »

Le Monde de la Musique –   Novembre 2006 –   Ambronay –   Hors des sentiers battus – Philippe Venturi

«De ce spectacle de poche qui voyagera en région parisienne, on retient également […] l’inquiétante Faute d’Isabelle Druet. »

 

Zaïde – L’Europe Galante – Campra

Ambronnay , Grand Théâtre de Reims – Octobre 2005

Resmusica.com –   26/10/2005 –   Reims –   Ambronnay en tournée – Galanteries européennes – Jean-Richard Letawe

«Rien à redire sur la Turquie, très bien chantée par l’émouvante Isabelle Druet en Zaïre.»